Les Lumières Métaphore

peut-être la promesse d’un ailleurs. L’architecture des fleurs du mal repose néanmoins principalement sur le spleen et l’idéal Les Fleurs du Mal-Opposition entre les Fleurs et le Mal donc positif/négatif-Extraire la beauté du mal -Oxymore/ paradoxe/ métaphore/ allégorieSuggère l’existence d’une beauté liée au mal et la laideur es une forme de beauté comme le suggère le projet de l’alchimie poétique. Dégager les grands thèmes principaux des Fleurs du MalL’amourLe voyageLe vin L’Alchimie Le spleen ParisL’artificeLe

donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Légende : Allégorie Anaphore Assonance Énumération Métaphore Un champ de bataille, des coups de feu tirés toute la journée et des milliers de corps étendus, morts. Tel est la description de l’événement qui faire rire Dieu. Dans ce texte, il parle de la guerre franco-prussienne, comme pour le texte « Le dormeur du Val », montrée par la métaphore à la ligne 3 qui désigne les uniformes de couleur verte pour les soldats prussiens que les uniformes

elle est imbriquée. La double métaphore flamme aux yeux/lumière dans l’œil s’inscrit en gradation dans le cadre d’un chiasme. Plus que de simples comparants, les deux termes flamme et lumière sont de véritables symboles. La flamme dans les yeux est presque une catachrèse mais cette image, cette flamme justement, est ravivée par l’adjonction de la lumière dans l’œil du vers suivant. Il y a donc là un effet de gradation tant dans sens que dans la richesse des métaphores. Le chiasme joue sur le retournement

voile/-z-au/ loin) Un/ bou/quet /de/ houx /vert /et /de /bru/yère /en /fleur. (pas de diérèse sur bruyère, élision du e) 6. Relevez deux métaphores et une métonymie. (Six points, deux pour chaque) On relève « l’or du soir » (comparaison entre le coucher du soleil et l’or) et « blanchit la campagne » (comparaison entre le lever du soleil et une couleur blanche) comme métaphores. Les voiles sont une métonymie pour désigner les bateaux. 7. Quel est l’effet du rejet au début du vers 2. (5 points) Trouve-t-on

l'éclat de la lumière à une « lame », « un glaive » et à « une épée ». Ce caractère agressif de la lumière est renforcé par des verbes qui expriment une action instantanée et brutale : « giclé », « jaillit ». Cette souffrance devient une véritable torture : « rongeait », « fouillait ». De plus, il y a la souffrance que produit la sueur : elle est évoquée deux fois directement : « la sueur amassée dans mes sourcils », « J'ai secoué la sueur » et une fois pas le biais d'une  métaphore« ce rideau de

avant. Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas. Mais j'ai fait un pas, un seul pas en avant. Et cette fois, sans se soulever, l'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté dans le soleil. La lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés

Introduction : Le XVIII ème siècle est marqué par l’apparition de l’esprit des lumières, c’est un esprit nouveau, caractérisé par une pensée libre, libérée de ts les préjugés et de toutes les croyances. On interroge, on examine, on observe, mais surtout on refuse les ‘à priori’. Deux de ces nouveaux esprits, Diderot et D’Alembert, décident de créer un ouvrage qui rassemblerait toutes les connaissances du monde, L’ Encyclopédie. A l’origine, l’Encycopédie devait ê une simple traduction de la Cyclopaedia

Marseille, ouverte sur la mer.3. [problématique]Comment Supervielle célèbre-t-il Marseille?Comment, à travers l´évocation de Marseille, le poète célèbre-t-il la vie et la poésie?4. [annonce du plan]I. Marseille, une divinité marineA. De la ville à la métaphore marineInterprétationsRelevésProcédésassimilation de Marseille et de la mer. Mer à l´origine de la vie sur terre. Accent mis sur l´"apparition" de la ville. Soudaineté du surgissement en deux mots ("Marseille sortie")"sortie de la mer" expansion nominale

Lecture analytique : Diderot, Article « Cour » I. Un texte fidèle aux valeurs des Lumières a. Souci explicatif du texte : texte qui relève d’un article de dico - parenthèses ( ) = arbre des connaissances - 1re phrase : déf. de la cour Tournure emphatique « c’est » (présentatif) Présent de vérité générale « est » Adverbe de temps « toujours » = caractère de vérité Souci d’exhaustivité et d’objectivité  énumération des titres avec effet de gradation « souverain ; princes, princesses

Notion de fatalité, destin inévitable, personnage impuissant ) 1 ) Un environnement hostile (= qui pousse Meursault au meurtre ) La toute puissance du soleil : Le mot « soleil » est répété huit fois, comme pour l'accuser ( ex lignes 3,5 ). - La lumière joue un rôle important puisqu'elle trouble la vision de Meursault : Verbe employés montrent le trouble « je devinais son regard » l.1 + « son image dansait » l.18 + « mes yeux étaient aveuglés » l.35. La luminosité est source de confusion elle