Les Mystères de l'amour

au-delà de l’expression lyrique du sentiment la démonstration du sublime et du grotesque propre à V. Hugo. Structure : 3 mouvements : du début -> v. 1284 : l’amour : il s’agit de l’expression de la jubilation du héros face à son bonheur v. 1285 -> 1275 : il exprime la cause de son bonheur : la reine l’aime v. 1298 -> fin : porté par l’amour, Ruy Blas se présente comme un pro chevalier au service de sa dame pendant que Don Salluste fait son entrée I. Une scène de transfiguration 1. Une scène de

raison c’est l’amour. Avec cette mise au premier plan de l’amour, la vérité perd son caractère de commandement coercitif qu’il faudrait appliquer à la lettre. Car le statut de l’amour interdit une exigibilité d’apparat. Bien que le seul commandement soit d’aimer, l’amour ne peut faire partie des tables de la loi. L’amour provient du plus profond d’un homme afin de lui faire aimer son prochain. Il s’ensuit que commander d’aimer n’est qu’une métaphore, pour faire comprendre à quel point l’amour est nécessaire

mentale est un commerce d’amitié où l’on s’entretient souvent seul à seul avec DIEU dont on se sent aimé ». ♦ Pour la Petite THERESE : « L’oraison est un commerce d’amour, échange d’amour entre DIEU qui est l’AMOUR essentiel et l’homme, fait pour aimer, et qui ne peut recevoir l’amour que de son DIEU ; commerce d’amour entre la misère de la créature humaine et la miséricorde amoureuse du CRÉATEUR. ». ♦ Pour DON MARMION « L’oraison est un entretien de l’enfant de DIEU avec son

MOUVEMENT ROMANTIQUE I - Les constantes des textes romantiques Quelques thèmes apparaissent de façon récurrente chez les auteurs romantiques, comme le "moi" et l'amour malheureux. Quelques décors sont privilégiés ainsi que l'Histoire et l'exotisme. Quelques sensations sont suscitées chez le lecteur, comme le dépaysement et le mystère. 1 - Le "moi" Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. Des genres naissent ( comme

« foudroyant » = instantanéité de l'amour, ce qu'on appelle très exactement le « coup de foudre » ! - Enjambement v. 5/6 : accentue l'immédiateté de l'amour ; - La métaphore des « sagettes » v.8 et des « traits » v.9 est un topoï (c'est-à-dire un lieu commun, un motif récurrent) de la poésie amoureuse : ce sont les flèches de Cupidon, qui rendent fou d'amour quiconque en est touché ; - « Amour » répété deux fois au v.9, de part et d'autre de la césure + allégorie de l'amour avec sa majuscule => lui

  INTRODUCTION 1. Sacrement de l'amour, (1) la sainte Eucharistie est le don que Jésus Christ fait de lui-même, nous révélant l'amour infini de Dieu pour tout homme. Dans cet admirable Sacrement se manifeste l'amour « le plus grand », celui qui pousse « à donner sa vie pour ses amis » (Jn 15, 13). En effet, Jésus « les aima jusqu'au bout » (Jn 13, 1). Par cette expression, l'Évangéliste introduit le geste d'humilité infinie accompli par Jésus: avant de mourir pour nous sur la croix, se nouant un

chemin que le but, car le but n’est sans doute pas le but, mais le chemin est peut-être le but. Je travaillais à la rédaction de cette planche lorsque mon attention fut détournée par un article du journal « Le Monde » daté du 31 mars 2010 : « Le mystère de la création de l’Univers sera peut-être éclairci grâce au Large Hadron Collider, le plus grand instrument scientifique du monde ». Il s’agit en effet de reconstituer un Bing Bang en sous-sol. De fait, une équipe de chercheurs voudrait provoquer

des êtres invisibles et puissants (polythéisme) ou en un Dieu personnel (grandes religions monothéistes comme [le judaïsme] le christianisme ou l'Islam). Il commence par être celui du Sacré qui comporte .../... trois composantes : la crainte, le mystère et la fascination." (Roussel/Durozoi, Philosophie, Nathan, p. 568 "Dans la structure généralement complexe de la religion, on observe, d'une part, un message spécifiquement religieux [des croyances (= ce que l'on tient pour vrai, absolument) transmises

L'amour caché. Recueil : Poème d'amour. Mon âme a son secret, ma vie a son mystère Un amour éternel en un moment conçu : Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. Hélas ! j'aurai passé près d'elle inaperçu, Toujours à ses côtés et pourtant solitaire ; Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, Elle suit son chemin, distraite

forcément les accepter comme ils sont, comme ils se montrent à nous avec leurs qualités et leurs défauts. Accepter les autres, c'est accepter qu'ils aient un mystère qu'on ne connaît pas et un avenir qui pourra les transformer. Les accepter, c'est donc un acte de foi et un acte d'espérance. Et c'est en ce sens que c'est un acte d'amour, parce que l'amour englobe la foi et l'espérance. Accepter son prochain, c'est lui dire : Mon frère, ton sourire ou tes rides, tes qualités ou tes défauts ne sont pour