Les Pythagoriciens

pourchassés et persécutés par l’église catholique et qualifiés d’hérétiques. On pense notamment au Cathares. Par ailleurs nombre de thèmes et conceptions gnostiques trouvent leurs racines dans des époques antérieures, que ce soit dans les doctrines pythagoriciennes, platoniciennes ou encore la Cabbale. Voilà pour le contexte mais, qu’en est-il de la gnose en Franc-Maçonnerie? Pour Oswald Wirth le terme gnose se comprend dans le sens « connaissance initiatique ». La Gnose est la connaissance caractéristique

sont les apories scientifiques qui ne conduisent pas seulement à trouver une solution mais elles réorientent la raison elle-même. Ex : l’incommensurabilité de la diagonale du carré. Problème mathématique découvert par Théétète, mathématicien néo-pythagoricien. La longueur de la diagonale ne peut pas se rapporter à ses côtés. De plus, selon le théorème de Pythagore : B AB² = AC²+BC² peut aboutir à √2, ce qui, pour les Grecs, est un A

effectué par Hadrien.Cf. La relative « qui arrondit ses vignes » laquelle renvoie au cercle, à l’idéal d’harmonie qui lui est rattaché et à la volonté chez l’empereur que tout puisse « contribuer à l’harmonie des sphères ». (théorie d’origine pythagoricienne fondée sur l’idée que l’univers est régi par des rapports numériques harmonieux…) Cf. les compléments circonstanciels de temps « entre deux journées impériales » et « Au retour de mon grand voyage d’Orient » qui révèlent

suit une comparaison entre druidisme et pythagorisme qui n’est ni fortuite ni injustifiée car points communs et différences s’entremêlent. Se pose alors la question d’une origine commune de l’orphisme. Car contact il y a certainement eu entre pythagoriciens et druides mais chacune, de part sa culture, à prise une route différente. Subsiste jute quelques points communs, au niveau des funérailles. En dernière partie le livre explique le rôle des druides dans la société. Pour cela il faut revenir au

géométrie cette quête du graal humain et tout ce qui en découle. Pythagore pensait qu’il y avait cinq éléments, les quatre premiers sont la terre, l’eau, l’air et le feu ; le cinquième est pour lui de nature céleste. D’ailleurs pour les pythagoriciens Cinq est signe d’union « le nombre nuptial » disaient-ils, mariage du principe céleste et du principe de la terre mère. Les disciples de Pythagore devaient ainsi subir cinq années de préparation avant de pouvoir enseigner, c’était le temps nécessaire

elle a été, pour moi, un joyeux déclic dans ce grade aride qu’est celui du compagnonnage. Les nombres sont aussi qualité. Le deux, la dualité, principe unique qui se dédouble. Le 3, la ternarité, le 5, la combinaison du deux et du trois. Les pythagoriciens le considéraient comme le nombre de l’amour et de l’harmonie réalisée dans la matière. Ce nombre fonction du pentagramme présente la particularité unique d’engendrer une nouvelle figure proportionnellement à la première, par simple bourgeonnement

la guerre est omniprésente dans son œuvre. Sa carrière, couronnée de nombreux succès, se déroula à Athènes, au moins de 472 à 458. Il vécut ensuite en Sicile, à la cour de Hiéron de Syracuse, où il entra peut-être en contact avec les cercles pythagoriciens. On ignore les raisons de cette expatriation. Il aurait écrit quatre-vingt-dix tragédies, qui formaient des trilogies car on assistait alors d'affilée à trois pièces sur un même thème. Mais nous n'en possédons que sept dont deux, ‘’Les suppliantes’’

le conduisirent d'abord à Mégare, chez Euclide (le philosophe, pas le mathématicien), et ensuite presque certainement en Egypte et à Cyrène, sur la côte de l'actuelle Libye Grande Grèce, au sud de l'Italie, où il fréquenta des milieux pythagoriciens, notamment auprès d'Archytas à Tarente cour de Denys, le tyran de Syracuse, en Sicile, qui aimait s'entourer de personnalités célèbres afin de rehausser son propre prestige. Platon y présenta des vues sur les rois qui devraient être philosophes

Jean-Pierre Adam, archéologue français, par le courant philosophique pythagoricien. Les séries et les nombres premiers ont toujours fait l’objet d’une attention particulière. L’École pythagoricienne qui s’adonna trop aux spéculations ésotériques fut fermement critiquée par les tenants d’Aristote qui l'avait lui-même combattue dans son ouvrage « La métaphysique », mais elle revint à la mode à l’époque de Cicéron avec l’école néo-pythagoricienne. Cependant, la superstition du chiffre magique serait plutôt

niveau des deux colonnes avec une houppe à chacune de ses extrémités, et que l’on retrouve aux tours du tableau des loges, sous l’appellation de houppe dentelée. La corde à douze nœuds permettait aux maçons opérateurs de construire le triangle pythagoricien de proportion 3.4.5. et d’obtenir sans erreur un angle droit servant ainsi d’équerre. La corde d’une façon générale avec ou sans nœuds est depuis toujours un outil pour le bâtisseur et permet de tracer des lignes droites, et elle fait partie