Les Missionnaires Et Les Explorateurs

Jeunes-Turcs 1909 Discontinuité de Mohorovicic 1909 Baekeland, invention de la Bakélite 1909 Marinetti, Manifeste du futurisme 1910 Annexion de la Corée par le Japon 1910 - 1958 Afrique-Équatoriale française (A-ÉF) 1910 Conférence missionnaire internationale 1910 Proclamation de la République du Portugal 1910 Création de l'Union sud-africaine 1911 Diagramme de Hertzsprung-Russell 1911 Boas, l'Esprit de l'homme primitif 1911 Kamerlingh Onnes, découverte de la supraconductivité

de l’archéologie scientifique en Europe et la conquête coloniale européenne de l’Afrique et de l’Afrique Occidentale au milieu du XIXème siècle et au début du XXème siècle. En effet, la curiosité archéologique fut l’intérêt des explorateurs, administrateurs, missionnaires, administrateurs, officiers et autres agents coloniaux tels que les commerçants qui ont tous fait des collectes de surface et les ont soumis à l’appréciation des sociétés savantes de leurs métropoles. L’exploitation des ressources

Lorsque l'empire se lance dans l'aventure coloniale au début des années 1880, l'Afrique subsaharienne débouchant sur le Golfe de Guinée est encore en grande partie une terre en friche. En 1884, Bismarck y délègue le Dr Gustav Nachtigal, célèbre explorateur du centre africain, qui y proclame officiellement le protectorat les territoires qui deviendront le Togoland et le Kamerun. De nombreux comptoirs s'étaient établis sur la côte atlantique de l'Afrique à l'initiative de sociétés hanséatiques de

il faut administrer (organisation en provinces, construction de « maison forte », collecte du tribut, évangélisation…) et exploiter (mines d’or et d’argent, plantations de sucre, poivre, coton…). Cela nécessite l’envoi en nombre d’Européens (missionnaires, soldats, nobles, juristes…) vers les empires constitués. Il faut aussi assurer des liaisons régulières entre l’Ancien et le Nouveau Monde. L’Atlantique devient un lac européen. ■ La multiplication des contacts entre les Européens et le nouveau

des colons st svt très mal connus. Autant ceux qui ont échappé à l’emprise des colons (Inuits…) que les civ tombées ss leur domination (conquérants n’étaient pas ds l’optique de découvrir nvlles cultures). L’obj de la christianisation des 1ers missionnaires esp qui conduisaient à « extirper de l’âme indigène » les religions existantes ont conduit (malgré les efforts des jésuites) à la destruction de textes, images, monuments (=> irrémédiable perte pr l’hist). Mais on connaît actuellement une chronologie

mission civilisatrice » ; du devoir qu’elle avait d’apporter aux populations indigènes son savoir, sa science, sa langue et sa culture. Le progrès des sciences motiva et justifia en effet la pénétration européenne dans les « pays attardés ». Les explorateurs, encouragés par les sociétés de géographie, frayèrent souvent la voie aux marins ou aux soldats de leurs pays, volontairement ou non. L’action des médecins, de plus en plus efficace contre les maladies des pays chauds, donna une preuve tangible

son pays en trois fières époques: 1. le temps de la découverte, de l'exploration, des missions civilisatrices et de l'évangélisation: "La première (période) est consacrée à la découverte de l'Amérique et du Canada, aux premiers missionaires et explorateurs ainsi qu'aux luttes contre les Iroquois" 2. le temps des luttes et de l'abandon: "la deuxième s'inspire des principaux épisodes de la guerre contre les Anglais, surtout de la campagne de 1760 et de ses résultats" et 3. le temps du réveil d'une

19 nouvelés de Texotisme et si Theure n'est pas venue où les récits des errants ne vaudront plus que comme faits-divers. Quoi qu'il en soitj, historiens^ aèdeSj, touristes de jadis et d'aujourd'hui;, grands voyageurs, marchands, conquérants et explorateurs ont apporté de nombreux aliments à notre ture. Les littéra- noms La de ces hommes rassemblés dans une vue d'ensemble méritent peut-être d'être rappelés. qualité de certains et leur influence le indéniable sur milieu

auspices d’un Souverain dont le nom figurera dans l’histoire parmi les bienfaiteurs éminents de l’humanité ». Un des avantages, parmi d’autres, que Léopold II retire de cette aura, est l’appui très ferme, enthousiaste même, que lui apportent les missionnaires protestants. Ils plaideront énergiquement pour la reconnaissance de l’AIC par l’Angleterre. Emile de Laveleye, professeur à l’Université de Liège, était le plus connu des économistes belges du temps. De tradition d’économie politique libérale

faisait remarquer en 1818 que : « Les Lébous sucèrent dans les rapports qu’ils eurent avec ce peuple nomade les principes de l’islam et se firent presque tous des marabouts vers la fin du XVIIIème siècle ». Ici Mollien, qui fut l’un des premiers explorateurs français à visiter le Sénégal, fait allusion aux Maures qui menaient une vie erratique avec leurs nombreuses tournées à vocation religieuse, puisque la plupart d’entre-eux voulaient répandre la confrérie qadriyya à laquelle ils appartenaient.