Les Petits Mouchoirs

l’écran - grandir- le clan - quand - les glands - la cantine - une ambulance - une ampoule - une jambe - un tambour Les canetons Ils sont vraiment jolis les canetons de Jean. Ils vont en file en ne s’écartant jamais du bord de la route, un tout petit traine la jambe et crie très fort. Alors maman cane ralentit et la troupe attend le brave caneton : can can can Maman cane étend le cou barbote une minute et tout à coup disparait, toute la bande fait comme elle. Etablissement scolaire SALIM Mme :

aussi présente dans ce texte par: neige, vent, brume, givre | Jeunesse: 17 ans, limonade, café tapageurs,... | La guerre: vert (prussient), écarlate (français), mitraille, crachat, sifflent, bataillons. La tristesse: angoisse, pleurant, mouchoir. | La peur: calme, noir bois, fantome, fleuve noir, dot, mystérieux, frisson, vent, apre, neige froid... | Mauvaises choses: betise voyou, naif,brulé,chair... | La nature: verdure riviére herbes soleil montagne val cresson herbe glaieuls

avec un héros souffrant.
C’est un vagabond, « sans travail et sans gîte », un ouvrier « à la tête vide », fatigué, souffrant, qui n’a qu’un espoir : que le froid « soif moins vif »... la description de sa tenue : veste « aminci[e] », « petit » paquet sans un « mouchoir » qui, ironiquement le gênait « beaucoup ».
Personnage maltraité, fouetté par le vent avec la métaphore des « lanières » de vent = comme un esclave dont les mains « saignaient ». « Besoin douloureux » renforce sa peine. Mlle Grilli

tromperie doit porter sur des éléments précis. – L'existence même du bien ou du service : exemple, une publicité pour une maison de campagne alors qu'elle a déjà été vendue. – La nature de bien ou services : exemple, des mouchoirs qui se nomment « cotonelle » avec un astérisque en petit : « ils ne contiennent pas de coton » – La composition du produit : exemple, des pâtisseries garanties beurre alors qu'il n'y en a pas. – Les quantités substantielles ou les propriétés du bien ou service : exemple,

industrielle du Nord) + « vers deux heures » = contexte qui suscite plus de questions qu’il ne donne de réponse Pauvreté du personnage appuyée par : - la description des vêtements et du bagage : « coton aminci » qui souligne la vétusté, « petit » qui indique le peu de biens - la notation « ouvrier sans travail et sans gîte » qui indique son statut de chômeur sans domicile, statut de vagabond exclu de la vie sédentaire + « tête vide » évoque l’idée qu’un personnage sans travail est un

vidais une fouillouse, je filais une pelure ; à dix ans, j’étais un marlou. Puis j’ai fait des connaissances ; à dix-sept, j’étais un grinche. Je forçais une boutanche, je faussais une tournante. On m’a pris. J’avais l’âge, on m’a envoyé ramer dans la petite marine. Le bagne, c’est dur ; coucher sur une planche, boire de l’eau claire, manger du pain noir, traîner un imbécile de boulet qui ne sert à rien ; des coups de bâton et des coups de soleil. Avec cela on est tondu, et moi qui avais de beaux cheveux

tas d'hommes sont mitraillés ; nul ne pleure ; Il semble que leur mort à peine les effleure, Qu'ils ont hâte de fuir un monde âpre, incomplet, Triste, et que cette mise en liberté leur plaît. Nul ne bronche. On adosse à la même muraille Le petit-fils avec l'aïeul, et l'aïeul raille, Et l'enfant blond et frais s'écrie en riant : Feu ! [...] (Victor Hugo, L’année terrible, 1871) Le mal Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates

qui la rendait encore plus respectable. Sa fille Cunégonde, âgée de dix-sept ans, était haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante. Le fils du baron paraissait en tout digne de son père. Le précepteur Pangloss était l’oracle de la maison, et le petit Candide écoutait ses leçons avec toute la bonne foi de son âge et de son caractère. Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmologigologie. Il prouvait admirablement qu’il n’y avait point d’effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes

est montée jusqu’à ma gorge. Le silence qu’il décrit si bien fait opposition avec le cri barbare de la femme au début : « ah ! Quel silence ! » ; « j’étais enveloppé d’un silence profond ». Tout comme le dernier rayon solaire, lui-même décline petit à petit : « le dernier rayon du soleil déclinant ». Le mystère chez Akutagawa reste perpétuel, puisqu’en effet, la personne qui s’approche ne nous est pas identifiée. Peut être s’agit-il d’une intervention divine. On ne le saura jamais puisque le narrateur

------------------------------------------------- Le grand lever * 8 h 30 : Petite Entrée du médecin et du chirurgien ordinaire, l’intendant et le contrôleur de l’argenterie, le premier valet de la garde-robe, les gentilshommes titulaires de « brevet d’affaires ». Le roi s'installait sur sa « chaise d'affaire », le barbier achevait de le peigner et de lui ajuster sa perruque du lever, moins haute que celle de la journée. * C'est alors l'« entrée de la chambre » : le grand aumônier escorté