Les Miserables Reflet De La Societe

monde républicain. Des manifestations surviennent aux funérailles qui seront réprimées par le sang (cf. : Les misérables, Victor Hugo). L’idéalisme tel que le conçoit Musset caractérise l’atmosphère politique et les révoltes qui l’inspireront dans ses œuvres. Ce qui se passe dans la vie politique de cette époque est théâtral. Les allusions à l’actualité dans la pièce La pièce reflète l'atmosphère mouvementée des années 1830. Pour le lecteur de 1834, la pièce n'est pas éloignée des événements

un sentiment réciproque. Celle-ci est néanmoins possédée , malgré son jeune âge (quinze ans) parC haval, un homme brutal et jaloux.Etienne estr évolt é par les misérables conditions de vie des mineurs, et quand la Compagnie des mines, alléguant la crise économique, décide de baisser les salaires, sa révolte s'exaspère. Rêvant d'une société plus juste, il propage des idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève. Les semaines s' écoulent. Les grévistes affamés se déchaînent en une bande

qui se sont engagés en politique, plus nombreux encore sont ceux qui ont mis leur talent littéraire au service de la défense d’une cause. Pour certains d’entre eux, toute littérature doit même témoigner d’un engagement dans le réel. Cette exigence reflète les pouvoirs que l’on prête à l’écriture. A travers elle, une pensée informe, une idée abstraite, peut se construire ou prendre corps. On peut alors se demander de quel moyen dispose les écrivains pour dénoncer ceux qui les scandalisent. Nous mettrons

sera sensible, à travers ses observations des artistes dans les coulisses lors de leur travail au décodage existant entre la féérie des costumes et des spectacles et la situation sociale misérable des danseurs. Pour Degas, le monde du théâtre, de la musique et de la danse, focalise l’attention de la riche société qui peut s’offrir le luxe des spectacles, va devenir un lieu d’observation privilégié des rapports humains et des rapports contradictoires entre l’art, le travail et les affaires. A partir

Jean Gutenberg. 1454 : imprime la bible1469 à Lyon la première imprimerie en France. sociale : la naissance de l’intellectualisme qui n’est plus seulement entre les mains des ecclésiastiques mais à une laïcisation. Alphabétisation plus large de la société mais reste encore très restreint, c’est le début. Explosion des progrès techniques et scientifique. Avec cette envie de vivre mieux, il y a une spirale assentiment et un mécanisme d’enchaînement des progrès scientifiques et techniques. Exemple :

conception idéale, peu en rapport avec la réalité, qui se laisse aller aux caprices de l'imagination, de la rêverie. » (Trésor de la Langue Française.) À l'opposé, le roman réaliste présente des personnages appartenant à toutes les classes de la société, y compris les plus pauvres et les plus marginales, comme dans les contes et les farces ; il n'hésite pas à peindre les occupations des hommes les plus triviales et à évoquer le corps et ses fonctions dans les termes les plus crus. Ainsi, L'Histoire

ses choix personnels. Vers quoi l'ont-ils donc porté ? Que retirent Céline du climat littéraire et intellectuel de l'entre-deux-guerre ? Le Feu d'Henri Barbusse (1873/1935) relate l'expérience collective des tranchées en faisant le procès de la société. De nombreux autres influences sont à la racine du voyage au bout de la nuit, Vie des martyr de Geoges Duhamel (1917), Les Croix de Bois de Roland Dorgelès, l'Equipage de Joseph Kessel, ou encore Pain de Soldat d'Henri Poulaille. Tous ces auteurs

inachevé situe les Pensées entre un projet délibéré et un état accidentel. Mais l’apparent défaut fait toute l’originalité de l’œuvre. Elle lui confère même un aspect presque dramatique. Le lecteur assiste à la tentative apologétique d’un homme, reflet brut de son génie, de sa foi ardente, et de la difficulté et la fragilité de l’exprimer, de le transmettre, et de convertir l’incroyant. « L’éclat soudain de cette vive parole, l’impétuosité et presque la brusquerie de l’accent, font croire à quelque

beaucoup d'entre eux les conditions d'existence sont misérables. Au milieu du XIXème, la vie quotidienne est très difficile pour les ouvriers, notamment dans les grandes villes. Ainsi à Lille la vie hors de l'usine est difficile, les logements sont insalubres, beaucoup d'ouvriers vivent dans des caves et des greniers aménagés sommairement qui sont souvent source de maladies comme le choléra ou la tuberculose (doc. 4). L'insalubrité des logements reflète la précarité et la misère (doc. 4) de cette classe

du milieu minier, dans un cadre parfaitement réaliste en fonction de l'époque caractérisé par la société du second empire ainsi que par la présentation d'un un monde de transition industriel difficile et placé dans un contexte obscur. Toutefois, Zola dresse un tableau précis qui s'avère être un véritable documentaire sur les conditions de travail des mineurs en dénonçant la condition misérable des ouvriers, dans un des premiers chapitres du roman. L'auteur satisfait le principe d'objectivité