Les Limites Du Toyotisme

mesure d’offrir un niveau de vie croissant à une population croissante ». A partir du XIXème siècle, des mouvements de pensée développant la théorie de la croissance voient le jour tel que la division du travail de Taylor, le Fordisme ou bien le Toyotisme entre autre. Pendant les 30 Glorieuses, la croissance se propage à tous les pays industrialisés du fait de la montée en puissance de l’économie de marché et de la consommation de masse. La croissance caractérise la santé de l’économie d’un pays

Management des équipes commerciales Des courants : Le toyotisme est une forme d'organisation du travail dont l'ingénieur japonais Taiichi Ōno est considéré comme l'inventeur. Mise en avant par Toyota en 1962, elle n'est pas appliquée immédiatement. L'application formelle du toyotisme chez Toyota se nomme système de production de Toyota ou SPT (traduction de l'anglais japonais Toyota Production System : TPS). Un kanban (カンバン?, terme japonais signifiant « fiche » ou « étiquette ») est une simple

accélère le rattrapage éco. 1955-73 : Japon connaît une Xs moyenne de 9% par an. Il suit d’abord le modèle ISI puis IPE L’Etat intervient fortement par le biais du MITI. Mise en place du triangle de fer : Admin°-PLD-Patronat (Zaïkai) Emergence du toyotisme théorisé par Ohno Japon est frappé par les chocs dollar et pétrolier (car importe énormément de pétrole). Mais alors que l’Europe connaît la crise entre 1974-91, le Japon garde une Xs de 4-5%. Alors que les US se tiertiarisent massivement, Japon

1 CORRIGE ASIE ORIENTALE : UNE AIRE DE PUISSANCE EN EXPANSION : ( Quelques pistes de réflexion, Charrier ) espaces dynamiques, facteurs, limites. 2 INTRODUCTION : L’extrême-Orient asiatique suit une direction méridienne du Japon à Singapour, sur 5000 km. Cette région rassemble la mégalopole japonaise ( 2ème rang mondial ), la Corée du Sud ( 13ème ), la Chine littorale ( 4ème ), Taiwan ( 21ème ) et Singapour ( 45ème ), donc des éléments d’un pays de la triade, le Japon, les anciens NPIA ou « dragons »

Cette époque a été caractérisée par l'école de la régulation[5]. Ainsi, le modèle du fordisme comporte aussi certaines limites, qui sont mises particulièrement en lumière lorsque se développe la crise économique et sociale de l'organisation scientifique du travail (en particulier en raison de la concurrence des entreprises asiatiques, fonctionnant selon le modèle du toyotisme). Aujourd'hui, les modèles primitifs du taylorisme et le fordisme ont dû changer pour s'adapter : ils ne sont plus ce qu'ils

premières, par exemple, et ce secteur d’activité va aussi connaître une croissance. Ensuite, cette innovation va se généraliser et donc profiter à un grand nombre d’entreprises (exemple de l’innovation organisationnelle du travail de Taylor ou du Toyotisme) et va donc multiplier les sources de croissance et être bénéfique pour l’ensemble de l’économie d’un pays. Par ailleurs, l’innovation va aussi avoir des externalités positives sur l’ensemble de la société, comme nous le montre l’exemple des NTIC

Apprentissage 8- L’innovation 9- Capacité de réduction des coûts 10- Formation et motivation des salariés 11- Contrôle des coûts de chaque domaine d’activités stratégies (DAS) V-les avantages et les limites de cette stratégie 1- Avantages a- Environnement externe b- Environnement interne 2-Les limites a-Innovation b-Mobilisation des ressources c-Guerre des prix d-Inapplicabilité dans certains domaines e-Apparition d’un concurrent plus performant f-Effet d’expérience Section II : Illustration

« subprimes ». La mondialisation relance l'expansion économique. Révolution créée grâce à la conteneurisation (porte-conteneurs), l'importation et l'exportation par voie marine. Les coûts des transports maritimes diminuent. Nouveaux modes de production « Toyotisme » dont le but est de vider tout stock afin d'éviter la surproduction. Boom des NTIC : Nouvelles technologies de l'informatique et de la consommation. Globalisation financière de la planète. Les grandes places boursières sont connectées en permanence

finis sont contrôlés par le service contrôle qualité en fin de chaîne. Les produits non conformes sont directement jetés. Le gros problème avec ce type d’organisation de la qualité est le nombre important des rebus. L’ère du contrôle Afin de limiter les coûts induits par le contrôle qualité, A. SHEWHART a élaboré une méthode de contrôle statistique de la qualité applicable aux modes de production de l’époque (le fordisme). Le contrôle s’effectue toujours en fin de chaîne de production, sauf qu’on

révolution technologique de l'information et de la communication a amené la dexieume rupture, c'est à dire la création d'une nouvelle organisation du travail qui permet une production flexible et « sur-mesure ». Cette méthode reprend les principes du Toyotisme mis en place au japon dans les années 1960 que l'informatique améliore en reliant en réseaux les unités de production. Cette organisation du travail augmente cependant des inégalités dans les années 1980, les travailleurs qualifiés deviennent polyvalents