Les Multinationales Globales Andreff

international Matière : Stratégie de multinationalisation Prof. MAANINOU AMALIl est admis que trois acteurs sont les véritables piliers de la dynamique du commerce international : les Etats, l’OMC et surtout les firmes multinationales (FMN). Ces dernières y jouent un rôle important car, de par leurs stratégies, elles façonnent le paysage socio-économique à l’échelle mondiale en mettant en concurrence les territoires et les filiales. Elles déploient à cet égard de multiples

Introduction :  Les firmes multinationales sont des acteurs premiers dans le commerce international et aussi dans l’accélération de la mondialisation. Cette mondialisation s’explique par la révolution du dernier quart du siècle. Cette dernière est un phénomène aux dimensions multiples au cœur duquel se trouve la multinationalisation des entreprises. Ces entreprises multinationales contribuent déjà par leurs échanges internes au tiers du commerce international et des flux financiers. Les fusions

effets négatifs des firmes multinationales sur le commerce international : 16 1. Les risques monétaires et financiers : 17 2. Les conséquences sociales de la multinationalisation : 17 3. Les conséquences économiques négatives de l’internationalisation : 17 CHAPITRE III : Les FMN à l’origine du renouvellement du commerce international 19 I. LES EVOLUTIONS STRATEGIQUES DES FIRMES : 19 1. Les stratégies banales : 19 2. Des stratégies banales aux stratégies globales : 20 II. Le commerce intrafirme :

Chap 1 – L’ouverture des économies depuis le 19e siècle La mondialisation que nous connaissons depuis les 1980s n’est pas un phénomène nouveau. Les « économies-mondes » européennes avaient déjà entamé leurs échanges depuis le 16e siècle, dans le cadre du « commerce triangulaire ». Le Siècle des Lumières, les révolutions tant politiques qu’industrielles au 18e siècle diffusent ensuite l’idée de progrès et d’échange. La France et la Grande-Bretagne intensifient leurs échanges (

implanter ? Les réponses apportées à ces questions varient en fonction des priorités des firmes, mais aussi en fonction de la période considérée. Selon Wladimir Andreff, dans son livre Les multinationales globales, les FMN seraient ainsi historiquement passé de stratégies globalement qualifiées de « banales » à des stratégies plus « globales ». ● Les stratégies banales Les stratégies banales sont historiquement les plus anciennes. Elles reposent sur une vision encore nationale des firmes, dont la maison-mère

INTRODUCTION I. Présentation du groupe Accor II. Le groupe Accor et les spécificités d’une firme multinationale a. Les critères de définition d’une firme multinationale III. Le groupe Accor et les spécificités managériales d’une firme multinationale a. La conjonction globale locale b. Le management interculturel INTRODUCTION  Une multinationale, aujourd’hui, peut se définir comme une entreprise de grande dimension (c'est-à-dire qu’elle renferme plusieurs

processus induit plus de « globalité » La globalité désignant un état dans lequel un ensemble, pris en bloc est identifiable en tant que tel. En ce sens, la globalisation n’est pas seulement un processus de planétarisation, mais c’est aussi un processus global qui affecte tous les aspects de la vie économique et sociale (ce qui veut dire que la globalisation est aussi interne à chaque pays). On peut attacher 3 significations possibles au terme globalisation : a) La mondialisation peut être interprétée tout

Introduction : 2 Partie théorique 3 I. Les notions de la multinationalisation: 4 II. Les différentes causes et stratégies de la multinationalisation : 9 III. Les impacts de la multinationalisation : 13 Partie pratique : 15 Cas d’entreprise multinationale (royal air Maroc) 15 I. Présentation : 16 II. Création : 16 III. Filiales : 17 Conclusion : 18 Bibliographie : 19 Wébographie : 19 Introduction : Les entreprises ont toujours cherché, au-delà de la frontière nationale, un

Vietnam (tigres asiatiques) En raison de leur main-d'œuvre qualifiée et bon marché, ces pays étaient utilisés par les firmes multinationales comme bases de sous-traitance. Ils ont été d'abord engagés dans des secteurs industriels particuliers, comme les instruments d'optique, les montres, les jouets et les machines-outils. Les investissements directs des multinationales dans ces pays ont permis, d'un côté, le transfert de la technologie, et de l'autre, la création de nouvelles richesses qui finançaient

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