Les Lumières Métaphore

atmosphère lyrique, d’autre part il en tire son inspiration pour sa poésie. Ce poème nous transpose dans un paysage mélancolique où semble n’exister que le poète sous la métaphore d’un arbre (« le feuillage jaune de mon cœur mirant son tronc plié d’aune » v.3-4) pris en assaut pas ses souvenirs, eux-mêmes sous une métaphore, celle d’oiseaux (« oiseaux en émoi » v.1). L’évocation de la couleur jaune, couleur de malaise et de peine, dans le feuillage (« parmi le feuillage jaune »v.3) fait référence

Cette église une et unique » l.5) Le pontife de veut mettre en premier plan le caractère unique de l’Église catholique afin d’appuyer son caractère supérieur sur celui du pouvoir royal. Ce principe d’unité est par ailleurs mis en lumière sous la forme d’une métaphore « Cette église […] n’a qu’un corps et une tête, et non pas deux têtes, ce qui en ferait un être monstrueux » Il est clairement fait allusion aux différents rôles que chacun des pouvoirs se doit d’occuper et donc du principe de la

la bienséance, la vraisemblance, la simplicité, l’ordre, l’équilibre, le respect des trois unités, etc. Auteurs significatifs: Molière (1622-1673), Racine (1639-1699), La Fontaine (1621-1695), Bossuet (1627-1674). LES LUMIÈRES (1720-1770) Ce mouvement, lié au siècle des Lumières (XVIIIe siècle), met l’accent sur la raison dans le but d’amener l’homme vers le bonheur et le savoir, au détriment des préjugés, des dogmes religieux et de l’intolérance. Ainsi, les auteurs prônent le progrès, l'acquisition

paroxysme de cet enthousiasme. Dans le premier poème du livre VII, Victor Hugo se fait prophète. Lux est l’énonciation de cette prophétie et proclame le bonheur. Le premier vers est une reprise et un bilan de cette attente qu’avaient les proscrits. Métaphore de l’arbre du progrès. Les bannis sont morts pour nourrir les siècles à venir.     Ces vers annoncent un rayonnement universel, symbole de liberté (qui se réfère au monde entier). Idée d’universalité (« Amérique »), de progrès et de liberté.

l’action  Le sommeil souligne le manque de lucidité des femmes * Allégorie → Image des Lumière = propagation des idées du 18e + caractère universel * Parataxe + impératif → Volonté de faire des femmes l’acteur de sa propre émancipation + conséquence implicite * Négation → Changement majeur des adversaires de Lumières * Énumération → Ignorance/manipulation * Antithèse → Lumière = ignorance Dès le début, Olympe de Gouges essaie de faire bouger les femmes en leur montrant

pour la décrire : « beaux lieux ». Il fait une métaphore de la nature comme une mère qui le protège et l’apaise : « Comme un enfant bercé par un champ monotone », « Plonge-toi dans son sein qu’elle t’ouvre toujours », « un asile d’un jour ». Il y a alors une personnification de la nature : « Me couvrent tout entier de silence et de paix ». Dans cette nature, il y a l’omniprésence du bruit : « chant », « murmure », « son », … Le poète fait même une métaphore de ces bruits : « Prête avec lui l’oreille

Ainsi Proust file une métaphore tout le long du texte, où il compare le visage à un « rocher » et le temps qui passe à une « tempête ». En effet ce visage abîmé connaît une lutte permanente contre le temps.Il subit les « vagues » dans la « souffrance » et la « colère ». Le duc est donc comme un « bloc » au milieu de la mer, fouetté de toutes parts par le temps, que Proust compare donc à une tempête violente, incontrôlable, une « tragique rafale ». A travers cette métaphore, Proust voit le temps comme

Gradation «  sanglots, funèbre , cris plaintifs , rires féroces » Crescendo dans l’angoisse Tous les sens sont mis en éveil - la vue penitenloire , l’ouiie avec métaphore « prière bourdonnant » - Aloyus Bertrand nous offre une véritable esthétique de l’horreur. B/UN UNIVERS MEDIEVAL Ce reve est singulier Metaphore : abbaye aux murailles lezardes » Decors pittoresque qui porte les marques du temps Le lecteur est plonge dans un univers moyen ageux Présence de nbr termes appartenant

l’enfant à l’usage de la force mortifère (= qui apporte la mort) et met en valeur la disproportion des forces en présence. 6. La chanson de Gavroche : N.B. : Sa chanson reprend un air de 1819 : une chanson réactionnaire opposée aux philosophes des Lumières (Rousseau, Voltaire). Le refrain de la chanson a une histoire : un certain colonel Touquet avait eu l’idée de créer une édition populaire à prix très bas des œuvres de Voltaire et de Rousseau. Le colonel fit faillite et il ne resta bientôt plus

nous pouvons affirmer que ce récit est réaliste car plusieurséléments appuie la notion du réalisme, les thermes techniques, la métaphore filée et la description. Nous retrouvons toute une panoplie de termes techniques qui encre le récit dans la réalité : « puits», « ouvriers », « la cage de fer », « un mineur », « charbons » et cetera. De plus, nous avons quelques métaphores dont une filée « d’un jaillissement doux de bête nocturne ». Et pour ladescription, Zola donne une description précise et