Les Paradis artificiels

nouvelle connotation de la Faucheuse. En conséquent le présent commentaire s’intéressera en premier lieu à la mort, qui symbolise l’espoir d’un monde meilleur puis montrera que contrairement à l’idée préconçue, Baudelaire pense que la mort est un paradis artificiel. Ce deuxième axe de lecture développera la théorie selon laquelle ce poème est un témoignage de profonde ignorance et de tristesse, car l’auteur ne sait pas ce qu’il va arriver après la mort. Dans le premier quatrain les anaphores (« C’est

LXIV)-poèmes du Spleen ( LXV à LXXXV)« Tableaux Parisiens » : tentative qui échoue de communion humaine dans la ville.« Le vin » : (perspective socialisante) le poète entame son voyage dans les paradis artificiels« Les Fleurs du Mal »:contient poèmes condamnés et poursuite du voyages dans les paradis artificiels« La révolte » : évocation à Satan d'une révolte de l'humanité toute entière mais sans issue=>idée mort =seul solution« La mort »:dernier remède aux souffrances humaines et saluée ft certaine

divine la plus importante et la plus complexe également. Il est la créature qui porte l’empreinte divine et qui représente son pouvoir sur la terre. Bref, l’homme est à l’image de Dieu gloire à lui. Mais la vie sur cette terre est loin d’être un paradis, elle comprend le bien et le mal et témoigne d’une épreuve continuelle. Certaines personnes souffrent terriblement, et sans faire référence à l’idée eschatologique, elles demandent qu’on mette fin à leur vie du fait que ce qu’elles subissent dépasse

si c'est elle qui parle et qui travaille. Elle fait référence au bien être, à un paradis artificiel. On peut voir encore ici une métaphore, « ou se prépare la cuisine pour le retour du laboureur ». La pipe est comparé à la femme, qui attend le retour de son homme, représente la libération et le réconfort après une dure journée. Cette métaphore nous montre une fois de plus qu'on arrive à toucher le paradis artificiel grâce a cette pipe. Cette pipe est un remède au mal de l'auteur, celle-ci l'aide

« s'applique à paraître magique et surnaturelle » pour devenir enfin désirable ? Plutôt que sa présence, Baudelaire célèbre le souvenir de sa présence, ou les impressions qu'elle lui a laissées (douceur de l'air, couleur du soir). La femme, paradis artificiel comme le vin ou le hachisch, n'offre en fait qu'une image dégradée et périssable de l'Idéal. De plus, l'ivresse qu'elle communique est la plus dangereuse de toutes, le poète voit dans « l'éternelle Vénus », « une des formes séduisantes du Diable »

place en soutien pour la relayer. Ce poème peut donc s’analyser en tant qu’hommage au vin et réhabilitation des petites gens. Objet précieux, le vin devient l’or dans la boue. Il participe ainsi à l’alchimie poétique et peut être qualifié de « Paradis artificiel ». Le poème est composé de huit quatrains et s’articule en trois temps : Mouvement 1 : La réalité parisienne v.1 à 12 Mouvement 2 : La consolation dans la misère, hommage aux miséreux v.13 à 24 Mouvement 3 : Le vin, or liquide et mythique

divine la plus importante et la plus complexe également. Il est la créature qui porte l’empreinte divine et qui représente son pouvoir sur la terre. Bref, l’homme est à l’image de Dieu gloire à lui. Mais la vie sur cette terre est loin d’être un paradis, elle comprend le bien et le mal et témoigne d’une épreuve continuelle. Certaines personnes souffrent terriblement, et sans faire référence à l’idée eschatologique, elles demandent qu’on mette fin à leur vie du fait que ce qu’elle subissent dépasse

provoquant des inondations. L’homme n’a pas encore compris que sa planète originelle répond a chacune des ses provocations, aussi s’étonne-t-il lorsque surviennent se qu’il qualifie de « catastrophe naturelles » mais qui ne sont que des « catastrophes artificielles » générées par son absence de dialogue avec sa planète mère. « En tant qu’ami, il y a un cadeau que je peu te faire : te promettre de ne jamais te jugé, quelles que soient les circonstances » L’humanité est elle-même sa pire ennemie, le

pour réduire notre rationnement ; nous travaillons pour produire. Et ainsi pouvoir consommer. Que serait l'humanité sans le travail humain ? l'âge d'or de l'humanité . Tout aurait été donné gratuitement à l'homme dans le paradis terrestre et même après la sortie de ce paradis et tout serait au contraire pénible et vicié de nos jours. Jean-Jacques Rousseau ; la vertu des produits « naturels » et bien des Français croient que la vie d'autrefois était plus « saine » qu'aujourd'hui. En réalité, tous

Le paradis et l'enfer Je ne sais pas exactement quand ça a commencé ! Il y a peut-être quatre ou cinq ans ? Mais je sais comment ! A cette époque, je rencontrais souvent des amis ou des camarades qui me disaient « Tu es au courant ? » « Untel est décédé ». « Oui, je le connaissais bien ! » « On était dans la même école! On a fait beaucoup de choses ensemble ! Non ! Ce n'est pas possible ! Ça me fait un choc ! Ensuite, au fil des ans, ces informations se sont multipliées, au point que j'ai peu à peu