Les Limites Du Comique

illusion ? Dissertation № 4871 Danse et Théâtre Littérature En quoi le théâtre est-il une illusion ? Dissertation sur le théâtre, qui en s'appuyant sur l'œuvre de Corneille et d'autres auteurs, explique le sens que revêt le terme d’ «illusion comique» pour définir le genre théâtral. 2510 mots (approximativement 6.3 pages) | 0 sources | 2008 Résumé: Le théâtre a toujours beaucoup porté à controverse. Mais il est un constat qui revient souvent, parfaitement résumé par cette phrase de Jules

Caractérisation : Il s'agit donc d'un récit d'une scène très violente mais à la fois très comique dans laquelle l'auteur s'amuse à tourne en dérision les code le combat épique et les vertus chevaleresques de son temps et du Moyen Age. J'ai fait le choix d'une analyse thématique dans la mesure où ce texte. Dans un premier temps je vais traiter la violence de la scène de combat puis montrer que la scène est avant tout comique et enfin montrer la satire du héros épique. Un récit d'une violente scène

(Notions à connaître pour pouvoir faire un travail de dissertation ou de texte d’invention sur le théâtre) Fonctions du théâtre • Cérémonie à l'origine religieuse et civique, le théâtre, sous sa double forme tragique et comique, naît en Grèce. Aristote en est le premier théoricien avec la Poétique. Il définit le spectacle théâtral comme : « l'imitation d'une action, conduite jusqu'à sa fin, [...] faite par des personnages en action et non par le moyen d'une narration ».

publicité père Noël’: une pub à la fois attrayante et Efficace, cela signifie que la pub est un échange de cadeaux entre la marque et le public. En contrepartie de ces achats, le client réclame de la distraction et de l’humour. Mais l’utilisation du comique ayant pour seul objectif de distraire, peut facilement tombé dans le non-sens et la bêtise, ce qui peut facilement ruiner l’image de la marque. Alors que l’utilisation de la subtilité et du second degré faisant appel à l’intelligence du spectateur

apparaissait sans fondement aux yeux des romantiques dès lors que le drame se voulait plus proche du naturel. Si le quotidien pouvait mêler rire et larmes, pourquoi le drame ne mélangerait-il pas tragique et comique ? Rabelais ou Shakespeare fournissaient des exemples frappants d'un univers où tragique et comique étaient juxtaposés, voire concomitants. La plupart des drames romantiques pratiquèrent donc ce mélange des genres et des tons, moins par provocation que par choix esthétique, essentiellement au nom

de leur époque respectifs. Roméo et Juliette et Dom Juan, deux de leurs oeuvres les plus importantes, ont été écrites toutes deux à l’époque baroque. Toutefois, elles présentent des divergences marquantes. Cela peut être observé lorsque le théâtre comique est opposé au théâtre tragique, mais aussi avec les nuances du thème de l’amour, qui se présente sous la forme d’un divertissement pour Dom Juan et d’une finalité pour Roméo et Juliette. L’ère baroque a introduit de nouvelles notions théâtrales

IV. … dans un registre de comédie. I. Le comique de situation. Impératif : « séparons-nous » => Gusman et Sganarelle ne doivent pas être vus ensemble, mais Dom Juan arrive. II. Le comique de mot. « et changes de couleur à ce discours » « épouse toi, son chien et son chat » => Molière cherche à nous faire rire à travers le personnage de Sganarelle et dans sa façon de dire les choses. III. Le comique de mœurs. Le comique de mœurs se retrouve dans l’ensemble des pièces

divisés en scènes, définies par l’entrée et la sortie des personnages. La liaison des scènes doit éviter toute rupture de l’action. Cette division en actes et en scènes a pu se modifier (répartir l’action en journée. L’alternance de scènes graves et comiques, de monologues, de duos, de scène de groupe,…). Le temps et l’espace : * Le temps : on distingue le temps de la représentation et le temps de la fiction, ou de l’action, d’une durée plus étendue : l’écart entre les deux est à l’origine de l’unité

voir en quoi ce monologue s’intègre à la pièce, et les ressorts sur lesquels il fonctionne. Nous verrons dans une première partie.... Contexte de parution du sujet : Objet d’étude : Le théâtre, texte et représentation Registre dominant : Le comique Mouvement littéraire : 17e siècle Type de sujet : Commentaire à l’écrit ou groupement de texte à l’oral Texte étudié : Le monologue d’Harpagon, L’Avare de Molière, Acte IV, scène 7 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan détaillé du commentaire

récit de l’histoire littéraire, la classification des pièces en sous-genres entre en débat. Dès la fin du XIXe siècle, le désaccord porte principalement sur le théâtre « liturgique et sérieux » contre le théâtre « profane et comique ». Le contraste entre « liturgique » et « comique » recoupait de fait une hiérarchie sociale implicite et valorisée : classes instruites et dominantes, contre classes ignorantes et laborieuses. Bakhtine, depuis la Russie soviétique, prend ostensiblement le parti des classes