Les Mains Libres

« Les Mains libres » à deux mains Objectif : Découvrir les œuvres des deux artistes, créées à plusieurs mains, à plusieurs voix. Le photographe, peintre, dessinateur Man Ray et le poète Paul Eluard ont produit deux œuvres en commun, Facile et les Mains libres. Cette démarche est habituelle pour ces deux artistes qui ont mêlé leurs disciplines artistiques, ensemble et à de nombreux autres artistes (surréalistes ou non). Une des caractéristiques fondamentales du surréalisme est qu’il a été la

Amandine TL1 LITTERATURE Les mains libres est un recueil de poèmes écrit en 1937 fait par Man Ray et illustré par les poèmes de Paul Eluard , car oui , ce recueil est inversé , les poémes illustrent les déssins. Les mains libres s’inscrit dans le mouvement surréaliste de par l'écriture de ses poèmes et par le type de déssins qu'on y trouve , assez libres. Le titre nous annonce que la main se trouve au cœur du recueil et aussi de par le fait que les mots "les mains " sont au cœur du titre. La couverture

La Liberté dans le recueil Les Mains Libres. Introduction : Les Mains libres se présente comme un ouvrage à quatre mains, incluant les dessins de Man Ray illustrés par les poèmes de Paul Eluard. Cette composition se révèle étonnante et aussi révolutionnaire dès la première lecture du titre. En effet, le titre « Les Mains libres » laisse justement le lecteur libre d’interprétation. « Les mains » donnent à penser à l’outil auquel l’écrivain à recours et le terme « libre » donne à voir une symbolique

LITTERATURE Les Mains Libres, publié en 1937, est un recueil élaboré à quatre mains : celles de Man Ray, qui a produit des dessins à la plume, et celles de Paul Eluard, qui a, comme l’indique le sous-titre, illustré les dessins par ses poèmes. Le recueil est composé de deux grandes parties, plus une partie consacrée au marquis de Sade et une section portraits et détails. Dans ces deux sections nous pouvons voir le portrait de Sade et son œil. Nous nous demanderons donc quelle place prend Sade dans

recueil avec les mains. Paul Eluard à travers ses poèmes et Man Ray à travers ses dessins célèbrent la beauté féminine. La femme a une place primordiale mais ce qui est le plus surprenant est le fait que les deux artistes utilisent un sujet courant, un topo de manière très original et ainsi renouvelle une idée classique très utilisée. La femme est ici une muse dont la beauté subjective à l’artiste inspire d’autres. On peut se demander quelle image de la femme le recueil Les Mains libres donne. On se

surréalistes tel que Les Mains Libres de Man Ray et Paul Eluard, ouvrent une porte de l'interprétation personnelle, des dessins et des sentiments à travers le regard. Ainsi nous verrons premièrement comment les yeux sont une invitation à l'introspection puis comment ceux ci, à travers le regard, proposent une nouvelle vision du monde. Poèmes utilisés : Nu La Peur Avignon Narcisse Burlesque Sade L'évidence Les Mains Libres Les yeux stériles

Harmonie Terminale L 18/12/2014 DM de littérature Sujet : Quelles sont les différentes formes de dialogue entre le texte et l'image dans le recueil ? “Avoir les mains libres” signifie n'être engagé en aucune façon. Elle se réfère donc à la liberté d'action. C'est bien ce que nous évoque le titre du recueil Les Mains Libres paru en 1937 qui sont composés des dessins de Man Ray illustrés par les poèmes d'Éluard. Un recueil original basé sur l'inversion du procesus d'illustration. Mais dans

Lecture méthodique : « Le Tournant » Introduction: La création à deux mains qu’est le livre-objet Les Mains libres, résulte d’un aller-retour continu de l’œil et de la pensée entre image et texte. Même si le dessin de Man Ray est premier, il s’enrichit et se développe dans les lignes de Paul Eluard qui voit lui-même son texte s’amplifier dans les traits du dessinateur. Quels sont les échos que se renvoient dessins et écrits ? L’analyse du Tournant, texte et image, tente de répondre à cette question

 L’éloge de la main dans Les Mains libres Le motif de la main, est un élément au cœur du recueil des Mains Libres. Tout d’abord, rappelons que cette œuvre surréaliste a été réalisée à quatre mains par Man Ray et Paul Eluard. Il semblerait que ce thème renvoie à la collaboration des deux artistes. Le motif de la main est quasiment omniprésent tout au long du recueil en effet, 42 dessins et /ou poèmes sur 54 représentent la main de manière évidente, visible (gros plan…) mais parfois plus

évoquer la ville d'Avignon. « Le Temps qu'il faisait le 14 mars » (p.73) : Cet ensemble nous fait voyager à travers les saisons. Une femme est représentée et comparée à deux pierres, représentant l'une sur le dessus ; le front et l'autre ; le cou et les mains. Cela présenterait donc le symbole de l'équilibre qui se référerait à celui des saisons. La femme semble appréciée quelque chose, peut-être la venue du printemps. En effet, largement décrit dans le poème avec « J'attends la venue du printemps » + personnification