Les Pratiques Anti Concurrentiel En Europe

industrielle Julie FERNANDES Théorie et pratique de la mondialisation Hélène MALLET Sous la direction de Y. Bouabdallah Sommaire Introduction 3 1. Valoriser l’innovation en la protégeant juridiquement 4 1.1 Innovation et transferts de technologie 4 1.1.1 Pourquoi innover ? 4 ω La vision Schumpetérienne 4 ω Des facteurs de l’innovation 5 ω La vision de Porter 6 1.1.2 La pratique du transfert de technologie 6 ω Les enjeux 7

marchés et une image en béton. n’est plus seulement une marque de années, un label reconnu dans le Le secteur du maquillage est en pleine évolution et croissance et les femmes sont de plus en plus à la recherche de produits innovants, techniques et pratiques. La société d’aujourd’hui vient d’entrer dans une ère où l’être et le paraître ont pris une ampleur considérable. Il apparaît donc indispensable aux marques de cosmétiques telles que Nivéa de s’adapter à cet environnement où l’innovation technologique

stratégie a CT est impossible car contexte trop compliqué Exemple René Caron psdt du Crédit Agricole élu en 2007 et 2008 meilleur stratège et personne qui a compris l’envt en rachetant les banques de Grèce, Auj. -7 milliards) -Obtenir un avantage concurrentiel -Définir un périmètre d’activité, un DA stratégique (Un seul DA ou plrs ?) Exemple de Mcdo qui décide que son périmètre d’activité est le monde et qui s’adapte à chaque pays pour se rapprocher des contingences locales > Délégation des pouvoirs

union monétaire en Europe était possible entre l’Allemagne et ses voisins de petite taille tout d’abord et qu’une convergence entre eux devait avoir lieu avant d’intégrer la France, l’Italie ou le Royaume Uni. Mais l’Union Monétaire (notons la UM) a d’abord été un acte politique réalisé par les porteurs du projet Européen. Un soutient leur sera apporté par une deuxième génération de travaux sur les ZMO. Les théories de la ZMO ont été posés avant la création de l’UM en Europe. La question posée

communautaires ne s’y sont pas opposées, mais elles ont émis la condition que les principes de concurrence du marché commun continuent à être respectés dans les mêmes conditions. A partir des années 80, l’ouverture à la concurrence du secteur audiovisuel en Europe, les enjeux financiers, la concurrence de puissants groupes américains, le développement de nouvelles techniques de diffusion et la multiplication des chaînes ont poussé les entreprises vers les concentrations. En 1992, Le Livre vert de la Commission

graphiques nous fournissent des informations précieuses. Ainsi, on note que les Emirats et la Chine sont les plus importantes sources de contrefaçons avec 68%. Fait non étonnant puisque dans ces pays la réglementation, moins stricte, facilite ce genre de pratiques. Toutefois, on note un léger recul de la Chine entre 2006 et 2007 (-13%) que l’on peut expliquer par un alourdissement des contrôles, peut être liés aux jeux olympiques et à la volonté de la Chine de passer pour un pays « irréprochable ». Par contre

| 7% | 6,4%   4,8% | 7% | Source: Site Web IMS Health   Marché Global 2009 par région | Régions | CA 2009 (Milliards US $) | Evolution en % US $ constant 2009 | Evolution en % US $ constant 2009 | Amérique du Nord | 323,8 | 5,5 | 1,9 | Europe | 263,9 | 4,8 | 7.0 | Japon | 95,0 | 7.6 | 2.1 | Asie, Afrique et Australie | 106,6 | 15,9 | 15 | Amérique Latine | 47,9 | 10,6 | 12,7 | Total | 837,3 | 7,0 | 5.5 | Source: Site Web IMS Health market prognosis, March 2010   Top ten

à la fois sur le marché des vêtements masculins, féminins et enfants, des sous-vêtements hommes et femmes et des accessoires, l’entreprise est confrontée à chaque fois à une forte concurrence. Pour y faire face elle a su se créer des avantages concurrentiels par la mise en place d’une chaîne de production complète allant de la conception à la vente, lui permettant d’offrir une mode de qualité à petit prix, et par un concept magasin qui lui est propre («micro collections », grande surface, offre de

phase de dites de « diagnostic ». Cette étape qui a été introduite par le modèle de L.C.A.G., est centrée sur la confrontation des forces et des faiblesses de l'entreprise (analyse interne) aux opportunités et menaces de l'environnement concurrentiel (analyse externe). Ainsi, le diagnostic repose sur deux étapes complémentaires : le diagnostic interne de l’entreprise et le diagnostic externe de l’environnement de celle-ci. De ce diagnostic, résulte une matrice de synthèse, appelée la matrice

société au sein de laquelle elle évolue. Donc, à sa manière, l’entreprise est utile à la société en ce sens qu’elle crée de l’utilité/richesse nette. C’est cette utilité qui garantit sa survie dans le cadre d’une économie de marchés libres et concurrentiels ( légitimité et profit sont très étroitement liés ). Cette vision épurée de l’entreprise n’interdit pas, bien au contraire, la manifestation d’autres approches de l’entreprise, plus concrètes ou réalistes ( approches managériale, de l’agence