Les Pythagoriciens

sont acquis dans une précédente incarnation. Les autres, celles qui se sont endurcie dans le mal seront frappées dans le Tartare par des peines éternelles. La psychologie d’Aristote Aristote et ses devanciers. Aristote considère que les pythagoriciens et les platoniciens, dans leur souci d’affirmer le caractère surnaturel de l’âme, négligent les conditions réelles, physiques et organiques de son existence ; et aux penseurs matérialistes, atomistes en particulier, il reproche de confondre le

folie et s'il parvenait à semer le trouble quant à la réalité, serait exposé au risque d'être tué... s'ils pouvaient le tenir en leurs mains, que crois-tu qu'ils feraient ? L'allégorie de la caverne est certainement un héritage de l'enseignement pythagoricien visant à libérer les personnes des croyances qui étaient inculquées depuis des décennies, voire des millénaires de crédulité dans tous les domaines qui pouvaient être approchés de manière scientifique. Livre VIII Socrate et Adimante vont maintenant

Quelques réflexions La première fois qu’un tel raisonnement a été tenu, les interlocuteurs n’ont pas dû être convaincus d’emblée de sa validité. Admettre la validité du raisonnement signifiait admettre une incohérence dans les enseignements pythagoriciens. Leur première réaction a certainement été de chercher une faille dans le raisonnement. Pour qu’un raisonnement nous convainque, il faut nous l’approprier, il faut individuellement refaire le cheminement de la pensée et critiquer chacune

technique. Par ailleurs, on trouve une sorte de rapport magique entre mathématique et vie de l’homme : Les Pythagoriciens avaient cherché les mystérieuses correspondances entre le monde des nombres et le monde physique : “Les nombres gouvernent le monde”. Correspondances et harmonies liées aux chiffres dans la musique mais aussi dans l’observation des astres. cf “l’harmonie pythagoricienne”. Mais ce rapport était lié à une conception mystique du nombre qui avait une existence transcendante. Ce sont

spécifiquement par leur perfectibilité, c'est-à-dire leur capacité à évoluer, à acquérir et développer toutes leurs faculté et leur imagination, en improvisant leur histoire dans une temporalité non préétablie par une quelconque harmonie plus ou moins pythagoricienne. C'est sans doute grâce à Rousseau que la musique et la chanson populaires ont continué et renouvelé une tradition mêlant poésie et chant qui aurait été à l'origine des langues dans une improvisation qui n'est qu'une conséquence du développement

Joseph-Nicolas Robert-Fleury. Le 20 décembre, le père Caccini attaque très violemment Galilée à l'église Santa Maria Novella. Le 6 janvier 1615, un copernicien, le carmélite Paolo Foscarini, publie une lettre traitant positivement de l'opinion des pythagoriciens et de Copernic sur la mobilité de la Terre. Il envisage le système copernicien en tant que réalité physique. La controverse prend une telle ampleur que le cardinal Bellarmin, pourtant favorable à Galilée, est obligé d'intervenir le 12 avril. Il

faut mettre en évidence comment la mécanique s'inspire et se fonde sur la nature, sur ses lois et propriétés physiques et mathématiques. L'époque de l'Antiquité sera alors marquée par un véritable progrès technique : des philosophes grecs, aux pythagoriciens... Ce que nous appellerons "mécanisation du monde" sera l'application des mathématiques à la découverte et compréhension du monde; les formes géométriques et autres calculs alambiqués comme "raisons mécaniques" (expression employée par Liebniz)

lequel « l'acte (la perfection, l'achèvement) est antérieur à la puissance (la simple possibilité) » (Aristote Métaphysique Théta 8 (1049b)). Aristote dit ainsi que « c'est l'homme qui engendre l'homme » et non le sperme comme le croyaient les Pythagoriciens et Speusippe (ibid. 1070-1073). Or on peut dire que l'œuf n'est rien d'autre qu'une poule en puissance, et qu'à ce titre il n'existe que pour elle : c'est la poule qui est la raison d'être de l'œuf, et non l'inverse. En effet, s'il n'y avait

mathématicien, est né sur l’île de Samos, en Grèce. Il serait né vers 427 av. J.-C. et aurait vécu jusqu’à environ 348 av. J.-C. Après avoir beaucoup voyagé, Pythagore s’installe à Crotone, en Italie, où il fonde l’école pythagoricienne. Dans cette école, les pythagoriciens et les pythagoriciennes cherchent à tout expliquer à l’aide des nombres. Ils et elles sont les premiers et les premières à avancer la théorie selon laquelle la Terre est sphérique et tourne autour d’un feu central. Il n’y a aucun écrit

(présocratiques et Stoïciens) : Pour les philosophies classiques de la nature, l’univers est un grand être ordonné (sens premier du mot « cosmos »). Les éléments s’y associent et s’y dissocient en vertu d’un principe de réciprocité et d’équité. Pour les Pythagoriciens en particulier, ainsi que pour Platon, l’univers est l’expression de rapports numériques remarquables, engendrant une harmonie audible : l’ « harmonie des sphères ». La dialectique de l’un et du multiple joue ici un grand rôle, et est souvent