Les Limites Du Leadership

le Congrès représente seul, le pouvoir législatif aux Etats Unis. Compte tenu de cette place dans le système américain, quel pourrait être son champ de compétence, quels pourrait être ses réels pouvoirs, comment s’organise-t-il et quelles sont ses limites… ➢ Nous nous demanderons donc ainsi dans quelle mesure les caractéristiques institutionnelles du Congrès assure-t-elle à la fois son autorité et sa pérennité aussi bien que sa fragilité dans le système politique américain. ➢ Plan : I) Un Congrès

croissance des mat 1er + essoufflement des politiques keynésiennes qui ne peuvent pas relancer croissance sans inflation ou chômage. Puissance am incontestable en 45, doit subir la concurrence des pays reconstruits → compétitivité baisse + perte du leadership américain, désindustrialisation au début des 80s. PVD se sont endettés car liquidité monétaire très importante + énormes besoins d’inv USA donnent le tournant des changements → instauration d’une révolution libérale avec déréglementations ds différents

STEVEN SAMPLE Cultiver son leadership Li Liberté, finesse et n co courage Cultiver son leadership Chez le même éditeur Ken BLANCHARD et Sheldon BOWLES, Un indien dans l’entreprise : donnez un nouveau souffle à votre équipe Tony BUZAN, Une tête bien faite Edward DE BONO, Conflits : comment les résoudre Korsak Chairasmisak, Enseignements d’un dirigeant asiatique Mireille FESSER et Arnaud PELLISSIER-TANON, Les hauts potentiels Sydney FINKELSTEIN, Quand les grands patrons se plantent

par la voix du Président Nixon de suspendre la convertibilité du dollar en or sans consulter le FMI. En renonçant à cette convertibilité, les Américains abandonnent de fait le leadership économique et admettent l’idée qu’une gouvernance à plusieurs sera, à l’avenir, possible et nécessaire. En renonçant à assumer leur leadership, les États-Unis ouvrent une période où les pays industrialisés vont rechercher des solutions individuelles, notamment à travers le jeu sur la valeur des monnaies ou l’attraction

problèmes car ils sont collectifs. - les émotions partagées lors de grands évènements (succès – échecs) - l’histoire commune qui donne aux membres un sentiment d’appartenance. • le processus de leadership à travers le rôle du dirigeant (la personnalité du leader et son style de leadership) La culture se forme à travers le rôle du dirigeant qui a un énorme pouvoir pour façonner la culture car il intervient au début du processus. Leader = modèle. Son comportement, ses actes, ses paroles

Interactions individu/ groupe : caractéristiques des groupes, identité et statut dans les groupes, référence et appartenance aux groupe · Phénomènes relationnels : relations formelles et informelles, argumentation et influence, relation d’autorité, leadership, motivations/ incitations. · Caractériser les comportements individuels au sein des groupes · Décrire, caractériser et analyser les situations de communication à partir de leurs composantes et des phénomènes relationnels qu’elles contribuent à développer

de recettes miracles leadership réussi passe par un choix adéquat dus type de gestion en fonction du degré de maturité des subordonnées Les leaders doivent progressivement abandonnés le contrôle des subordonnées au fur et à mesure que ceux ci deviennent plus compétents 4 niveaux de maturité : Peu compétences et non motivés ou pas sur d’eux Peu compétents, mais motivés et sur d’eux Compétents, mais non motivés ou peu sur d’eux Compétents et motivés et sur d’eux Leadership directif ou autocratique :

gestion résout le problème immédiat qui implique la mise en œuvre des techniques pour réaliser un |une vision dynamique. | |but connu à l’avance en tenant compte des limites. | | |→ Le gestionnaire doit assurer des activités ou

pour faciliter un changement et limiter la résistance au changement, il faut l’implication de tous dès le départ. La gestion de notre travail d’équipe était basée selon les trois axes de préoccupation et d’action en donnant la chance à chacun d’apprendre, de se former et de développer son indépendance. La loyauté et le respect occupaient une place importante au sein du groupe. J’estime que mon type de leadership s’est maintenant défini et que je suis à la limite du paternaliste et de l’autocratique

techniques, rôle grandissant de la planification et de la stratégie. Direction de l’entreprise par les gestionnaires dont le but est la pérennité économique de celle-ci. Gestionnaires = indépendant du marché financier Choc pétrolier de 1970 + limites de la production de masse du fordisme = Rupture avec le fordisme Auteur japonais : Shingo travaille sur les méthodes de contrôle et les défauts de production Capitalisme financier et cognitif : Actionnaire revient à la direction 1980 :