Les Martyres Hugo

s’affirmaient pas. Un autre peintre, Robert Campin, est plus joyeux et plus bourgeois mais maîtrise moins bien la perspective. Encore un autre, Rogier de la Pasture produit des paysages moins panoramiques mais plus éclaircis et décentralise les sujets. Hugo van der Goes décentralise également le sujet et remet la perspective hiérarchique au goût du jour. Il introduit aussi dans ses œuvres des paysans, des personnes proches de la terre. Enfin l’Allemand Hans Memlinc, tout à la fin de la période flamande

capable de traduire les « mouvements lyriques de l’âme » et les « ondulations de la rêverie ». Ayant séjourné en France pendant cinq ans, Wang Duqing est tombé amoureux de la poésie symboliste française en s’éloignant du sillon de Byron et de Victor Hugo. Dans son article intitulé « Encore des propos sur la poésie », il essaie de définir la poésie par la formule suivante : (Émotion + Force) + (Musique + Couleur) = Poésie, dont chaque notion est représentée par un poète français : l’émotion de Lamartine

nouvelle qui la rendait si joyeuse. C’est honteux à dire, cependant nous ne faisons pas ici de l’immoralité à plaisir, nous racontons un fait vrai, que nous ferions peut-être mieux de taire, si nous ne croyions qu’il faut de temps en temps révéler les martyres de ces êtres, que l’on condamne sans les entendre, que l’on méprise sans les juger ; c’est honteux, disons-nous, mais la mère répondit à sa fille qu’elles n’avaient déjà pas trop pour deux et qu’elles n’auraient pas assez pour trois ; que de pareils

phase xii CONTENTS Décadisme The Symbolist movement The evolution of Symbolism Post-Symbolism The Symbolist revolution Schools of fiction Balzac Realism Naturalism Literary criticism The press Foreign influences Literature Poetry Lamartine Vigny Hugo Other Romantic poets Gautier Leconte de Lisle Parnassian poets Baudelaire Verlaine Rebels of the 1870s Rimbaud Mallarmé Laforgue Poetry to 1914 Conclusion Theatre 1800–50 Tragedy Comedy Romantic drama (1827–43) Musset Vaudeville Scribe Melodrama The

qui la rendait si joyeuse. C’est honteux à dire, cependant nous ne faisons pas ici de 38 l’immoralité à plaisir, nous racontons un fait vrai, que nous ferions peut-être mieux de taire, si nous ne croyions qu’il faut de temps en temps révéler les martyres de ces êtres, que l’on condamne sans les entendre, que l’on méprise sans les juger ; c’est honteux, disons-nous, mais la mère répondit à sa fille qu’elles n’avaient déjà pas trop pour deux et qu’elles n’auraient pas assez pour trois ; que de pareils

décor très artisanal) Aspect médiéval. On voit une appartenance au style courtois international par les proportions des personnages très minces, très étirés, et souvenir de l'étagement. Il y a une profondeur et une connaissance de la perspective.  Hugo VANDER GOES Sa vie n’est pas très longue et il a des problèmes psychologiques. A un moment, il va se réfugierdans une communauté religieuse. Il introduit dans la peinture la figure populaire !!Alors que jusqu’ ici quand ce n’est pas les religieux,

proscrits français (textes exclus, voire interdits du champ littéraire en France) qui voient le jour en Belgique suite à des raisons politiques (Napoléon III arrive au pouvoir en 1851, ce qui force de nombreux intellectuels – Alexandre Dumas, Victor Hugo, Lautréamont, Arthur Rimbaud – à s’exiler vers la Belgique et à y publier). La communion littéraire des deux pays est d’ores et déjà évidente. Camille Lemonnier (1844-1913) ouvre la voie au naturalisme (Un mâle). Les revues se multiplient : L’Art moderne

| |Du Bartas a composé avec les Sepmaines une oeuvre exemplaire de la production poético-scientifique de la fin du XVIe siècle, une oeuvre | |phare dont l’influence, du père Le Moyne à Goethe, de Victor Hugo à Patrice de La Tour du Pin, allait perdurer. | |Jusqu'en 1630 environ, Du Bartas est un des poètes les plus admirés. Puis les connaissances évoluent, et l'inspiration biblique et le style | |baroque sont rejetés au milieu

noms censés appartenir à la branche personnelle de l'encyclopédie. La vie de Ferron étant une vie d'écrivain, le nom de la ville natale dans «le Vilain petit mouchoir[90]» doit être associé au tout premier Louiseville, celui d'«Aurore, l'enfant martyre[91]». Tout en parlant du théâtre québécois, Ferron rappelle l'histoire d'un tenancier de bordel et père incestueux pour conclure: «La patrie que révèlent ces oeuvres [Aurore, Tit-Coq, Zone], pleurant sur le malheur de ses enfants, est pour moi plus

système de signes iconographiques - personnages, objets, symboles - d’une grande variété. Ces signes sont les attributs du saint. Les signes génériques sont l’auréole, un cercle lumineux autour de la tête, indice de sainteté; la palme, symbole du martyre; le livre, qui signale le docteur de l’Église, auteur d’ouvrages théologiques. On dispose encore d’autres signes qui fournissent des indications sur l’histoire personnelle du saint et sur ses pouvoirs en tant qu’intermédiaire entre Dieu et les hommes