Les Munitionnettes

Une carte qui montre les alliés en Europe pendant la première guerre mondiale. 2.) Une phot qui montre des femmes qui travaille dans une usines pour fabriquer des habilles. 3.) Une photo qui montre « les munitionnettes » pendant qu’elles travaillent. . 4.) Une photo qui montre les « anges blancs » qui prennent soins des soldats blessé. 5.) Une affiche de la propagande qui demande une donation. 6.)

B) Les ｫ munitionnettes ｻ 1. Un phénomène de grande ampleur Le terme de « munitionnette » désigne les ouvrières travaillant dans les usines de production de munitions (balles, obus). Ce terme n'existait pas avant la Grande Guerre, et c'est l'ampleur du phénomène qui donne naissance au terme. Dans les usines Citroën, qui ne produisent à ce moment là que des obus 75mm, les employées sont jusqu'à 80 % des employées. Dans la région de la Seine, on compte environ 100 000 munitionnettes contre seulement

balles de leurs concitoyens. A toutes celles enfin qui ont résisté ou lutté. Pour que leur mémoire perdure. Amaury Lors de la Première Guerre mondiale, les femmes de toutes les nations contribuèrent à l’effort de guerre, sous des formes diverses : munitionnettes, infirmières, etc… Ce rôle important fut reconnu dans de nombreux pays, et les femmes obtinrent le droit de vote : au Royaume – Uni, au Canada, en Russie Soviétique… Mais dès la fin de la guerre, elles sont renvoyées chez elles, à leur foyer,

d'armement. On retire du front les ouvriers qualifiés, spécialistes indispensables en tant « qu'affectés spéciaux ». Les colonies fournissent au total environ 600.000 hommes et plus de 150.000 travailleurs. On a recours au travail féminin (ex : « munitionnettes »). La main d'œuvre manque, car les ouvriers sont au front. Pour les remplacer, on fait appel: Aux femmes : en 1913, 487,000 femmes travaillent dans l'industrie, et 627,000 en 1917. On leur confie des emplois qu'elles n'avaient jamais occupés

des États et des sociétés. -Accroissement du pouvoir/contrôle de L'État sur ses populations. -PGM a entrainé la mobilisation de plus de 70M européens. -Le départ massif des hommes oblige les femmes à travailler aux champs/usines d'armement.(munitionnettes) Cette guerre met en œuvre une puissance de feu et plus dévastatrice que dans les conflits précédents. -Production massive et standardisée d'armements redoutables. -Usage croissant des avions et sous-marins. -Apparition des gaz en 1915/chars

mondiale s'inscrit également dans la notion d'une guerre totale. A) MOBILISATION DES ESPRITS Les États mobilisent toute la main-d’œuvre dont peuvent avoir besoin les industries de guerre. Le cas des femmes, en France, est le plus connu : les" munitionnettes " et les " midinettes " remplacent les hommes dans les usines. Mais les belligérants font également appel aux travailleurs étrangers (250 000 Européens du Sud en France), aux ressortissants de leurs colonies (plusieurs centaines de milliers

agricoles tandis que d’autres exercent une activité dans l’industrie. En effet, les grandes entreprises de construction automobile comme Renault et Citroën, se reconvertissent dans la fabrication de munition (obus,..) : on nomme leurs ouvrières « munitionnettes ». Les Etats font aussi appel à la générosité des populations civiles afin de financer l’effort de guerre. Des collectes d’argent sont organisées dans tous les pays et les impôts augmentent. Sauter une ligne La Première Guerre Mondiale est une

financières du pays. Toutes les catégories sociales sont impliquées: Les ouvriers, les paysans, les femmes. Une économie de guerre est mise en place : toutes les activités économiques sont orientées vers les besoins de la guerre (travail féminin (munitionnettes), productions industrielles de type militaire (Renault par exemple... ). L'effort financier est important : les gouvernements doivent recourir à l'emprunt auprès des populations civiles pour financer la guerre. L'arrière est touché par les pénuries

se mobiliser, et surtout les femmes. Tous les hommes en âge de travailler ont été mobilisés, c’est pourquoi les femmes doivent les remplacer dans l’agriculture et l’industrie. Elles travaillent dans les usines d’obus, où elles sont appelées « munitionnettes », ou encore dans les usines Renault, qui emploient désormais en 1918 un tiers de femmes, mais également dans les champs, où elles s’occupent des récoltes, moissons etc… Des femmes bénévoles, surnommées les « anges blancs » deviennent aussi infirmières

c'est-à-dire la zone où on lieu les combats, et l’arrière, participent de façon égale, c'est-à-dire que militaire et civile se partagent les taches A l’arrière la main d’œuvre féminine pour la fabrication des armements. On appelle ces femmes les munitionnettes Dans ces conflit l’Etat emprunte pour financer l’effort de guerre. Dans une guerre totale, toutes les opinions politiques ou religieuses pousse aux conflits : C’est l’union sacrée. De plus l’Etat dirige les opinions grâce à la mise en place de