Les Misérables Mort De Jean Valjean

procès a la littérature française dans lequel elle reproche à celle-ci de ne pas laisser de place pour l’expression des sentiments et des sensations, et où elle affirme que la littérature de l’avenir reposera sur une total liberté d’imagination. Jean-Jacques Rousseau fut l’un des principaux précurseurs du Romantisme français. Il écrit déjà l’expression de soi et ses sentiments, mais aussi la recherche de l’harmonie entre l’être et la nature dès 1761 dans Julie ou la nouvelle Héloise

Hugo le rappellera dans le livre VII de la quatrième partie des Misérables, il est le premier à introduire l'argot dans un roman ; il ajoute que les réactions furent horrifiées. Pourtant, dans l'article assez perfide que Charles Nodier écrit sur Le Dernier Jour d'un condamné ( Journal des Débats du 26 février 1829) , celui-ci fait silence sur ce recours à l'argot, sujet qui par ailleurs l'intéresse1. Il dit, qualifiant le style de Hugo : « Sa prose, riche et pittoresque comme ses vers, a pourtant

faits déjà connus. « IL Y A DU DEVOIR DANS CE LIVRE »  Quatrevingt-treize émane de l’impossibilité de Hugo à écrire en vers un développement sur « La prise de la Bastille » mais surtout de la réflexion qu’a entrepris Hugo lors de l’écriture des Misérables. Désormais, Hugo se rapproche d’un temps chronologique plus proche de lui : il va « du passé vers le présent, du chronologique vers l’actuel : ce qui implique, simultanément, du politique vers le social et de l’histoire vers la revendication. »

Classiques & Contemporains Collection animée par Jean-Paul Brighelli et Michel Dobransky ALEXANDRE DUMAS Le Bagnard de l’Opéra LIVRET DU PROFESSEUR établi par J EAN -PAUL B RIGHELLI professeur de Lettres 3 SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE Quelques anecdotes sur Dumas pour égayer la séance ...................................................................................5 Réflexions sur le titre ....................................................................................6 POUR

utile car accessible à un public large. Ainsi la fable est un moyen ludique, mettant en jeu des animaux pour parler des hommes, régulièrement employé pour l’éducation des enfants. C’est le cas des obsèques de la lionne, extrait de Fables VIII, 14, de Jean de La Fontaine dans laquelle l’auteur fait une satyre de la société en parodiant la cour de Versailles. La morale de l’histoire montre l’excès de douleur, sans aucun sens, qui n’est qu’une façade des personnages pour être bien vus du roi. Toutefois

propre gré, mais parce qu’il ignore les conséquences négatives pour lui-même, il se condamne à être malheureux. Socrate est condamné à mort en -399. Platon en est complètement traumatisé. Il se rend compte que non seulement l’erreur a le pouvoir de masquer la justice, mais aussi le pouvoir de l’assassiner. Pour Platon, la mort de Socrate représente la mort de la justice par l’opinion, par le mensonge et par le vice. Dans toute sa République, il tente de créer une cité idéale au sein de laquelle

ne découvre son nom et son titre de noblesse qu’aux lignes 18 et 19. Le mystère est renforcé par les précautions prises par le narrateur : ligne 9, aucune personne vivante concernée, et lignes 13 et 20  la suppression des noms des deux personnes mortes et de l’amie. b) la présence de deux narrateurs et de deux entrées en matière qui constituent un effet d’emboîtement - le narrateur externe explique, dans un récit au passé qui relate un épisode de sa vie personnelle (lignes 1 à 10) comment il

www.lefigaro.fr PREMIER VOLUME À PARAÎTRE : GUY DE MAUPASSANT « UNE VIE », « BOULE DE SUIF », « LA MAISON TELLIER » ET « BEL-AMI » PRÉSENTÉS PAR JEAN D’ORMESSON, AVEC 32 PAGES DE DOCUMENTS ORIGINAUX. DR JEAN D’ORMESSON PRÉSENTE SA BIBLIOTHÈQUE IDÉALE À partir du jeudi 12 mars, « Le Figaro » propose une collection exceptionnelle dirigée par Jean d’Ormesson. Tous les quinze jours, celui-ci vous fait découvrir les plus beaux chefs-d’œuvre de la littérature française : Maupassant, La Fontaine

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passé, il peut m’enfermer dans mon passé ou, au contraire, m’en libérer. C’est ce que nous avons illustré à travers ces deux personnages des Misérables de Victor Hugo que sont Javert, d’une part, et l’évêque, d’autre part. Javert est l’incarnation du regard qui enchaîne Jean Valjean à son passé : il est la chaîne qui fait de Jean Valjean un bagnard. Jean Valjean est celui qui pense et dit : « je sais ce que tu es : tu es et tu seras éternellement celui que tu étais, quelques que soient les masques