Les Solutions Aux Problèmes Du Taylorisme

d'un savoir de gestion celui qui tient les comptes = celui qui détient le pouvoir (éducation importante donc...) création de la lettre de change par les banquiers italiens = création de la finance les corporations commencent à se mettre en place problème du temps (de travail) ==> création des horloges qui sonnent à heure égale travail = punition, oisiveté = état du religieux en prière La fin de l'Ancien Régime au niveau comptable, l'ordonnance de Colbert de 1673 = obligation de la tenue des

la préparation à la décision. Pour que l’information passe, il faut la répéter au moins 3 fois et en pédagogie au moins 5 fois. Aujourd’hui on n’est plus dans le taylorisme où une personne qui réfléchie dicte et les autres exécutent, on est dans le management participatif qui permet de développer les compétences. Dans le taylorisme, les gens n’amenaient pas leur compétence, mais c’était plus simple, l’animateur donnait un ordre, cet ordre était respecté et exécuté. Dans le management participatif

début du machinisme, auparavant, le savoir fait était transmis de père en fils. Le machinisme introduit la notion de rendement. Le Taylorisme : Mise en place d’agencement pour un meilleur rendement, Taylor analyse le couple Homme / Machine. Théorie de Taylor : 3 postulats 1. Principe d’analyse des mouvements et du geste. Il y a une seule meilleure solution de travailler «  ONE BEST WAY » Gilbreth filmait les gestes => Therblig = le mouvement le plus fin 2. Etude des temps et des mouvements

glo: qualificat° ' 20 med: conjoncture eco fluctueuse, capacité d’adaptat° Ms pbl car subjectif • LE TAYLORISME 'objt: OST=max ptivité '+ tache simple + rapide + productivité (chronometré? ' división entre l’executif et le decisionnaire, enleve toute decisión a l’ouvrier, enleve le savoir faire • LE FORDISME fordisme : Organisation du travail combinant les apport du taylorisme et les principes d’une chaîne tractée imposant ses cadences, d’une standardisation des pièces et des produits

globaleDifférencation : Consiste à proposer un produit unique Le produit se démarque de la concurrence et favorise la notoriétéCoût financéIntégration : Consiste à maîtriser toutes les étapes du produitMaîtrise de la chaîne de productionTrès coûteux, problème de réactivitéExternalisation : Consiste à faire faire une partie ou toute la fabrication par un fournisseurRéduction des coûts, devient + flexibleDépendance des fournisseursFocalisation : consiste à se concentrer sur un segment du marchéExtrême connaissance

1 PROGRAMME PARTIE I    I. Introduction. II. Évolution de la psychologie du travail. III. RH et systémique PARTIE II  I. Les comportements humains au travail: - Motivation / satisfaction - Autonomie - La notion de problème II. Psychologie de travail et RH - Recrutement : bien rédiger une annonce, tri des CV, l’entretien téléphonique - Gestion des conflits SUP'RH 2 - Gestion du stress  SOMMAIRE Partie 1. Chapitre I: introduction   1- Généralités:

concurrence est importante afin de comprendre comment fonctionnent les usines "tayloristes" d'aujourd'hui. Car si on peut admettre que les méthodes de travail à la chaîne – et les conditions de travail pénibles qui vont avec – sont un héritage direct du taylorisme, le contexte est sans comparaison du point de vue de la concurrence. Face à un marché hyper concurrentiel, les entreprises actuelles voient les salaires comme une charge qu'il faut absolument limiter. La crainte est que le moindre changement salarial

tout de suite et… YR : aujourd’hui, on externalisent le max de tâches pour que le travail soit moins lourd à porter. Quand on est PDG, il faut savoir où l’on va Comment transformer le travail ? Il est difficile d’avoir une productivité sans le taylorisme Il faut suivre un programme de formation pour transformer le travail et avoir une approche globale de la responsabilité. Ex : l’agriculteur sait tout faire Ce n’est pas les tayloriens qui sont le plus en difficultés Yves Clot : Intersubjectivité

regroupant les questions les plus fréquentes des utilisateurs lui permet de poser les "bonnes questions", de diagnostiquer le problème et dans la mesure du possible de trouver une solution. On parle ainsi de CBR (Case-Based Reasoning : Raisonnement à base de cas) permettant de trouver une solution par des questions / réponses successives. Si l’opérateur ne parvient pas à résoudre le problème, le client est alors redirigé vers un spécialiste ayant une connaissance produit plus approfondie mais coûtant bien

une multiplication des fonctions du personnel ce qui entraîne le développement de nouvelles règles pour le bon fonctionnement, la nouveauté des définitions de travail et de nouvelles dispositions administratives. L'envers de la bureaucratie :Les problèmes liés à la bureaucratie ont été mis en évidence par différents chercheurs : Robert King Merton, Alvin W. Gouldner, James Gardner March et Herbert Alexander Simon, Peter Blau et plus particulièrement en France par Michel Crozier. Les résultats de ces