Les Limites Du Taylorisme

horizontale du travail (parcellisation des tâches) Nathalie Le Roux (cours M1 TO) Disparition du terme « travail » ? • Cf. Georges Friedmann (1956), Le travail en miettes. Gallimard, Paris. • Conséquences et limites de la conception homme machine / organisation rationnelle • Limites théoriques : 2 croyances : appât du gain et passivité ? intérêts de l ’organisation et du salarié convergents? • Conséquences Pratiques : Perte du métier; démotivation, absentéisme, pathologies au travail ==> dysfonctionnements

organisations. Il prend place après le développement et l'application à grande échelle du taylorisme, et cherche à redonner à l'homme au travail une place, sinon centrale, au moins excentrée et tenue. Ses principaux représentants sont Elton Mayo, Jacob Levy Moreno, Kurt Lewin ou encore Abraham Maslow. Contexte La psychologie et la psycho-sociologie prennent leur envol alors que les principaux excès du taylorisme (à savoir, sur-division du travail, vision simpliste de l'homme au travail et de l'Homme

travail à la chaîne). • L'ouvrier taylorien est plus productif mais le travail devientplus aliénant et déresponsabilisant. Un siècle plus tard, ce taylorisme s'est transformé mais est toujours bien réel, notamment dans les services (call centers, restaurants fast-food par exemple). On peut aussi évoquer le fayolisme (de Fayol), sorte de pendant du taylorisme pour l'organisation administrative. En lien avec la sociologie: bureaucratie (Boudon...). • Henry Ford:  développe et prolonge les principes de

le travailleur ne se déplace plus et ne change pas d’outil. - l’habileté supérieure permise par la spécialisation. - introduction de nouvelles machines capables de réaliser des tâches simples. 2. le taylorisme : caractéristiques. Doc.3 Bordas : reprendre le tableau / principes du taylorisme. ( Tentative de maîtriser la porosité (discontinuité - existence de temps morts) du temps de travail. Les temps morts proviennent de : - du temps consacré à la manutention des pièces (temps

à l'augmentation du niveau de formation des travailleurs et par des limites structurelles liées à la rigidité d'un processus de production standardisée, l'OST semble supplantée à partir des années 70 par de NFOT, issues notamment d'expériences suédoises et japonaises. Les réussites apparentes de cette innovation organisationnelle semblent avoir écartées les solutions du travail à la chaîne au point de parler de "post-taylorisme". Pourtant, l'OST n'a pas disparu ; il semble même que dans une certaine

Définissez/Décrivez le taylorisme L'auteur parle également de « wagonnets ». Ces indices révèlent parfaitement la mécanisation latente du travail de l'ouvrier. Elle est le corollaire de l'industrialisation. Ces deux méthodes de travail ont été le fruit d'initiatives privées, personnelles et correspondent parfaitement à la philosophie libérale. Taylor, comme Ford, ont un objectif essentiel : l'augmentation de la productivité. Celle-ci entraine une hausse importante des ventes. Par ailleurs, le taylorisme et surtout

d'intervenir sans en référer à un supérieur hiérarchique lorsque se pose un problème. Ainsi, le personnel, appelé à exécuter de plus en plus de tâches est de plus en plus polyvalent et peut reprendre peu à peu le contrôle de la production. Limites de NFOT : * La production reste encore largement planifiée et encadrée. Tout d’abord les NFOT ont permis la diversification des produits mais cela ne signifie par une production au cas par cas : la production reste une production de masse, une

emplois permettant aux salariés de s'épanouir a. le facteur travail : un simple facteur de production Tout au long du XIXème siècle, et pendant une grande partie du XXème, les salariés ont été considérés comme un simple outil pour produire. * le Taylorisme (Frederick W. TAYLOR) Mode d’organisation du travail base sur une séparation des tâches de conception et d’exécution du travail : les ingénieurs pensent et les ouvriers exécutent. Chaque ouvrier n’effectue qu’une seule tâche simple codifiée selon

social. Phase B, c’est l’OST. Mécanisation marque la baisse de l’autonomie ouvrière ; les productions se mécanisent, la division du travail apparait et avec elle la place moindre du travailleur. C’est l’époque du fordisme et du taylorisme. B. L’introduction du taylorisme Taylor nait 1856 et meurt en 1915, c’est un quaker (secte protestante), le jeune Taylor tout en préparant ces concours d’accès aux écoles du secondaire, travaille. Il est ouvrier et comme il n’est pas trop mauvais on lui confie

Chapitre 2 : Travail et emploi I. Organisation du travail et croissance A/ Taylorisme et fordisme 1. Le taylorisme ou l’organisation scientifique du travail (OST) 2. Le fordisme, entre modèle industriel et modèle de société 3. L’avènement de la société salariale 4. TD : Formes « traditionnelles » de l’organisation du travail et affirmation de la société salariale B/ Les NFOT 1. Échecs et contradictions du tayloro-fordisme 2. Le toyotisme et la gestion à flux tendus 3. L’effritement