Les Lois Sont Elles Toujours Justes

MONTESQUIEU, De l'esprit des lois, XVIIIe s. INTRODUCTION Thème : la liberté, la société , les lois Problème : Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ? Les lois sont-elles alors une entrave à la liberté ? Thèse : Pour Montesquieu, la véritable liberté – qui est selon lui la liberté politique et non l'indépendance - n'est pas de faire ce que l'on veut sans limites, mais de vouloir et faire ce que les lois permettent. Ce sont les lois qui définissent la liberté, car sans lois il n'y aurait tout simplement

dévalorise l'homme ? 23. L'action ne vise-elle que l'efficacité ? LE TRAVAIL, LES ECHANGES 24. Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ? 25. L'homme se reconnaît-il mieux dans le travail ou dans le loisir ? 26. Est-il toujours possible de faire la différence entre travail et divertissement ? 27. Le travail est-il le lien le plus étroit entre l'homme et la réalité ? 28. L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ? 29. Les hommes doivent-ils travailler

grand compte et d’autres non, et qu’il ne faut pas non plus respecter celles de tous les hommes, mais seulement celles des uns et non celles des autres. […] Ne sont-ce pas les bonnes qu’il faut révérer, non les mauvaises ? […] Et les bonnes ne sont-elles pas celles des gens sensés, les mauvaises celles des fous ? Voyons maintenant comment on a établi ce principe. Un homme qui s’exerce à la gymnastique et qui en fait son étude prête-t-il attention à l’éloge, à la critique, à l’opinion du premier venu

[pic]LES LUNDIS DE L'ECONOMIE - Conférence du 14 avril 2008 Y a-t-il des guerres justes ou seulement des guerres justifiées ? Avec Pierre Hassner, professeur de relations internationales et d'histoire de la pensée politique à l'IEP de Paris « Y’a-t-il des guerres justes, ou seulement des guerres justifiées ? » C'est ce à quoi a répondu, lundi 14 avril 2008, dans l'amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne, Pierre Hassner, spécialiste des relations internationales. Bien des thèses s'opposent.

naïve. Une telle conception renvoie à l’anarchie , à la loi du plus fort, à une apologie des passions et ne peut donc convenir à l’homme, vivant en société. La liberté civile, c’est la liberté du citoyen vivant en société et soumis à des lois. Ce sont les lois qui fixent les limites, les interdits et qui autorisent aussi certains comportements. L’homme a ainsi des droits ( libertés qui lui sont octroyées) et des devoirs ( obligations de respecter les droits d’autrui. La liberté intérieure , c’est

le thème social. Ce document a été écrit par Montesquieu (1689-1755), un grand philosophe du siècle des lumières, mais également penseur politique et sociologue. Ce texte nommé « De l’esclavage des nègres » est tiré de l’ouvrage « De l’Esprit des lois », paru en 1748, en plein dans la période où l’esclavage était à son apogée. Ici l’auteur se montre partial, car il dénonce de manière ironique l’esclavagisme. Ce dernier a été témoin des événements car ceux-ci se déroule à son époque. Ce texte est

objectifs du cadre juridique ? a) garantir les grandes libertés économiques (faire du commerce...) b) garantir les grandes libertés sociales (liberté syndicale...) c) garantir les créanciers contre les mauvais payeurs d) sanctionner le non respect des lois 6. Qu'est-ce que la liberté de contracter ? a) liberté de conclure des contrats b) droit de créer son entreprise c) liberté de la concurrence d) liberté de vendre sa production 7. Les libertés doivent être limitées pour atténuer les excès

ble « Entre le fort et le faible, c’est la liberté qui asservit et la loi qui libère. » Le monde, tel qu’on le connaît a été et est toujours marqué par les inégalités, que ce soit entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, le seigneur et son serviteur. C’est en 1799, avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen que voit le jour une notion toute nouvelle : la loi. Celle-ci, selon l’homme religieux et politique Henri Lacordaire, libèrerait, dans un monde inégal, ce faible de l’oppresseur

Pour venir à bout d'un certain dessein sur quelques êtres vivants ! Il dirait donc : "Je n'ai pu parvenir par la fabrique de l'univers, par mes décrets divins, par mes lois éternelles, à remplir un certain dessein ; je vais changer mes éternelles idées, mes lois immuables, pour tâcher d'exécuter ce que je n'ai pu faire par elles." Ce serait un aveu de sa faiblesse, et non de sa puissance. Ce serait, ce semble, dans lui la plus inconcevable contradiction." (Voltaire / 1694-1778 / Dictionnaire philosophique)

 La recherche de l’égalité peut-elle être injuste ? Les sociétés humaines sont caractérisées par le fait que les individus y vivent selon des rapports de droit, garantis par des lois. Si ces lois existent, semble-t-il , c’est pour rompre avec un état de nature réglé par la loi du plus fort. Elles témoignent donc de la volonté des hommes de vivre dans un monde juste où ils sont égaux. C’est ce que semble aussi confirmer l’Histoire , marquée par la revendication constante de davantage d’égalité