Les Normes Prudentielles Accorde De Bale

au contrôle et aux règlements de la Banque du Liban ou Banque Centrale qui est l’autorité monétaire du pays. La Banque du Liban contrôle l’entrée au secteur bancaire, définit le champ d’activité des banques et dresse les éthiques et les règles prudentielles qui régissent le secteur.  La Commission de Contrôle des Banques qui a été créée en 1967 est l’autorité de supervision. Elle supervise les activités des banques et s’assure de l’application des lois et des règles en vigueur.  Le progrès du secteur

des banques de dépôts britanniques et se composaient dans une large mesure de bons du Trésor et de titres publics à court terme. Actuellement, ces avoirs correspondent à 0,5 % environ et les actifs liquides traditionnels à quelque 1 % du passif. Les normes antérieures relatives à la transformation des échéances n’ont pas non plus été conservées. Des proportions croissantes d’actifs à long terme ont été financées par des emprunts à relativement court terme sur les marchés interbancaires. Les conduits

liés à la distribution du crédit: Section 3 : Risques découlant de la gestion des établissements de crédit 1 ESTO Rapport de stage de fin d étude Chapitre III : La gestion des risques des crédits bancaires Section 1 : Dispositif de Bâle II Section 2 : Les moyens de prévention des risques des crédits bancaires 2-1) Les mesures de prévention des risques des crédits 2-2) Le coefficient de division des risques Section 3 : Les moyens de limitation des risques des crédits bancaires

anglais, on parle de « Subprime Mortgage » ; « Subprime » parce qu’ils sont accordés, à des taux variables peu élevés les deux premières années et ensuite très élevés, à un emprunteur qui n’offre pas les garanties nécessaires ;  « Mortgage » car ce mot découle du vieux français. Il désignait une servitude féodale qui contraignait le paysan à un endettement à vie. Les subprimes sont donc des crédits hypothécaires accordés à une clientèle peu solvable sur la base d’une majoration du taux d’intérêt

troisième illustre le rôle du système d’information dans le suivi, le contrôle et la gestion de ce risque. Plan Introduction 2 I. Risque opérationnel : Définitions et enjeux 4 1. Une notion précisée par le comité Bâle II  4 a. Définition des Risques Opérationnels selon « Bâle II »  4 b. Composantes du risque opérationnel 4 2. Une nouvelle exigence en fonds propres 5 3. Objectifs d’une gestion efficace du risque opérationnel 7 II. Risques opérationnels : Analyses et maîtrise 7 1.

35 3. Autres recommandations concernant la régulation 38 Conclusion Introduction C es dernières années, les crédits aux ménages ont été multipliés profitant des taux d'intérêts qui étaient plutôt bas. Une partie de ces crédits ont été accordés à des ménages peu solvables, quand les taux d'intérêts ont augmenté, des milliers de familles n'ont pu faire face aux échéances. Ceci à provoquer des pertes considérables et à mener des sociétés de financement à la faillite aux Etats Unis. Une crise

tout au long de cette période de stage et qui ont su m’enseigner avec une grande pédagogie leur savoir en inspection bancaire. Ce métier étant très spécialisé nécessitait de leur par un grand investissement professionnel et personnel qu’ils m’ont accordé avec une extrême gentillesse. Je leur témoigne tout mon respect et ma gratitude pour cette phase qui restera une grande et belle expérience. Un grand merci également à Monsieur Denis CHARTIER, responsable du contrôle permanent de la Direction des

tout au long de cette période de stage et qui ont su m’enseigner avec une grande pédagogie leur savoir en inspection bancaire. Ce métier étant très spécialisé nécessitait de leur par un grand investissement professionnel et personnel qu’ils m’ont accordé avec une extrême gentillesse. Je leur témoigne tout mon respect et ma gratitude pour cette phase qui restera une grande et belle expérience. Un grand merci également à Monsieur Denis CHARTIER, responsable du contrôle permanent de la Direction des

à leur tour, élaboré des doctrines dont l’objet principal est de soumettre les banques à des règles permettant de minimiser le risque de les voir manquer à leurs obligations vis-à-vis de leurs déposants. Le développement de ces règles dites « prudentielles » est en train de converger vers une approche de plus en plus similaire à celle résultant des analyses de la théorie financière : le projet du nouveau ratio de solvabilité dit « Mc Donough » a pour principal objectif de mieux prendre en compte

GÉNÉRAL _______________________________________ MISE EN ŒUVRE DU PROCESSUS DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE ET D’EVALUATION DES RISQUES (PILIER 2) CRITERES ET METHODOLOGIE UTILISES PAR LA COMMISSION BANCAIRE 1. 2. Introduction ......................................................................................................2 Modalités d’application du processus de surveillance et d’évaluation prudentielle ........................................................................................