Les Munitionnettes

quelques mois, les gouvernements se rendent compte que le conflit risque de durer longtemps, il devient nécessaire de mettre en place une économie de guerre. Les femmes remplacent les hommes dans lindustrie, lagriculture et les transports (ainsi les munitionnettes fabriquent les obus). Toutes les entreprises se spécialisent dans la fabrication de matériel militaire (armes, munitions, chars) Pour pouvoir ravitailler les soldats, une grande partie des productions sont réquisitionnées (= obligation de fournir)

totale car elle mobilise à la fois les esprits et les ressources matérielles et financières du pays. Une économie de guerre est mise en place : toutes les activités économiques sont orientées vers les besoins de la guerre (travail féminin (munitionnettes), productions industrielles de type militaire (Renault par exemple... ). L'effort financier est important : les gouvernements doivent recourir à l'emprunt auprès des populations civiles pour financer la guerre. L'arrière est touché par les

longue implique très vite de faire appel aux femmes dans des secteurs qui leur étaient jusqu'à alors étrangers. Bien que lente et tardive, leur intégration est indispensable notamment dans les usines d'armements où l'on comptera plus de 400 000 « munitionnettes » en 1918. Elles sont moins payées que les hommes et travaillent douze à treize heures par jour. Ceci jeta un regard nouveau non dépourvue d'humour, sur le travail féminin et le statut de la femme au sein de la famille et de la société. Mais malgré

et d’échanger leurs produit contre d'autres denrée rare durant la guerre. - Certaines femmes sont "anges blanc" infirmière au front, médecins, aides-soignantes dans des hôpitaux aménager , sous des tantes. - Il y a aussi les "munitionnettes " ou femmes des villes qui travail dans les usine de fabrication d'armes de guerres ,obus,armement, tout ce qui servira a la guerre , elles pallient aussi au manque de main d’œuvres dans de nombreux domaines: distribution de courrier,conductrice

batailles. Infirmières pour, les femmes bénévoles à aider les médecins au front. Joffre pour, le maréchal. Kilomètres pour, plus de 700 km de front. La Voix des femmes pour, le témoignage d'ouvrières (novembre 1917 - janvier 1918). Munitionnettes pour, les ouvrières dans les usines d'armement. Noire pour, qualifier cette époque. Owen Wilfred pour, ce poète anglais considéré comme le plus grand de la Première Guerre mondiale. Pallier (dessinateur) pour, son illustration une vocation

concerne pas que les soldats, elle touche toute la société de différentes façons : il y a ● la mobilisation de la main d'œuvre (il faut remplacer les hommes partis au front, ce qui pousse des femmes à travailler dans l'industrie, notamment les « munitionnettes » qui travaillent pour l'industrie d'armement.). ● La mobilisation industrielle : beaucoup d'entreprises se mettent au service de la guerre et changent leur production pour répondre aux besoins des armées. Renault, par exemple, va construire

mondiale, les femmes participent à l'effort de guerre. En Allemagne, aux États-Unis, en France, au Japon ou au Royaume-Uni, elles travaillent notamment dans les usines d'armement. Aux États-Unis, les femmes produisant les munitions sont surnommées « munitionnettes » depuis la première guerre mondiale. Au service du IIIe Reich, de nombreuses Allemandes participent à la gestion des territoires occupés (secrétariat, tâches administratives). En France, elles sont surnommées les « souris grises ». Les plus fanatiques

partent la fleur au fusils ils sont persuadés de gagner la guerre rapidement. Pour les femmes : Pleine période de moisson, on fait appel aux femmes dans les champs, les usines(d'armements). C'est un métier dangereux pour les femmes tel que les munitionnettes. Elles sont ensuite appelés a soigner les blessés et remonter le moral au poilus. Pour les colonies : Ils participent à la guerre, sont toujours en première ligne, ils sont utilisé comme de la cher à canon. (sénégalais) Industrie : industrie

eu d’impact important sur le taux d’activité des femmes. Cependant, leur travail change. Pendant la guerre, les femmes vont travailler dans les usines d’armement, fabriquer des armes, des munitions. C’est ainsi qu’elles auront le surnom de “munitionnettes”. Elles peuvent aussi travailler dans les campagnes et reprendre le travail des hommes de leur famille, ou alors, s’engager comme infirmières: elles peuvent assister les médecins sur les champs de bataille. Pendant cette période, les femmes effectuent

guerre. Des campagnes, des propagandes sont lancées pour inciter les français à donner de l’argent pour la victoire du pays. Les femmes et les enfants travaillent pour remplacer les hommes, on les envoie dans les usines fabriquer des munitions (munitionnette), certaines femmes partent sur le front pour devenir infirmières et d’autres deviennent «  marraine de guerre », elles envoient des lettres aux soldats et de la nourriture. Les entreprises devront adapter leur production au besoin de la guerre