Les Menteuses

19 novembre 2001 Clémence de B. La Dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil Sébastien Japrisot La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil La plus blonde, la plus belle, la plus myope, la plus sentimentale, la plus menteuse, la plus vraie, la plus déroutante, la plus obstinée, la plus inquiétante des héroïnes de romans d'angoisse... Prix d'Honneur de la Littérature Policière Prix Best Crime Novel (Grande Bretagne) 1966 SOMMAIRE 1- Présentation de l'œuvre 2- Biographie de l'auteur

cette figure renforce l'absence de certitude. Sigismond, à un moment, utilise un chiasme éloquent pour souligner le rapport entre vérité et mensonge : « Les gloires sont-elles si semblables à des songes que les véritables doivent être tenues pour menteuses et les illusoires pour assurées? »[14] À un autre moment, Estrelle aborde l'importance de l'unification phonétique de son nom à celui de Basile pour mener la guerre à terme : « A ton côté je serai Bellone; je joindrai mon nom au tien, Basile [.

vue d’accpetations futures »(p.214) On peut pourtant voir qu’il ne le fait que pour  prouver à soi – même qu’il existe encore « Il y a des moments de telle exaction que l’on a  vraiment l’impression d’exister »  Il donne une image de soi, qui est menteuse afin de contenter la société et de faire croire  aux gens qu’il essaie de s’adapter «  J’ai pris encore une souris, par la queue et je l’ai  avalée, avec démocratie. Dans un agglomérat de dix millions d’habitués, il faut faire  comme tout le monde

Qu'est-ce que tu caches dans ton tablier, voleuse, veuve de rien? Une citrouille? Une pastèque? - Je suis pauvre, Oncle Basile, et je n'ai pris qu'une pastèque bien rouge. Rien qu'une pastèque rouge avec des grains noirs au fond. - Montre-moi ça, menteuse, espèce de taupe noire, et rends-moi ce que tu m'as volé. Le vieux Basile s'engagea sur la pente en brandissant son bâton. Aphrodissia se mit à courir du côté du précipice, tenant dans les mains les coins de son tablier. La pente devenait de plus

de chambre grise, semée de capucines fanées. Elle a dix ans de moins que son mari mais est un peu plus grande en taille. Au lieu d'être une mère aimante et protectrice, elle est la tortionnaire des ses enfants. Elle se montre méchante, violente, menteuse, hypocrite, égoïste, avare, jalouse. Elle les prive de tout bonheur, établie une multitudes de réformes visant à supprimer leur enfance et à les réduire peu à peu à l'état d'esclave ( « […] Il n'avait pas vu sans déplaisir ses enfants transformés

cochon! LE ROI: Ça veut dire qu’elle t’aime, c’est sûr qu’elle t’aime! Moi, pendant toutes ces années, je ne suis pas sorti deux fois avec la même femme et ça, parce qu’elles ne m’aiment pas. Pour moi, toutes les femmes sont des hypocrites, des menteuses, des flatteuses éhontées qui ne tarissent pas d’éloges sur moi… et au fait, je leur soulève le cœur (il pleurniche) LE VALET: (compatissant) Ce n’est pas vrai ... LE ROI: (il se lève et avance en se déhanchant) ... Viens (il va vers le valet, prend

Ils leur disent également qu'ils ont besoin d'or pour des médicaments. Ce faux prétexte ne sert qu'à cacher, fort maladroitement, leur volonté de devenir riches. ( On a montré que les espagnols sont présentés comme des personnes violentes et menteuses. Les espagnols paraissent avoir tous les vices et cherchent à duper les Indiens. Ils n'attendent pas de réponses à leur discours mais les Indiens, lucides, vont répondre aux espagnols et retourner la situation à leur avantage. II- La supériorité

confirme à Nora : « une telle atmosphère de mensonges apporte la contagion et des germes malsains dans toute une vie de famille. Chaque fois que les enfants respirent, ils absorbent les germes du mal. Presque tous les jeunes dépravés ont eu des mères menteuses. » (p.111) Conclusion : Cette œuvre apparait donc dans un contexte où la femme commence à s’émanciper. Les débats qui agitent alors la société norvégienne ont une influence décisive sur le projet d’Ibsen. Il veut montrer qu’une femme ne peut

Jules Renard. Comme dans poil de carotte, elle comprenait son père, sa mère, sa sœur Amélie, son frère Maurice et lui-même. A la naissance de leur troisième fils Jules, le couple Renard ne s’entendait plus. Selon l’écrivain, la mère était méchante, menteuse et bavard. Quand au père il était rude, distant et farouche il ne pouvait souffrir des mensonge de cette femme fatigante et exaspérante. Pendent plus de trente ans il ne lui adressa jamais directement la parole. Il y avait dans la cuisine une ardoise

vivante. Son comportement dans le film est une concrétisation du passage où elle parlait à Laurent dans le roman on lui disant : «  tu ne saurais croire, reprenant – elle, combien ils m’ont rendue mauvaise. Ils ont fait de moi une hypocrite et un menteuse … ils m’ont étouffé dans leur douceur bourgeoise et je ne m’explique pas comment il y a encore du sang dans mes veines, […] j’ai eu comme eux un visage morne et imbécile, j’ai mené leur vie morte » b. Madame Raquin Mme