Les Rimes

violet ! Analyse du poème : 3 strophes de 6 vers => 3 sizains. Vers de 12 syllabes => alexandrins (c’est le vers « noble » de la poésie, très utilisé par Hugo). Dans chaque strophe : rimes suivies (aa) puis rimes embrassées (abba). Rimes suffisantes : « fume / brume » ; « génies /rembrunies ». Rimes riches : « naître / fenêtre ».   Présence du poète : « Laissez-moi » dès le premier vers ; « je rêve » ; « mes chansons ». « l'astre géant rougit et disparaît » : soleil. Les Figures De

Les rimes répétitives et consécutives apportent une répétition, un mode de vie habituel, tous les jours le bûcheron exécute les mêmes gestes qui finissent par devenir lassants. De plus les phrases sont longues se qui crée une atmosphère pesante, une lassitude de la vie : par exemple la première phrase s'étend sur quatre vers. Dans les vers « Sous le faix du fagot aussi bien que des ans » et « Gémissant et courbé marchait à pas pesants » on ressent une certaine monotonie créée par les rimes en -an

[…]. Parallélisme : schéma a – b – a – b : Ex : elle partit inquiète, elle revint rassurée. Chiasme : consiste à disposer des termes de façon symétrique, selon le schéma a – b – b – a (en poésie, cette disposition concerne non seulement les rimes embrassées mais aussi éventuellement les sonorités). Rythme ternaire : consiste à faire se succéder trois éléments (adjectifs, noms, verbes, propositions, etc.) ; procédé fréquent dans le style oratoire, par exemple celui des discours solennels

c’est la 9ème du livre II, édité en 1668, que vous trouvez à la page 101 de votre livre. (la lire) Cette fable, c’est-à-dire un poème en vers à but moralisateur, a une grande diversité au niveau des rimes : rimes embrassées (vers 1-4), rimes croisées (vers 5-8), rimes suivies (vers 36-39) et rimes plus folkloriques (vers 13-19) composent ce poème. Cette diversité montre une certaine liberté de l’autreur, et permet ainsi d’éviter la lourdeur des poèmes tout à fait symétriques et enfin de rendre le

f) que signifie l’expression « avec conscience » ? Est-ce qu’un lombric peut avoir une « conscience » ? 2. le 2d quatrain : une unité de sens a) que décrit le poète dans le 2d quatrain ? Qu’ajoute-t-il dans sa description ? - observe les rimes des vers 1 et 5 : que peut-on remarquer de l’espace ? = élargissement (Provence-France) - pourquoi parle-t-il du père et du grand-père ? Qu’est-ce que cela montre du temps ? = d’une nuit à une histoire individuelle puis à une histoire plus large de

vers). f) que signifie l’expression « avec conscience » ? Est-ce qu’un lombric peut avoir une « conscience » ? 2. le 2d quatrain : une unité de sens a) que décrit le poète dans le 2d quatrain ? Qu’ajoute-t-il dans sa description ? - observe les rimes des vers 1 et 5 : que peut-on remarquer de l’espace ? = élargissement (Provence-France) - pourquoi parle-t-il du père et du grand-père ? Qu’est-ce que cela montre du temps ? = d’une nuit à une histoire individuelle puis à une histoire plus large de

triangle. La lune D’un soir d’été sur tout cela. Verlaine XIXe 3. Les strophes. La strophe regroupe plusieurs vers en une double unité de sens et de forme soulignée par la disposition des rimes. Les principales strophes sont : • Le tercet (3 vers). Exemple : Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée.

j'ai rêvées!" peuvent donc être interprétés comme des rêves d'ambition littéraire. - Rimbaud court les chemins pour y chercher l'inspiration poétique. Lorsqu'il s'arrête au bord de la route, c'est pour écrire : "j'égrenais dans ma course / des rimes" (v.6-7). - L'errance, la pauvreté = épreuve initiatique qui rend la muse accessible: dans un paysage rendu "fantastique" par la tombée de la nuit ("au milieu des ombres"), Rimbaud se décrit à nouveau "rimant". Les lacets de ses souliers (les

vers commence par une majuscule et comporte un nombre fixe de syllabes. Un vers de douze syllabes est un alexandrin, de dix syllabes un décasyllabe, de huit syllabes un octosyllabe. ● Un rime est le retour d’un même son à la fin de deux vers. Les rimes peuvent être : - plates (ou suivies) : A A B B  - croisées : A B A B - embrassées : A B B A ● Les vers sont parfois regroupés en strophe. Une strophe de quatre vers est un quatrain. ● Si une phrase se poursuit d’un vers sur

deux types de rimes, a la fois suivies dans les deux premiers vers du sizain et embrassees dans le reste de la strophe, "mornes et bornes" (V1-2) et "etendus, verdures, blessures, repandu" (V4-6). Quant au reste des quatrains de la deuxieme partie du poeme, les rimes sont croisees. Ainsi nous pouvons voir au neuvieme quatrain le croisement suivant, "troublee,liqueur, vallee, coeur" (V49-52). De plus, il apparait que les rimes feminines, "mornes, bornes" (V1-2) alternent avec les rimes masculines, "etendu