Les Miserables Reflet De La Societe

votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l'un, ni l'autre. Se venger est de l'individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d'elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas "punir pour se venger" ; elle doit corriger pour

symbolique. Ces différents visages de la titrologie ont trouvé leurs échos dans les travaux de Claude Duchet sur un corpus de titres du XIXe siècle ainsi que Léo Hoek qui considère le titre comme un phénomène psycho - social, une insertion dans la société et l’historicité. A partir du moment que le titre invite à l'identification de l'œuvre littéraire et à souligner son contenu, Hoek a désigné deux classes de titres : subjectaux qui annoncent le sujet du texte et objectaux qui désignent le texte en

dont les motivations et la psychologie sont détaillées par Maupassant, mais son parcours dans le milieu du journalisme, de la politique et des affaires permet de replacer le livre dans « le contexte littéraire, historique et culturel » dont il est un reflet fidèle. La fiche suit un parcours qui intègre ces deux éléments et aborde tous les exercices à maîtriser (lecture analytique, commentaire, dissertation). Les références L’édition de référence du livre pour les pages indiquées au cours de cette fiche

engendra des questions sur le savoir et donc forcément sur le pouvoir. Officiellement, la Querelle des femmes débute avec des interrogations sur le mariage, mais elle s’étend rapidement aux questions liées à l’éducation et au statu de la femme dans la société. Le débat littéraire que représente cette querelle englobe plusieurs aspects que nous verrons par la suite. C’est donc dans cette période, sous le règne d’un roi qui encourage les arts et se fait appeler « Le Père des Lettres, que Louise Labé

mais aussi pour créer une double interprétation. Dans le fantastique il y a toujours l'hésitation entre une explication naturelle et surnaturelle. Haine et provocation de la bourgeoisie Les barricades  de juillet 1830 inspirent Hugo dans Les Misérables et Delacroix  dans La Liberté guidant le peuple. Influences  du Moyen âge: le macabre, thème du vampire, solitude, mélancolie. Le Romantisme « noir » s'est inspiré du gothique. Au 17e siècle, «gothique» est un mot péjoratif désignant l'art du

.................................................................................... 24 Choses vues.......................................................................................................................................... 24 Les Misérables..................................................................................................................................... 25 Chronologie du combat de V. Hugo contre la peine de mort ................................... 26 Introduction

lecture. Il a une intense fatigue physique => lexique (brisé, creuse, fait mal), cette lecture captivante l’a plongé dans un univers de rêve pendant des heures. Il s’identifie avec le héros, il éprouve donc une grande émotion => longue énumération qui reflète sa passion pour la lecture basée sur des répétitions «  je suis resté penché sur les chapitres sans lever la tête, sans entendre rien, dévoré par la curiosité, collé aux flancs de Robinson, pris d’une émotion intense, remué jusqu’au fond de la cervelle

est évoquée. Le terme de compensation implique le fait d’être lésé. La justice implique non pas une vengeance, mais une compensation pour le dommage qu’on a subi. Au-delà du strict cas judiciaire, cela peut s’appliquer à n’importe quel cas dans la société. Comment définir une vertu ? Aristote est quelqu’un qui observe énormément la nature, et dans celle-ci, il remarque que l’excès est mauvais en toute chose. La médiété est un principe d’Aristote qui est le dépassement des extrêmes dans l’excellence

d'Antoine Macquart, a, à vingt-deux ans, fui Plassans avec son amant, Auguste Lantier, un ouvrier chapelier, et leurs deux enfants, Claude, le futur peintre de “L’oeuvre”, et Étienne le futur héros de “Germinal”. À Paris, ils habitent un hôtel meublé misérable dans le quartier populaire de la Goutte- d’Or. Lantier abandonne vite la jeune femme, emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies. Jolie, courageuse, dure à la peine, elle travaille comme blanchisseuse. Elle rencontre l’ouvrier zingueur

sombre. Tristesse pour Rastignac : « un accès d'horrible tristesse » l.23 « qui agaçait les nerfs » l.24 Conclusion : Le passage rapporte donc une cérémonie bâclée et presque anonyme qui souligne l'abandon par la société et par sa famille, d'un vieil homme malheureux et misérable. Cependant, de cette fin, semble se dégager un commencement. De la mort à la vie Apres la première partie du texte consacrée à l'enterrement du père Goriot, le texte fait place à Rastignac par un effet de glissement