Les Pythagoriciens

même qu’un corps élastique et vibrant excite dans l’air des vibrations sonores. *À l'origine, Éther est un Dieu primordial de la mythologie grecque, personnifiant les parties supérieures du ciel. L'origine de la notion d'éther remonterait au pythagoricien Occelosils, il pense qu'il est la matière des corps célestes. L’intensité de la lumière dépend de l’intensité des vibrations de l’éther, et sa nature, c’est-à-dire la sensation de la couleur qu’elle produit, dépend de la durée des oscillations

oncle – poète connu, il va étudier l'art oratoire en étudiant les poètes (Homère). Poèmes qui renvois à de la mythologie, il va donc être formé a travers la mythologie. Mouvement scientifique qui va se développer sur cette cote asiatique: les Pythagoriciens, et aussi les Asclépiades. Epoque qui va être troublée par les guerres médiques (479), menées contre les Mèdes (normalement Perses). Halicarnasse citée carrefour entre grec et barbare, qui va faire partie d'une association de cités doriennes

Introduction. Le Phédon est un dialogue de Socrate et de ses disciples, Simmias et Criton, dans la prison quelques heures avant de mourir. Platon écrit le récit de Phédon, disciple de Socrate, qu’il fait à Echécrate, pythagoricien, sur les derniers moments de la vie de Socrate. Thème. Toute la discussion va tourner autour de l’âme . Thèse. L’effort du philosophe est de purifier son âme de tout les attaches du corps afin qu’elle puisse s’élever au moment de mort auprès d’autre dieux

(Thalès, Anaximandre, Anaximène et Héraclite) vivaient dans les villes florissantes près des côtes de l’actuelles Turquie, comme Milet et Éphèse, et se consacraient surtout à l’étude des principes de la nature. - Les italiques, c’est-à-dire les Pythagoriciens (Pythagore) et les Éléates (Parménide, Zénon d’Élée), vivaient dans ce qu’on appelle la Grande Grèce, c’est-à-dire le sud de l’actuelle Italie et la Sicile, et se tournaient plutôt vers la spéculation métaphysique. Leur principal apport est

Comment l'analyse mathématique du phénomène vibratoire du son aboutit-elle à une production artistique ? La musique et les mathématiques sont deux langages universels. Les Grecs anciens les ont dotés d'une origine commune puisque la théorie pythagoricienne des proportions avait pour but de percer les secrets de l'harmonie musicale. Depuis, les évolutions de la musique et des mathématiques se sont enrichies mutuellement. I. Intervalle et consonance de sons en musique Activité documentaire :

pensent que théorie indissociable de la pratique, ainsi si Leucippe était matérialiste devait proposer une éthique qui devait se voir dans sa pratique. Pratique alimentaire (ex : Diogène qui mange poulpe cru car cuit = culture), vestimentaire (pythagoriciens : vêtement blanc en Lyn propre, cyniques : vêtement sale puisque un seul manteau pour toute les saisons). Il faut faire la paix avec soi-même, avec les autres et avec le monde (la réalité dans laquelle on se trouve). Obligé de considérer que

ou postulats, puis des notions communes ou axiomes.C'est dans ce livre qu'EUCLIDE propose la première démonstration de l'histoire du fameux théorème de Pythagore (propositions 47 et 48) Le livre II s'inspire des résultats attribués à l'Ecole pythagoricienne relatifs à l'algèbre géométrique. Le livre III traite de la géométrie du cercle. Le livre IV est consacré aux polygones, à leur construction (à la règle et au compas) et à leur inscription dans un cercle. Le livre V est d'un niveau mathématique

diplomate roumain, s'appuie sur les travaux du philosophe allemand Zeising et du physicien allemand Gustav Theodor Fechner ; ses ouvrages L'esthétique des proportions dans la nature et dans les arts (1927) et Le Nombre d'or. Rites et rythmes pythagoriciens dans le développement de la civilisation occidentale (1931) insistent sur la prééminence du nombre d'or et établissent définitivement le mythe . Au cours du XXème siècle : des peintres tels Dali et Picasso, ainsi que des architectes comme Le

établissent une équation entre les choses et les nombres. • Cette assimilation entre les mathématiques et les faits réels était fondé sur le constat important que les intervalles musicaux étaient exprimables en termes de rapports numériques. • Pour les Pythagoriciens, la musique avait une portée cosmique. • Selon eux, les astres jouaient une musique céleste (théorie de l’harmonie des sphères). • Selon leur vision, le feu cosmique était au centre de l’univers et donnait vie à toute chose. Tout est nombre

parfait, stable et éternel. « Rien ne peut s'y créer ni disparaître ». Il y auraient cinquante cinq sphères concentriques et se déplaçaient à différentes vitesses, suivant une trajectoire circulaire car le cercle (la sphère). Etait, d'après les pythagoriciens, la figure parfaite. La dernière sphère était celle des astres fixes (les étoiles) ; la première celle de la Lune. Pour Aristote, les sphères sont en cristal. Pour répondre au problème du mouvement rétrograde, tout en respectant le caractère parfait