Les Multinationales Globales Andreff

mondialisation (reprise par l’OCDE) : (voir tableau récapitulatif des trois configurations) La configuration internationale (flux de biens et services) La configuration transnationale (flux d’IDE et implantations à l’étranger) La configuration globale (réseaux mondiaux) 1 – La configuration internationale : La justification de l’échange international par la théorie économique La théorie du libre échange : théorie ou doctrine qui applique les thèses libérales aux échanges internationaux

d’entreprises (voir supra) IV - Les SMN (Sociétés Multi Nationales) Le développement du commerce international depuis les années de l’après guerre, et son accélération depuis les années 1980 s’accompagne du développement des SMN (sociétés multinationales) ou FMN (firmes multi nationales) [2] Une SMN est une entreprise : qui dispose de plusieurs unités de production de son activité principale sur plusieurs territoires dont le capital est réparti entre de partenaires de différentes nationalités

2012-2013 Déterminants et Modalités des Multinationales et Délocalisation Préparé par :  EL MOUHER Mohamed Amine  LOUBARIS Doha  EL KHATTABI Soukaina  MARMRI Ichrac www.zik2ma.com TeChNi-AmEcO 2012-2013 Encadré par : Pr. LEHADIRI Abdrassoul Déterminants et Modalités des Multinationales et Délocalisation Sommaire Introduction……………………………………………………………………….…………………………………………….1 Partie I : Déterminants et modalités des multinationales……………………..……………..2 Section 1 : Concept de la multinationalisation

de sport, Jeans, …), les montres, les sodas, etc. A noter que cette tendance se retrouve également dans les services. Toutefois, cette mondialisation des produits et des services traduit moins une homogénéisation des goûts que la volonté des multinationales de réduire leurs coûts de production. D’ailleurs, les produits mondiaux sont encore peu nombreux, les spécificités nationales (voir régionales) demeurant très fortes. Section 2. Le flux de capitaux : la globalisation financière La

analyseur, comme peut le faire également la vie quotidienne, la mort, la séduction, etc. Une « sociologie de l'à-propos » : Sociologie qui croise incidemment des traits relatifs à la corporéité mais qui ne sont pas déterminants dans la construction plus globale de la recherche Une « Sociologie du corps » Précautons à prendre : Autant de sociétés, autant de représentations et d'actions différentes reposant sur les savoirs relatifs à la corporéité. Dans nos sociétés, aucune représentation du corps ne fait

the most important recent development in the global trade system. » BALDWIN R. (1997), « The Causes of Regionalism », The World Economy, Vol. 20, n°7, p. 865. « Le monde n’est plus le “dehors” de notre vie domestique : il a fait effraction dans le quotidien de nos vies, il y a introduit de nouveaux risques, de nouvelles formes de concurrence, de nouveaux defis, de nouvelles peurs. » LAMY P. (2004), La démocratie-monde. Pour une autre gouvernance globale, Paris, Seuil, p. 9. 3 Grands problèmes

à de profondes crises politiques. La pauvre Afrique est devenue ainsi balkanisée. En ce début du 3e millénaire, pendant que l'Afrique se débat avec son chapelet de misères, une somme de concepts est revenue au galop. Avec ferveur : village global ou planétaire, Internet outil de communication sans frontières, mondialisation, globalisation, délocalisation, technoglobalisme, internationalisation, etc. C'est cette nouvelle utopie, dénommée « mondialisation » que nous allons examiner en

SOMMAIRE I/ Les firmes multinationales a) Définition b) Evolution II/ La multinationalisation a) Les raisons b) Les étapes III/ Les impacts de firmes multinationales a) Les aspects positifs b) Les aspects négatifs

ces pays ont pratiqué des stratégies de "remontée de filière", profitant des investissements des firmes multinationales. On a pu alors parler de "miracle asiatique" pour qualifier les taux de croissance observés. Il faut toutefois nuancer cet optimisme, ces économies 5 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL 11/12/2013 restant très dépendantes des "donneurs d’ordre" (les multinationales occidentales) et très fragiles. Toutefois, ce processus génère autant de prospérité supplémentaire que

varie dans le temps et dans l’espace. Parmi les entreprises qui sont loin d’être anodine comme Fiat par exemple, produisent aussi des normes, des croyances… on a des entreprises qui ont un pouvoir structurant très important qui sont les firmes multinationales qui créent des filiales de productions à l’étranger. Elles exportent des croyances, des normes, des conventions… vers un territoire d’accueil qui va l’affecter. Une entreprise est autre chose qu’une fonction de production, il y a des choses