Les Mystères de l'amour

existentiels et fait tout pour sauver la vie de Frantz. 82 En somme, dans «Le Grand Meaulnes», nous avons affaire à une amitié vraie et durable. Cette amitié offre tout et n’attend rien en retour. L’amour est un autre grand thème de la littérature de l’enfance et de l’adolescence. Chez Alain-Fournier, l’amour devient le problème dominant aussi bien dans la vie de l’écrivain que dans celle de ses personnages. Or, «Le Grand Meaulnes» est un véritable miroir de ce que l’auteur a réellement vécu lui-même

DU MOUVEMENT ROMANTIQUE I - Les constantes des textes romantiquesQuelques thèmes apparaissent de façon récurrente chez les auteurs romantiques, comme le "moi" et l'amour malheureux. Quelques décors sont privilégiés ainsi que l'Histoire et l'exotisme. Quelques sensations sont suscitées chez le lecteur, comme le dépaysement et le mystère. 1 - Le "moi"Le Romantisme s'écrit d'abord à la première personne. La poésie lyrique exalte un "je" qui s'exprimerait au nom de tous. Des genres naissent ( comme

de connaissance. Nous essayerons de vous démontrer pourquoi, selons nous, l’amour et l’inspiration poétique sont liés. Mais tout d’abord qu’est ce que l’inspiration ? Certains diront qu'il s'agit de la muse de l'artiste ou de l'écrivain… L'inspiration provient avant tout d'une source aussi inconnue que spontanée. Tout artiste s'accorde à dire qu'elle apparaît souvent au moment où l'on s'y attend le moins. Et l’amour ? Ce sentiment magnifique qui réunit deux personnes, qui nous rend heureux comme

pureté, la virginité, l'innocence, l'amour courtois, le silence et l'intérêt. La rose épanouie représente la beauté passagère. La rose jaune représente le mensonge, la trahison, pour se faire pardonner une infidélité. La rose rouge représente le sang de la blessure, de la souffrance et de la passion amoureuse. Le langage des tulipes : La tulipe rouge signifie une déclaration d'amour. La tulipe panachée signifie l'admiration. La tulipe jaune signifie l'amour sans espoir. Le langage des œillets

relations les plus intenses et les plus vraies (20). « Ce jeu mystérieux qui va de l’amour d’un corps à l’amour d’une per- sonne m’a semblé assez beau pour lui consacrer une part de ma vie. ». Les mots trompent : celui de « plai- sir » par exemple qui recouvre des réalités contradic- toires (douceur et douleur). La petite phrase obscène de Poeidonius que je t’ai vu recopier ne définit pas davan- tage le phénomène de l’amour. « C’est moins la volupté qu’elle insulte que la chair elle-même, cet instrument

Contemplations est un recueil du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée . D’abord l’expérience de la douleur le fait communier avec tous ceux qui souffrent. Ensuite il trouve en lui-même sa suprême ressource : dans la conviction qu’il est appelé à percer par son génie le mystère du monde et à le révéler par la magie de

pas toutes les conséquences. Je ne serai jamais plus le même, mon état à changé, le profane que j’étais n’est plus … l’initié vient de naître, il a peine 3 ans et ne sait ni lire ni écrire mais ses frères le reconnaissent comme tel. Par l’énergie, l’amour et la tradition je suis devenu un initié balbutiant, mais un initié à part entière. Très vite, je réalise que l’initiation est un chemin, un chemin journalier qu’il me faut parcourir sans relâche au risque de stagner. Les oripeaux du vieil homme

Poèmes lyriques sur la mer : Un coucher de soleil, en Bretagne (José M. de Hérédia) L'HOMME ET LA MER Charles Baudelaire L'amour de la mer ( Joseph Bironneau) O mer, je ne connais plus délicat plaisir que celui de fouler de mes pieds ton rivage aux endroits tourmentés de la côte sauvage, Pour peu que le labeur m'en laisse le loisir. Rien ne m'est agréable autant que de choisir Parmi tous ces galets, fruits d'un ancien clivage, Et qu'en expert polit l'incessant avivage

toute mesquinerie, de toute prosopolepsie, Dieu considère la substance et non les épithètes plus ou moins pittoresques ou folkoriques. P42 n Aimer conditionnellement, moyennant certaines précisions et discriminations , n’est-ce pas subalterniser l’amour ? Allons jusqu’à dire que le paradoxal moral est virtuellement impliqué dans l’idée rationaliste de l’universellement humain. L’homme qui est le sujet moral des droits de l’homme et des devoirs de l’homme, cet homme n’est pas l’homme considéré comme

l’interrogation, la rendent encore plus pressante et presque insupportable. L’analyse de la condition humaine aboutit à des « contrariétés », à des antinomies, à des propositions contraires et inconciliables pour la raison ; la recherche débouche sur le mystère : l’homme présenté par Pascal devient un monstre incompréhensible, infiniment misérable dans son infinie grandeur. Dans sa pire misère, l’homme est grand en ce qu’il pense. La grandeur vient de la misère : «  La grandeur de l’homme est grande en ce