Les Salons Mondains

originaire d’Ardèche. Ayant donné le signal d'une réaction contre le naturalisme en littérature, Bourget est d’abord tenté par le roman d’analyse expérimental. La finesse de ses études de mœurs et de caractères séduit le public mondain qu'il fréquente dans les salons parisiens de la Troisième République. Ses premiers romans – Cruelle énigme (1885), Un crime d'amour (1886) et Mensonges (1887) – ont ainsi un grand retentissement auprès d'une jeune génération en quête de rêve de modernité[E 1].

Trois personnages se retrouvent à leur mort dans une même pièce. Il s'agit de Garcin, journaliste, Inès, employée des Postes et Estelle, une riche mondaine. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni les mêmes goûts. Jean-Paul Sartre nous décrit ici « son Enfer » avec brio : « l'Enfer, c'est les autres ». Cette phrase, qui a valu à Sartre les pires accusations, explique seulement que la vie « se ressent, se perçoit » à travers les autres

Marguerite elle-même ; Hiran est son mari Henri d' Albert ; Ennasuite, Longarin et Saffredent sont de son entourage, ect.). Mélange de comique et de tragique, souci d’instruire plus que de plaire. Il s’en dégage une morale chrétienne et mondaine qui préfigure la vie de salon. Marguerite de Navarre évite les détails grossiers, les termes crus, les situations par trop équivoques, introduit parfois des anecdotes dramatiques. Elle s'est inspirée des dix journées du Décameron de l'humaniste Boccace (il lui

relation cachée du fait de son statut de femme mariée. On retrouve cette idée dans le regard inquiet de la jeune femme tout autant que sa joue se prête de manière lascive à un baiser effronté. De même, l'ambiance que dégage cette œuvre rappelle les salons mondains où se réunissaient les personnes de haut rang. Concernant la quatrième de couverture, j'ai choisi de commencer par une citation décrivant en quelques mots la personnalité de Mr Duroy qui lui a permis de monter dans la société. S'en suit un rapide

Les soirées mondaines sont pour Proust un terrain d’observation privilégié des comportements sociaux. Elles servent de révélateur et permettent de découvrir la personnalité profonde d’un individu. Les travers de chacun montrent les valeurs idéologiques, morales . C’est pourquoi Proust n’éprouve pas, comme les écrivains réalistes, le besoin d´offrirr une enquête sociologique sur ses personnages. A son seul comportement mondain, nous savons tout ce qu’il nous faut savoir

de la façon la plus persuasive possible) , à son goût de la discussion, du théâtre et de l'histoire. Dès l'âge de vingt ans, Voltaire fréquente les salons parisiens et s'adonne à une littérature mondaine. 11 mois à la Bastille : Son insolence et son indépendance d'esprit, que l'on pourrait imputer à une certaine forme d'inconscience, lui valent d'être emprisonné en 1717 à la Bastille pour offenses envers le Régent, Philippe

Mme de Sévigné Femme de lettres française qui, dans la correspondance qu'elle adressa à sa fille, fit la chronique spirituelle et sensible de la cour et des salons parisiens. Elle perd son père en 1627, puis sa mère en 1633 puis trois de ses grands-parents. Elle est élevée par son grand-père, puis à la mort de ce dernier ce sont ses deux oncles. En 1644 Marie de Rabutin-Chantal a dix-huit ans, quand elle épouse Henri de Sévigné, de trois ans son aîné. Ce dernier léger et dépensier lui donnera

lui apprend le latin et l'italien. En 1655, à l'âge de 21 ans, elle épouse François Motier, comte de Lafayette. Ils auront 2 fils. Madame de Lafayette vit la plupart du temps à Paris où elle fréquente la société de la cour et où elle a son propre salon tandis que son mari vit à la campagne. Après la naissance de leur deuxième fils, François de Lafayette semble avoir disparu. En 1661, elle assiste au mariage de son amie Henriette d'Angleterre avec Philippe d'Orléans (monsieur, frère du roi). Cela

Jansénistes, et Bossuet se donnent pour mission de ramener à la religion les indifférents. LE LIBERTINAGE MONDAIN  1685~1715 Vers 1680, la tradition libertine est renouée : le gouvernement de Louis XIV est affaibli après la Révocation de L'Édit de Nantes. On réagit contre les excès des dévots qui triomphent à la Cour. Le libertinage s'étale au grand jour dans les milieux mondains. On se réunit dans des salons : celui de Ninon de Lenclos, principalement, fréquenté par Saint-Évremond, Condé, le cardinal de

galerie d'expositions pour les produits de l'industrie ». Il fut pensionnaire de l'Académie de France à Rome du 17 janvier au 31 décembre 1849 et effectua un long voyage en Grèce qui lui fournit le sujet de son envoi de quatrième année, présenté au Salon en 1853. Il visita la Grèce avec Edmond About et Constantinople avec Théophile Gautier et choisit de réaliser le relevé du temple d'Aphaïa à Égine où il insista sur la polychromie. Il fut élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1874. Il est enterré