Les Sens Nous Trompent Ils

D’emblée, les sens, c’est-à-dire la perception, est sujet au doute méthodique. Les sens en effet peuvent nous tromper. Par exemple dans les cas d’illusion d’optique. Puisqu’il existe la moindre incertitude, quant à la fiabilité des sens, ceux-ci sont douteux et doivent être considéré en vertu du doute méthodique comme faux. Si les sens ne permettent de fonder une connaissance rigoureuse, du moins la raison peut-elle y parvenir. En effet, la raison prend de la distance avec les sens et s’appuient

Discours de la Méthode (1637). « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée; car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous

et mon majeur croisés me paraît double. Quotidiennement nous expérimentons des erreurs de nos sens que nous qualifions de défaillances ou d’illusions sensorielles. Cependant, quand elle dénonce ces défaillances ou ces illusions sensorielles, la conscience commune le fait en les opposant aux perceptions normales et correctes des sens : elle pose donc, que, dans leur fonctionnement habituel, normal, les sens nous font percevoir correctement les choses, telles qu’elle sont réellement, tandis que, dans

en premier lieu si, de toutes les choses qui sont tombées sous nos sens ou que nous avons jamais imaginées, il y en a quelques-unes qui soient véritablement dans le monde, tant à cause que nous savons par expérience que nos sens nous ont trompés en plusieurs rencontres, et qu’il y aurait de l’imprudence de nous trop fier à ceux qui nous ont trompés, quand même ce n’aurait été qu’une fois. » En d’autres termes, il estime que nos sens ne sont pas fiables. Il établit que la majorité du savoir que nous

sur ce clavier. Et pour prouver que je suis là, dans cette chambre à faire ce devoir de philosophie, j’utilise certains de mes sens. Mais supposons que mes sens me trompent, comme le dis Descartes, à cause d’un certain malin génie qui prend plaisir à me voir douter. Sur quoi d’autre pourrais-je me fier pour prouver mon existence alors ? Disons que je n’ai plus aucun sens. C’est le noir total je ne peux plus rien faire. Mensonge, la seule chose qui m’est possible de faire à présent est de penser.

suppose que l’homme soit parvenu à la science et ait déterminé le statut de ce qui appartient aux impressions : il y a ce que l’on perçoit, et ce qui est, sans que ces deux ordres soient réductibles l’un à l’autre. Or, ce qui est, est d’abord dans les sens ou dans les idées : je ne conclus à la réalité de quelque chose que parce que j’en ai d’abord reçu l’impression. Si je vois un arbre, réellement, c’est que j’ai d’abord perçu, eu l’impression sensible de cet arbre. Je conclu donc semble-t-il à a réalité

d'interprétation que l'entendement fait des informations que lui transmettent les sens. THESE DU TEXTE: « les sens ne trompent pas (…) l'erreur n'est jamais qu'a la charge de l'entendement ». Les sens ne peuvent tromper car ils ne font que donner des informations sur ce qu'ils perçoivent, ce ne sont pas eux qui établissent des conclusions sur ce qu'ils perçoivent, mais c'est l'entendement qui interprète mal ce que les sens lui montrent, c'est lui commet des erreurs de compréhension.

abusent de leurs naïveté. La religion est pense sur le model de la secte, et le savoir ne suffit pas à éliminer la religion. Si la religion est une illusion, cela signifie qu'elle a une cause profonde identifie (peur de la mort? besoin de donner un sens a sa vie?) il est alors impossible de l'eliminer. Si la religion est un prejugeé, c'est un ensemble d'idees fausses transmis par la famille et la communauté du croyant de génération en génération. III)Problematique La religion peut etre soit ducotê

Le corps serait du domaine du perceptible, du changeant, du mortel (monde sensible), quand l’âme saurait invisible, immuable, immortelle (monde intelligible, càd accessible par le raisonnement). Notre corps nous pousse aux vices, nos sens imparfaits nous trompent. Le philosophe doit se détacher le plus possible du corps, purifie ainsi son âme. Pour Socrate, l’âme est aussi immortelle. Dans la nature, si une chose existe, elle existe par rapport à son opposé (s’il fait chaud, c’est parce qu’il a

la quatrième partie de ce Discours de la méthode : En effet la recherche exclusive de la vérité le pousse à considérer comme faux tout ce qui lui provoque un doute. Cette thèse le pousse à réfuter deux choses : -Les sens nous trompent parfois, il suppose donc qu’ils nous trompent en permanence. -Les raisonnements des Hommes s’avèrent parfois faux, donc Descartes considère tout raisonnement extérieur faux. Lorsqu’il se met à penser que tout est faux, il prend conscience que son être pensant