Les Limites Des Fables

Avant d’aborder le thème des animaux en poésie, nous désirons rappeler que les bêtes ont une place de choix dans la poésie depuis le Moyen-âge, même si le plus ancien des poèmes choisis est publié en 1835. Si Jean de la Fontaine préfigure dans ses Fables l'importance de la figure animale dans la poésie française dès le dix-septième siècle, il serait incongru de les considérer absents des écrits des siècles précédents. Bien au contraire, chats, chiens, loups, renards et autres corbeaux constituent

Au préalable, il convient s’interroger les notions en présence : La liberté et les mille et une façons de la concevoir. Au sens commun, selon la doxa, la liberté est l’absence de limites. Mais l’apprenti philosophe sait que ce n’est pas aussi simple que cela. L’absence de limites n’étant qu’une forme de liberté imparfaite voire illusoire. Pensez aussi que cette valeur cardinale fait partie intégrante de la devise de la République française…preuve s’il en fallait que Liberté et Etat ne sont pas

dans le meilleur des mondes » et pourtant les catastrophes s’enchaînent : la mort de ses amis, l’exil, la guerre et même des catastrophes naturelles. Et c’est à travers ces péripéties que Voltaire donne au lecteur l’envie de continuer sa lecture. Les fables de La Fontaine, dont les personnages sont caricaturés par des animaux, empruntent au merveilleux et divertissent le lecteur. Souvent, ce sont des animaux qui représentent un personnage. La Fontaine utilise donc la personnification. L’apologue

la raison même quand quelqu’un nous flatte et nous dit ce que l’on veut entendre. La valeur explicitée est alors la sagesse. Elle est donc présentée comme file conducteur de la fable et ainsi impose la morale. La valeur artistique des Fables est alors jugée par les morales qu’elles présentent, alors que le côté esthétique et littéraire n’est que secondaire. Mais si nous prenions une œuvre d’art n’incarnant des valeurs acceptables dans notre société, sa valeur artistique sera-t-elle

littéraire appelé le PASTICHE. On définit donc le pastiche comme l’imitation des qualités ou des défauts propres à un auteur ou à un ensemble d’écrits. Lorsque celui qui écrit un pastiche va imiter stylistiquement un autre auteur, il se trouve à la limite entre l’hommage et la dérision. Cette imitation stylistique peut se faire sur la syntaxe, le lexique, ou les procédés de style.. Attention , l’intention de ce genre littéraire n’est pas forcément de se moquer de l’auteur dont on s’inspire mais certains

des enfants (1529)Intro : Au XVIème siècle les penseurs humanistes cherchent à redéfinir la place de l’Homme dans l’univers, son statut et la relation entre savoir et épanouissement. Après des siècles d’interrogations, la Renaissance va pousser les limites fixées par des frontières de toutes sortes (langue, géographie…). C’est ainsi qu’Erasme, philosophe et écrivain hollandais parcours l’Europe pour observer et analyser son époque, apprendre et enseigner. A partir de ses connaissances et d’une solide

le lecteur. Nous verrons d'abord pourquoi l'auteur choisi la fiction littéraire pour convaincre et persuader le lecteur. Après avoir envisagé la raison pour laquelle l'auteur choisi ce type de littérature, nous envisagerons d'expliquer ensuite les limites de la fonction littéraire. La fiction littéraire est un moyen efficace de convaincre, c'est-à-dire faire appel à la raison et le faire adhérer à la thèse défendue et est un moyen de persuader le lecteur c'est-à-dire c'est-à-dire faire appel à ses

dénoncer et critiqué et enfin l'efficacité de la critique Dans un premier temps, nous pouvons voir que la poésie satirique, s'avvert une manière efficace de la critique, et une manière de ne pas ce faire censurer. En effet dans les fables de la fontaine, notamment dans la fables de «  la jeune veuve » ou jean de la fontaine critique l'aspect arrogant et égoïste de cette jeune femme venant de perdre son mari, donnant pitié au lecteur alors qu'elle ne mettra pas bien longtemps a oublié l'homme qu'elle vient

L’ÉCRIVISSE ET SA FILLE Fable X, livre XII, Jean de la Fontaine « Si les fables ne sont pas ce qu’elles semblent être » c’est qu’elles jouent sur les apparences. Ce procédé peut s’appliquer à la plupart des fables écrites par Jean de la Fontaine, et « L’Ecrevisse et sa fille » en est un parfait exemple. Écrite au cours du XVIIe siècle, le fabuliste s’inspire d’une autre fable plus ancienne : « L’Ecrevisse et sa mère » d’Esope. Mais Jean de la Fontaine vient étayer son texte avec d’autres éléments

poèmes chrétiens, de Jean de SPONDE publié en 1588. Puis, vient le poème 16 du livre I de Fables intitulé « La Mort et le Bûcheron ». Enfin, nous avons un extrait de Pensées de Blaise PASCAL publié en 1670. Ces 4 texte de genres différents traitent de la mort. Ainsi, nous pouvons nous demander quelles formes littéraires les auteurs du corpus emploient pour parler de la mort et quels sont les avantages et les limites de chacune des formes. Nous pouvons dès le départ remarquer que nous avons accès à