Les Lumières Métaphore

moins que, mieux que (locutions) / semblable à, pareil à (adjectifs) / on dirait, ressembler à, sembler à faire penser à (verbes). 2. La métaphore : Jacques est un vrai singe ! ou : Jacques, ce singe ! Il s’agit d’une comparaison SANS outil comparatif, voire sans point commun explicite (il est sous-entendu). On parle de « métaphore filée » lorsque la métaphore est développée de manière significative dans un texte. LES FIGURES D’INSISTANCE 3. L’hyperbole est une exagération du type : Il va mettre

opposition entre les deux oiseaux. Ceux sont deux métaphores qui guident la conversation entre les deux personnages. On a l’impression que Juliette a la capacité de retenir le temps : adverbe de temps « encore », « déjà ». Juliette le sais et lui impose de rester : « reste encore », pour Juliette tout est possible. 2 - Le temps qui passe. L’alouette est une métaphore, elle représente la messagère du matin et est également associée à la lumière : « C’était l’alouette, la messagère du matin ». Mais

tableau, comme ci Victor Hugo utilisait sa palette pour peindre la scène.Au dernier vers, le poète nous introduit un deuxième personnage: “vous”. Celui-ci n'est rien d’autre que le lecteur.La référence à Vénus, “au sommet des collines”, est une métaphore de l’ascension de l’amour. La nature est personnifiée (“s’éveille”, “parle”, “dormants”, “dit-il”, “répond”, etc.) et est présentée comme le cadre de l’amour (“Vénus au sommet des collines”, “dans l’ombre, êtes-vous des amants”), mais aussi de la

en perpétuelle activité et pour finir que Paris est aimée et admirée. Lecture Analytique : A – Paris est présentée comme une ville dont la forme est singulière 1) Paris, ville à une description floue - Singularité annoncée d’emblée par la métaphore du monstre « Paris est le plus délicieux des monstres » (l.1) - Forme de la ville impossible à représenter de façon claire : - lieu de grande diversité « là, jolie femme ; plus loin, vieux et pauvre ; ici, tou neuf comme la monnaie d’un nouveau

comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. LA METAPHORE : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. La métaphore est dite filée lorsqu’elle s’étant à plusieurs termes. Ex : Ce garçon, c’est un dieu! Les agathes de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. LA PERSONNIFICATION

critique sans appel de Charles « il aurait pu être beau, spirituel, distingué ... » Ainsi Emma idéalise la vie de ses anciennes camarades où la lumière et le bruit remplacent l'ennui et le vide de sa propre existence : « A la ville avec le bruit des rues, le bourdonnement des théâtres et les clartés du bal » (relever champs lexicaux du bruit et de la lumière ainsi que l'énumération). Toute fois, Emma ne se contente pas d'imaginer d'autres vies que la sienne, elle réécrit aussi sa propre histoire. Sa

apparaît dans un cadre paisible. Rimbaud utilise de nombreuses images. Il développe une métaphore filée qui associe l'eau à des haillons d'argent. L’expression « haillons d’argent » est d’ailleurs un oxymore. Au vers 4, « un petit val qui mousse de rayons » : ici l’image contenue dans le choix du verbe ‘’mousser’’ évoque le rayonnement du soleil. Enfin son « lit vert », où la « lumière pleut » développe une double métaphore. Le lit évoque le repos, et l’herbe anticipe le dernier vers du poète qui est la

Microsoft Word - Argumentation-Bêtes 2.docxArgumentation-Bêtes 1ère étape : liste des choses à analyser - Courant : humanisme, classicisme, Lumières - Genre du texte : utopie, dialogue, pamphlet, article de l’encyclopédie, discours, lettre, conte philosophique, fable, apologue, portrait - Critique directe ou indirect - Écriture plaisante qui vise à divertir ou à instruire (placere ou docere) - Convaincre, persuader ou les deux - Marques de la subjectivité (texte engagé, présence de l’auteur

même entité sémantique Ex : Aide-toi, Contrex t’aideras ; Aide-toi (impératif présent), Contrex t’aideras (futur) Autonomase : consiste à remplacer un nom par l’énoncé de sa qualité propre à l’objet ou à l’être qu’il désigne Ex : La lumière qui démode la lumière ; Mon nouveau Ericsson T18s va faire du bruit Anaphore : reprise de mots en début de phrase successive Ex : Le baril de rangement skip, le baril plein d’idée. Epiphore : reprise de mots à la fin de groupe successive (diff. D’anaphore)

crise, chacun contribue à faire avancer la société, y compris le poète. Ce dernier doit s’occuper des problèmes de la société, et s’il ne le fait pas, il mérite une punition divine («malheur»), il deviendrait un poète qui s’isole dans un désert (métaphore de l’abandon de la société par le poète), un «penseur qui se mutile», car il a choisi volontairement de ne pas s’occuper des problèmes des autres dans sa poésie. Il a donc «mutilé» sa pensée, il l’a amputée. Ce verbe, qui normalement s’applique à