Les Personnage Dans Le Passé Simple

évidemment pas le personnage principal ou le narrateur. Pour le reste, le récit tient entièrement de l'autobiographie. D'emblée, le lecteur est invité à accepter la fiction mise en scène, celle d'un personnage non-humain qui se trouve être le narrateur, ce qui va amener un point de vue « naïf » sur le monde, l'ours en peluche étant le symbole de l'enfance, de la douceur. De plus, l'ours en peluche joue le rôle d'un objet de transition, il est le passeur, allant d'un personnage à un autre, voyageant

IMPRESSIONS DE LECTURE 1. Pourquoi les dix personnages quittent-ils Rouen ? 2. Qui sont les dix passagers de la voiture ? Classe les en deux groupes et justifie ton classement en donnant un nom à chacun des deux groupes. 3. Quels sont les deux événements qui retardent leur arrivée ? 4. Cherche dans le dictionnaire les deux mots suivants et recopie la définition qui correspond au sens du texte : « suif », « galante ». 5. Qui est le personnage principal de cette nouvelle ? 6. Que nous

histoire Il y a 5 étapes qui suivent l’ordre du texte : 1) La situation initiale : « Aux champs » ligne 1 à 25 (en général à l’imparfait). Présentation des personnages et cadre de vie. 2) L’Evènement perturbateur : ligne 26 à 29 Connecteur temporel : <Par un après midi d’août> + changement de temps (<s’arrêta> = passé simple ) 3) Les péripéties (actions) : ligne 30 à 75 et 76 à 34 (feuille 3) Il faut délimiter les actions. Une phrase par étape et une phrase par action 4)

Succession ouverte, paru en 1962 après le Passé simple (1955 ) et les Boucs (1956) . Prolongement narratif du premier roman de l’auteur où il était question d’une « révolte contre le Seigneur à un âge où je ne savais rien » (p. 23), Driss retrouve les siens suite à la nouvelle du décès de son père pour faire le bilan d’une absence qui a duré seize ans à l’étranger. (LECTURE) Depuis l’ouverture du roman, le narrateur ne cesse de focaliser la lumière sur le personnage de Driss à travers l’usage du pronom

Q1 La nouvelle Le train de minuit de J. Lutz est racontée par un narrateur anonyme. En effet le narrateur n’est ni un personnage,ni un témoin de l’histoire, il est extérieur. Il raconte à la 3ème personne l’histoire de Lou Ulman et de Cyrila. Cependant le point de vue qu’il adopte est celui du narrateur omniscient. Il connaîtet évoque les pensées des différents personnages. A la ligne 38, voyant les fenêtres de la ferme allumées, « Ulman trouva étrange qu’une famille campagnarde veillât si tard

DURAS, Un barrage contre le Pacifique Incipit INTRO : L’enfance de Marguerite Duras passée en Indochine a marqué l’écriture de la romancière. C’est dans cet univers exotique que se déroule l’action de Un barrage contre le Pacifique. L’incipit, in medias res, du roman place directement le lecteur au cœur de l’action, tout en ménageant une réflexion philosophique. LECTURE Problématique : Comment cet incipit, tout en annonçant les thèmes qui seront abordés dans le roman, place d’emblée le lecteur

(romantisme)          -> Julien : tristesse, contrariété         -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue focalisation zéro => le narrateur est omniscient, alternance de points de vue entre Julien et Mme de Rénal A) Portrait

Clandestin d'Eliette Abécassis: Un amour d'anonyme tragique ... -Le livre Clandestin écrit par Eliette Abécassis est paru aux édition Albin Michel en 2003. Ce roman est très court mais a dépassé la simple histoire d'amour qui de toute manières aurait bien vite agacé de nombreux lecteurs mais cette œuvre reste étonnante. -Tout commence dans un train, avec un homme et d'une femme. Attirés l'un vers l'autre. Cependant l'homme est sans-papier et il a rendez- vous à minuit avec un passeur. La

des bois, dans les épines ; Il entassa l'horreur, le meurtre, les rapines3, Égorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre4, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : « Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! » Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands

situation d’énonciation (utilisation de la 3ème pers. du sing.) Elles sont au présent mais l’auteur décrit le décor et les personnages grâce à l’imparfait « Fantine …avait vieilli », « elle montrait » « brillaient », « c’était un sourire» « souillait » « elle avait un trou noir ». il se sert du passé simple deux fois « elle sourit » pour le récit d’une action courte dans le passé , et « elle envoya » « Fantine jeta son miroir » pour faire avancer l’action. En utilisant ces deux procédés, l’auteur s’adresse