Les Lumières Métaphore

(l8), dévorante tendresse (l10) Métaphores et allégories : épais rouge Métaphores filée de la lumiere et de l’obscurité Pourquoi peut on parler de véritable mise en scène théâtralisé Présence de passages qui font penser a des didascalies Jeu de panelouck : l2 : cheveux sur le front , Corp. agité L27 d’un voix calme L5 sourdement , tous accusateur Cadre de décor : L25 odeur de cire réaction des fideles , L63 bruits de voix L65 remue méninge L62 lumiere plus jeunes Chercher dans une encyclopédie

Réseau 1 Réseau 2 Réseau 3 Réseau 4 Réseau 5 Réseau 6 Réseau 7 Réseau 8 Religion Humanité Animalité Nature Taille/Force Lumière/couleur Vision Son/Maladie/mort petite cloche on noires comme des fourmis Soleil Une petite cloche Bien avant soleil se lève Petite cloche se mit à sonner Ermitage Angelo recouverts de carapaces dorées Collines ermitage semblable à un osselet Lumière encore relativement limpide Permettait de voir Semblable à un osselet Chemin qui y montait en serpentant enfants les carapaces

  Ainsi, une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente.   Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par

Commentaire littéraire les Lettres persanes L’extrait dont je vais vous parler, lettre 161, est tiré du livre Les Lettres persanes, écrit par Montesquieu en 1720. L’auteur est un philosophe des Lumières et l’un des pères fondateurs de la philosophie moderne qui fait partie du mouvement littéraire libéralise. Ce roman est un roman épistolaire, il est composé de succession de correspondance par lettre. Dans cette œuvre Usbek : le maître, apprends la tromperie

lugubre cela permet de créer une angoisse et une tension chez le lecteur.Ensuite l’auteur prend recourt à une métaphore cela permet d’insister sur l’atmosphère lugubre comme nous le voyons à la ligne 6 ‘’ Toute cette nature morte s’abolit dans la même teinte noir ‘’ Balzac veut donc faire comprendre au lecteur que c’est ce qui attend le jeune homme dans son future. Puis il utilise une métaphore, celles de la mort comme l’indique l’expression « les vagues reflets du couchants’’ a la ligne 5 celles-ci

de billet le phénomène du partage de l'espace, la division espace du spectateur et des productions, une délimitation nette, qui se réfère métaphoriquement à l'acte de regarder films, une szinpadteret symbolique conçu. Le kocsmajelenet une autre métaphore, lorsque ce jeu d'ombres sur le mur, puis l'ombre apparaissant Madeleine kivetülő parallèle clair peut être établi sous la forme de l'écran de projection. En outre, la scène où Parker est clairement projection illozórikus après le lapin, comme s'il

cri roulait, grandissait, avec une violence de tempête " ; la rumeur " s'enfle " à la fin avant de " s'épandre ". Cette métaphore maritime permet d'élargir la scène aux dimensions de " l'horizon " où se rejoignent les " profondeurs du Bois " et les " allées lointaines ". La " pluie d'or " qui inonde cette foule en délire fait le lien avec l'autre métaphore clef : celle de la lumière. Le soleil éclaire le spectacle, mais il n'est mentionné qu'à la fin du texte, dans sa " gloire " à l'image du triomphe

ressources musicales du langage. Cet hommage est perceptible dans une métaphore filée qui oppose « la clarté originelle » (l. 5) de la mère aux  « petites lumières péniblement allumées au contact de ce qu’elle nommait le "commun des mortels" » (l. 6-7). On découvre le caractère sans doute un peu hautain de Sido qui se considère unique et au-dessus des autres, mais Colette adhère totalement à ce point de vue, puisqu’elle caractérise les lumières des autres par un adjectif péjoratif (« petites » l. 6) et par

agir, il ne fait pas confiance aux conseils des huit (juridiction politique). Didascalie « seul s’asseyant sur un banc » Philipe est effondré. « demandes tu l’aumônes ? » Philipe=un mendiant affamé de justice. « mon honneur est en haillon » = métaphore pauvreté. « il faut nous délivrer des Médicis » demande de Philipe. « que l’homme sorte de l’histrion » il le somme de faire tomber le masque. Philipe aura partiellement satisfaction : Lorenzo confie son projet = dévoilement progressif au rythme

l’inversion du sujet du dernier vers met en lumière l’adjectif “née” renforçant le contraste avec "périssable” renforçant l’idée de la fin inévitable. La deuxième strophe débute par une question à son âme, qui apostrophe indirectement le lecteur sollicitant encore une fois son attention. L’utilisation de l’adjectif “emprisonnée” pour qualifier l’âme, l’expose comme victime de l’emprisonnement par les apparences, le charnel et l’obscurité, met elle en lumière par l’oxymore rapprochant “obscur” et “jour”