Les Ordres Mendiants

motif de sa paroisse, l’oblige a porter la soutane, punira les prêtes concubinaires. Il veillera également à éloigner de l’autel les prêtres vagabonds et inconnus. Cette dernière mesure est prise envers les ordres mendiants dont Sauvageon fait référence à la ligne 22- 23. Ces ordres sont des ordres religieux qui dépendent de la charité, qui ne possède pas de propriété. Ils vouent toute leur vie et leur énergie à la vocation de l’ordre. Ainsi, avec d’une part des règles fixent et nouvelles et d’autre

marquée par le développement de grands ordres monastiques (clergé régulier). Les moines (et les moniales) veulent se retirer loin du monde dans des abbayes, des monastères isolés afin de mieux prier pour le salut de leur âme et de celles des autres croyants. •La plupart des moines suivent depuis le 9ème siècle la règle de st Benoît. Cette règle et ses différentes interprétations ont donné naissance à des formes de mode de vie variées et donc à de nombreux ordres La règle Bénédictine prône les idées

temple de Dieu sur de la pierre, celle-ci s'est avérée régulièrement friable. Et il semble qu'elle ait nécessité des "plâtriers" de choc pour rétablir la solidité de l'édifice qui se veut immuable. C'est ce qui explique en partie la multiplicité des ordres religieux dont nous allons donner ici un aperçu. Le clergé dit « régulier » Phénomène presque universel, venu des profondeurs de la pensée religieuse, le choix d'une vie d'ascèse, retirée du monde et consacrée à la prière n'est pas la caractéristique

attouts. Les ouvriers qualifies venaient en masse , surtout ceux qui travaille de la pierre et du bois. Les universites de cette ville faisait venir des étudients du monde entier. La circulation à Paris était forte, les marchands, les artisans, les mendiants, étrangers. Paris était une ville qui avait de nombreuses activités, il y avait le grand centre de la science et de la mode. Paris est aussi une ville culturelle où se trouvent les écoles et les grands collèges (universités)

trompe. Ce passage est donc capital et vient d’un personnage mineur, un simple juif qui sait tout et va changer le destin de Fabiani et Gilbert dans la pièce. En se déguisant en mendiant, il put épier sans être vu et en savoir plus que n’importe qui. Il arrive à se faire craindre de Fabiani alors qu’il n’est que mendiant. Fabiani va même jusqu’à dire que « tous les juifs sont ainsi (p.13) » suggérant déjà la crainte et la haine des juifs à l’époque de Victor Hugo. Le « juif banquier » va aussi dans

charge d'un diocèse composé de plusieurs paroisses) et de curés (en charge d'une paroisse). Le clergé régulier qui vit soit à l'écart de la société dans des abbayes et des monastères (abbés et moines) soit au contact des laïcs, c'est le cas des ordres mendiants (les franciscains et les dominicains) qui vivent dans des couvents au sein des villes et prêchent leurs idées auprès des habitants. B L'encadrement des fidèles Le christianisme est un facteur d'unité dans l'Europe médiévale, il régit la vie

1450 abbayes. Être moine= monachisme 1098 : fondation de l'abbaye de Cîteaux (ordre cistercien) austérité ( vivre de peu), pauvreté, silence. XIIe siècle : Des moines s'installent dans les villes= dominicains (prédication), franciscains (ordre mendiant). II-Être chrétien au moyen age Comment l'église encadre t-elle les fidèles? Une prise en charge des vivants La religion au Moyen-Age n'est pas une affaire privé ,c'est pas un choix . L’ Église organise et

l’endroit où on se marie, on s’unit. Les français voyagent. ( les foires , les marchés, les cultures, les mariages). Une société encadrée : 3.1 les principes : Il s’agit d’une société d’ordres. Elle est divisée par les juristes en 3 ordres : Charles Loyseau ( Principal théologien - juriste consult ), actif autour du roi autour vers 1610. C’est l’auteur d’une quantité de traités. Ce modèle tripartite , ceux qui prient, qui combattent et qui travaillent ( Adalbert de Laon).

part, accompagné de Dominique, dans une mission diplomatique (ambassade) au Danemark afin de marier à distance la nièce du roi de Danemark avec le dauphin d’Espagne . Malgré l’échec de la mission (la jeune fille décide finalement de rentrer dans les ordres), ce long voyage lui permis de voir la réalité européenne de l’époque, les critiques qui circulaient concernant les luxueuses mœurs du clergé et la volonté palpable de la population de revenir à l’image de l’Église primitive. C’est d’ailleurs lors

la vie religieuse au XIIIème siècle : les ordres mendiantsIls sont représentatifs d’une tendance profonde : vouloir suivre au plus près l’exemple du mode de vie du christ et de ses apôtres. Extrême dépouillement, ils veulent refuser l’enrichissement. Ce ne sont pas des moines, il vivent au-devant des laïques. Il dépasse l’opposition entre le clergé séculier et régulier. Les couvent sont au cœur des villes.I- Naissance et développement des ordres mendiants 1- Les Frères prêcheurs ou Dominicainsa. Dominique