Les Misérables La Petite Toute Seule

aux besoins de la famille, la patience à toute épreuve et la générosité de sa mère. Rien ne lui échappait; ni la tendresse d'une de ses tantes, ni la jalousie de l'autre, encore moins l'attachement de ses cousines et le dévouement de ses sœurs. Cette vie belle et dure à la fois telle que nous la raconte Mouloud Feraoun est imprégnée d'émotions, dans une société où l'on respecte les grands, écoute leurs conseils, où l'on protège inéluctablement les petits et les faibles. L'on est pauvre et l'on

bouche qui proclamait ses funérailles commencées. Écoutez, j’en ai assez du pittoresque et des couleurs et du charme. J’aime l’amour, sa tendresse et sa cruauté. Mon amour n’a qu’un seul nom, qu’une seule forme. Tout passe. Des bouches se collent à cette bouche. Mon amour n’a qu’un nom, qu’une seule forme. Et si quelque jour tu t’en souviens Ô toi, forme et nom de mon amour, Un jour sur la mer entre l’Amérique et l’Europe, À l’heure où le rayon final du soleil se réverbère sur la surface ondulée

auteur : sont épouse est morte et il relate la découverte de la cosse du décè de sa femme L auteur raconte la mort de sa femme qu'il aimait beaucoup ,depuis sont Décès sa vie est bouleversé : il ne sort pas, n’a plus d’amis et veut toujours être seule. Tellement il ne savait plu s'il fessait jours ou nuit s’il était mort ou vivant. Le marri ignorait la cosse du trépas de sa bien Aimée .pour oublier le chagrin il décide d’aller en voyage , quand il revient chez lui , il commence a repenser à sa femme

21 ans plus tard : grande ellipse temporelle qui oblige narrateur à signaler ce qui s’est passé tout ce temps : vieillissement des personnages (Angelica), accumulation de décès dans la famille, dans le bilan qu’il fait de sa vie : mort de « la petite Maria-Stella » (gangrène due au diabète, souffrances physiques), de son fils Paolo, de Pirrone, disparition de son fils préféré Giovanni (car celui qui lui ressemblait

les "mille strophes" des Petites Epopées auxquelles Hugo pensait depuis 1848 en un seul "hymne". "Divers par le sujet, mais inspirés par la même pensée", ces poèmes suivent "le grand fil mystérieux du labyrinthe humain, le Progrès"[4]. L'expression "Petites Epopées" ne fournit plus que l'un des sous-titres de la Légende des siècles ; elle désigne le genre littéraire d'un texte problématique - "petites" dément "épopées" parce que la Légende est aussi l'épopée des petits - mais dont la cohérence

comme infidèle → Deux enfants : gros plan émouvant sur « Claude » et « Etienne » (enfants de Gervaise)→ registre pathétique. L’espace : Nombreux « effets de réels » dans la description de la chambre : « misérable chambre », « un tiroir manquait », « petite table graisseuse », « un châle troué » → petits détails qui renforcent l’illusion réaliste. Vocabulaire de la misère, du manque. Gervaise vit à l’hôtel car elle vient d’arriver à Paris et ne connaît personne. De plus cet espace est comme entravé :

circonstances, mais de leur volonté d’échec aussi, sont devenus des misérables ». De son œuvre, voici ce qu’en résume lui-même Pierre Michon dans Le roi quand il en veut. Tout s’y croise comme thématiques pour nous laisser comprendre ce qu’est un minuscule : un lieu géographique, une volonté se transformant en échec, une possibilité de grandeur manquée mais aussi des histoires déterminées vers cette condition finale de misérable. Au-delà d’une empathie sincère pour ces descriptions, c’est aller

Lettre A Menécée, Lucrèce s'oppose ouvertement à la tyrannie des dieux. En effet, il montre dans ce texte que le règne de ces dieux est tyrannique: les destructions, les punitions, tous ces phénomènes sont opposables d'après Lucrèce. Mais pour lui, la seule raison pour laquelle les dieux ont un tel pouvoir sur le Monde, est l'obéissance aveugle des Hommes à ces dieux. En ignorant les conséquences des dieux sur le Monde et en leur obéissant tels des esclaves obéissent à leurs maîtres, les Hommes montrent

d’Eden, avec Adam et Eve qui vivaient dans la plénitude, dans le bonheur, et comme les trois espèces, ils ne connaissaient pas le manque. En effet, le désir n’existait pas, mais ceci dit, la peine et la souffrance non plus. Ces personnes avaient ce que toute notre vie, nous essayons d’atteindre : la vérité et le bonheur. Trs° : Mais, les espèces, dont Ephialtès et Otos, deux géants de 17 mètres, décidèrent de prouver leur supériorité aux Dieux, ainsi, ils ont entrepris « d’escalader le ciel pour combattre

|Napoléon 1er. Il devient l'empereur Napoléon III | |1851 Exile à Bruxelles |Coup d’état par Louis Napoléon Bonaparte | |1862 Publication ‘Les misérables’ | | |1870 Retour en France |1870 : guerre contre les Prussiens, chute de l'Empire, 3ème | |