Les Salons Mondains

Louis XIV, qui accorde des « pensions » aux écrivains[1] (voir plus loin); - le développement du commerce des oeuvres imprimées, qui élargit le public des lecteurs (surtout des lectrices), confirmant la fonction intellectuelle de l’écrivain ; - les salons, tenus par des femmes, où se côtoient nobles et roturiers, gens d’armes et hommes de lettres, et qui assurent la reconnaissance sociale de l’écrivain. On remarque toutefois que dans le cas de l’Académie et du mécénat d’État, si d’un côté ils

de la pureté de la future princesse. La finesse de ses traits est le miroir de sa finesse d’esprit, de son éducation, donc de sa naissance (mouvement littéraire de la préciosité : le visage est le miroir de l’âme. Mme de Lafayette fréquentait les salons des précieuses. Voir dans le manuel la présentation du mouvement littéraire). Le personnage apparaît donc progressivement, sa présentation physique est retardée à la fin du texte, elle est très partielle comme c’est toujours le cas dans les romans

Olympe Pélissier[modifier | modifier le code] Dès 1831, Balzac fréquente le salon d'Olympe Pélissier, « belle courtisane intelligente » qui fut la maîtresse d’Eugène Sue avant d’épouser Rossini en 1847. Il eut avec elle une brève liaison. Les personnages de demi-mondaines qui traversent La Comédie humaine, telles Florine et Tullia, lui doivent beaucoup. La scène de chambre de La Peau de chagrin aurait été jouée par Balzac lui-même chez Olympe120, mais celle-ci ne ressemble en rien à Fœdora, et

fleuves.Influences du roman :Ecriture féminine : vie mondaine parisienne dans les salons de la cour, notamment au salon de Mme de Rambouillet ou elle rencontre Mme de Scuderi, qui l’influence beaucoup. Les romans précieux des femmes influencent le XVIème siècle : expression des sentiments dans un style complexe.Influence du baroque : beaucoup de détails, importance de la mort, récits enchassésLe jansénisme : se développe dans la noblesse et dans les salons = vision pessimiste de la nature humaine : l’homme

Rédaction Sujet: Maupassant et Balzac se rencontre dans un salon mondain, décrire leur conversation. C'était toujours dans ces salons que se développait la conversation. Celui en question était ce jour là présidé par une femme, Mme de Castelanne; et s'y rendaient, comme à leur habitude, Guy de Maupassant et Honoré de Balzac. Les deux hommes ne s'étaient jamais présentés l'un à l'autre auparavant, leur rencontre fut donc très intéressante. C'est Balzac, qui aborda

éducation soignée à sa fille. Cependant, il meurt alors qu’elle n’a que quinze ans. Sa mère, fille d’un médecin du roi se remarie alors avec Renaud de Sévigné, oncle du mari de la marquise de Sévigné. C’est dans le salon réputé de sa mère que Marie-Madeleine Pioche apprend les codes mondains de l’esprit et de la galanterie. Elle épousera en 1654 par un mariage de convention et d’intérêt le comte de de Lafayette , un veuf de dix-sept ans son ainé. C’est dans le château d’Auvergne qu’elle donnera naissance

conjointement dans le milieu journaliste dont il fait la satire dans Bel-Ami (1885). Apres Mont-Oriol (1887) et Pierre et Jean (1889), Maupassant dépeint la vie mondaine en s'inspirant de ses propres aventures dans Fort comme la mort (1889) et Notre Cœur (1890). Les portes de la haute société lui sont désormais ouvertes, il fréquente les salons, a de nombreuses maitresses et voyage beaucoup sur son yacht Le Bel-Ami, rapportant ses souvenirs dans des nouvelles comme Sur l'eau (1888). Cependant depuis

jusqu’en 1931, date de son entrée dans la fonction publique, Mérimée n’exercera aucun métier hormis celui d’écrivain. Il s’aperçoit rapidement qu’il ne pourra vivre uniquement de sa plume. Grâce à ses amitiés et aux relations nouées dans les salons mondains, il est nommé chef de bureau du secrétariat général de la Marine en 1831. Suite aux nombreuses promotions qui suivront, Mérimée devient un personnage politique important et se consacre de moins en moins à ses activités d’écrivain. Ses productions

et rencontre Charles Perrault & Molière. - 1664-1672, il fut protégé par la duchesse d’Orléans, c’est là qu’il commence à écrire son premier recueil de Fables (I à VI). - 1672-1684, il fut protégé par Mme de la Sablière qui tient un salon mondain littéraire, philosophique & scientifique. Il compose son second recueil et se plaît à dégager entre l’homme et l’animal, une identité. En 1684, il est reçut à l’Académie Française. Il va profiter de la querelle entre les anciens et les modernes

illusion de vraisemblance, faire croire que tout cela est vrai. II. LACLOS, SA VIE, SON OEUVRE S'ennuyait depuis da jeunesse, désir de se faire militaire (1760). Cette connaissance du monde lui vient de la fréquentation de la vie mondaine à Grenoble (7 ans), des salons, des théâtres... Pendant ces périodes fait une première tentative d'écriture (poème en alexandrins) où il fait un éloge de la mort. 1779 → il se retrouveà surveiller la construction du fort de l'île d'Aix. Elle risque d'ê attaquée