Les Limites Du Principe De Légalité

Récent car une bonne partie de ces règles ont été dégagées le long du XIXe siècle. C'est un droit souple car le juge s’adapte au contexte, contrairement aux juges civils qui est plus lié au texte. C’est un endroit inégalitaire, car tolérant le principe de l’inégalité de traitement par rapport à l'administration et les administrés. C’est un droit autonome, ce qui signifie qu'il ne saurait être réduit à l'ensemble des dérogations que la loi apporterait à l'application du droit privé. La question

1960 à 1981 «en elle-même » (Grandes décisions de la jurisprudence administrative sénégalaise). De même, dans un article publié en 1984, il présente les particularités du droit administratif sénégalais en appréciant le "système non pas à partir des principes du droit français, mais en référence à ses propres critères de rationalité". En revanche, les professeurs A. BOCKEL, M. DEBENE et B. KANTE ont choisi l'approche comparative. Selon eux, le droit sénégalais ne peut se comprendre qu'en référence

doit etre strictement encadré par le droit. Titre 1 : le principe de légalité Ce principe signifie que les actes de l’administration doivent respecter toutes les normes qui leur son supérieur. Il faut noter que cet expression « principe de légalité » date d’une époque a laquelle la loi apparaissait comme la seul norme supérieur et ceux, en raison de l’absence de contrôle de constitutionnalité des lois. Aujourd’hui le principe de légalité va bien au-delà du simple respect de la loi puisqu’il englobe

CHAPITRE 2 : LA POLICE ADMINISTRATIVE On va parler de la police en général. Une 1RE approche quand on évoque le mot police dans le sens commun, consiste à faire référence à cet ensemble des forces de l’ordre commandée par la puissance publique. Par principe, seul l’état dispose du monopole de la contrainte. Concernant ces différentes forces de l’ordre, il y a des forces civiles, des forces militaires, nationales, locales etc. qui vont pouvoir intervenir de manière coordonnée ou de manière indépendante

finalités. Quels sont les objectifs de la sanction ? Pourquoi la sanction a-t-elle été mise en place ? A quoi sert-elle ? Etc. Ensuite, il faut aborder ses limites. Quels sont les points faibles de la sanction ? Où la sanction échoue-t elle ? Enfin, il faut dégager les évolutions possibles de la sanction. A partir de ses limites, il est intéressant d’essayer de trouver des solutions qui pourraient l’améliorer. Ce sujet me semble particulièrement intéressant. En effet, le mot loi est

d’éviter que tous les pouvoirs ne soient entre les mains d’une seule personne, ce qui pourrait conduire à la tyrannie et au despotisme dans l’Etat. Ainsi donc, tous les régimes à caractère libéral, soucieux des principes démocratiques ont inséré dans leur charte fondamentale le principe de la séparation du pouvoir judiciaire des autres pouvoirs. Dans ce cadre, le Sénégal n’est pas en reste. Cela n’est que l’expression d’un Etat de droit. Mais le problème qui se pose est de savoir si en réalité

continentaux, dont la France est, sur ce point, le prototype, il ne se réduit pas à la juxtaposition des règles décrivant les institutions administratives. Il se présente comme une discipline juridique cohérente et organisée, fondée sur quelques principes dont elle déduit les conséquences, au même titre que les autres grandes branches du droit. Ce n’est pas le cas partout. De plus, il n’existe pas d’unanimité entre les États touchant ceux des organes publics qu’il convient de ranger dans la catégorie

expresse. Mais depuis 1953 les TA sont compétents en premier ressort et dès 1987, la compétente d’appel a été transférée aux CAA. Le CE ne demeurant, en règle générale, juge de cassation. Il n’est juge en premier et dernier ressort qu’en un domaine très limité. THEME N°2 : Organisation administrative du territoire : contrôle sur les actes des collectivités locales Le délai pour effectuer le déféré Préfectoral (DP) est de deux mois et peut-être interrompu par une demande de pièces complémentaires. CE, 4

publique. Le texte. Application de l'article. B. La tranquillité publique. Le texte. Application. C. La salubrité publique. Le texte. Application. §2. Les éléments de compléments. A. La moralité. B. La dignité humaine. Création de ce principe. Exemples renvoyant à al moralité ou à la dignité. La question de l'esthétique dans l'ordre public. S 2. Les autorités de police administrative générales §1. Présentation des autorités de police administrative générale. Sur le territoire national

............................................................................... 2 Introduction............................................................................................................................................. 3 I – Les limites de la jurisprudence Notre-Dame du Kreisker ................................................................... 4 A – La distinction circulaire interprétative / circulaire réglementaire ................................................ 4 1 – La nature