Les Munitionnettes

l’effort de guerre. En France, le 7 août 1914, elles sont appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani . Dans les villes, celles qui fabriquent des armes dans les usines (comme les usines Schneider au Creusot) sont surnommées les "munitionnettes". Les femmes auront fabriquées en quatre ans 300 millions d’obus et plus de 6 milliards de cartouches. Désormais, les femmes distribuent aussi le courrier, s’occupent de tâches administratives, conduisent les transports... Par l’ampleur des combattants

et à mesure , l'espoir d'une guerre courte s'envole. Donc le gouvernement a besoin de plus de main d'oeuvre , notament dans les usines d'armement. Il fait donc appel à une main d'oeuvre féminine plus importante. Ces femmes sont surnommées les "munitionnettes": elles agissent commes des hommes, s'habillent et se coiffent commes des hommmes .Cependant , elles réussissent à effectuer des travaux difficiles , qu'elles n'avaient pas l'habitude de faire . Les femmes sont aussi mobilisées sur le

conditions de vie très difficiles (restrictions, occupation, réquisitions), on peut saluer le rôle de certaines, marraines de guerre, qui s’occupent et remontent le moral des soldats sans proches ou se trouvant dans les zones occupées, les « munitionnetes » qui travaillent dur aux usines d’armement, les paysannes et les commerçantes qui remplacent leur conjoint. La première guerre mondiale a pu affirmer le rôle des femmes ; elles ont pu montrer qu’elles pouvaient avoir leur place dans le monde

femmes. Les solutions apportées : Lorsqu'on parle de sexisme, aucune solution n'est vraiment efficace, mais les luttes existent bien ! Tout d'abord l'arrivée massive des femmes dans les usines lors de la première guerre mondiale (ex : les munitionnette) a contribué grandement à leur reconnaissance sociale. Elles se sont également battues pour obtenir le droit de vote, ce qui prouve qu'il peut tout de même y avoir des améliorations. Conclusion : On a vu que les problèmes posés sont essentiellement

financières du pays. Toutes les catégories sociales sont impliquées: Les ouvriers, les paysans, les femmes. Une économie de guerre est mise en place : toutes les activités économiques sont orientées vers les besoins de la guerre (travail féminin (munitionnettes), productions industrielles de type militaire (Renault par exemple... ). L'effort financier est important : les gouvernements doivent recourir à l'emprunt auprès des populations civiles pour financer la guerre. L'arrière est touché par les pénuries

population ou de pays étrangés , et multiplies l'émission des monnais ( d'où une forte inflation où hausse des prix ) ; - les gouvernements sollicitent la main d'oeuvre féminine pour remplacer les hommes partis aux combat : dans les usines ( munitionnettes ), les champs , l'administration , les transports.. - ils embauchent aussi des ouvriers venu des collonies et autorisent le retour des affectés spéciaux ; - enfin, les populations subissent la sencure et une intense propaguande (affiches

The French woman in war Source: Bibliothèque de documentation internationale contemporaine / Musée d'histoire contemporaine. Présentation du document 2: Cette affiche représente trois femmes qui exercent différentes activités. - une "munitionnette", ouvrière d'usine devant sa machine à tourner les obus - une mère allaitant son enfant - une paysanne qui bêche un champ de maïs Document 3: Source: Archives départementales de l'Indre Présentation du document 3: Ce document imprimé

econvertissent pour produire du matériel de guerre (ex : les usines Renault qui produisaient des véhicules automobiles fabriquent désormais des chars, des obus…) Les femmes remplacent les hommes à l’usine et dans les champs. On a même surnommées » munitionnettes » les femmes qui travaillaient dans les usines d’armement. Attention, il restait quand même des hommes à l’arrière : ceux qui, trop jeunes, trop vieux ou inaptes n’étaient pas partis sur le front, ainsi que les étrangers. Le gouvernement français

hommes au travail par le Président du Conseil René Viviani. Ainsi, les femmes se mettent à travailler dans les usines, laissant de côté le travail dans lequel elles étaient employées. On assiste alors à une féminisation du secteur tertiaire. Les « munitionnettes », qui s’occupent des industries d’armement et de la création d’obus et de munitions, sont les mieux payées. En effet, en 1917 leur écart moyen de salaire avec les ouvriers masculin n’est plus que de 20% contre 50% en 1913. Les femmes remplacent

Sterling perdent de la valeur). Mobilisat° industrielle : ttes les usines von êtres utilisées pr prosuire de l’armem±. Les femmes vont être réquisit°nées pr le travail en usine : « munitionnettes ». Les ouvriers qualifiés et contre-maîtres auront la chance de rester pr superviser cette industrie. 430 000 munitionnettes pdt la GM en FR. Les femmes seront employées à ttes les tâches réservées aux H. On a des marraines de G qui enverrons du courrier etc… au soldats (+ particulièrem± ceux qui n’ont pas