Les Souffrances Du Jeune Werther

ne puis vouloir ce qui nous sépare ? J’ai été mécontent, malheureux, injuste... » 4. Un être souffrant et insatisfait (cf. ch. 5 de la séquence 7) a) L’amour malheureux Thème romantique par excellence. • Mort de l’être aimé qui entraîne la souffrance du héros, comme dans Le lac ou Fingal ; voir aussi Atala de Chateaubriand. • Séparation du héros avec l’être aimé, source de désespoir : Nuits de Musset. Cned – 7FR20CTPA0609 2/3 b) Le « mal du siècle » Evocation d’un héros dont le « moi » est

appartiennent aux deux familles rivales. Une épidémie de peste empêche le messager du frère Laurent de porter sa lettre à Roméo, et seule la nouvelle de la mort de Juliette parvient jusqu'à lui. Il revient à Vérone résolu à mourir sur la tombe de sa jeune épouse. C'est là qu'il croise le comte Pâris, qui le provoque en duel et se fait tuer. Roméo entre dans la crypte et fait ses adieux à Juliette avant d’avaler une fiole de poison. Le frère Laurent découvre horrifié son corps sans vie. Juliette se réveille

vision trop idéale de la sensibilité s'obscurcit. On traque de plus en plus la part d'ombre qui hante chacun. Il n'y a pas de joie sans mélange, sans souffrance... souffrance qui sera elle-même source de volupté, comme chez les romantiques. Saint-Preux, dans La Nouvelle Héloïse, connaît les mêmes tourments, les mêmes affres de l'âme que le jeune Werther de Goethe (1774) : « O Julie ! Que c'est un fatal présent du ciel qu'une âme sensible »...

de leur époque. Définition des principes de ce mouvement : Les jeunes, à l'époque sont incompris, ils vivent dans un monde sans repères, ils se trouvent dans un profond ennui, le « mal du siècle ». Les romantiques entretiennent donc les souffrances de leur âme, signifiant une source d'inspiration et d’apaisement. Ils se retrouvent donc dans la contemplation de la nature, ils trouvent du réconfort dans les paysages avec le miroir de leur âme, mais aussi les sentiments religieux. Le mouvement

s’est développée une littérature de souvenirs d’école: • Jules Verne, L’’enfant où l’auteur exploite le rejet de l’école et de l’éducation parentale • Colette, Claudine à l’école (premier tome d’une série à succès), raconte l’expérience d’une jeune fille vivant à la campagne Cette tradition ne disparaît pas au 21ème siècle comme en témoignent: • Daniel Pennac, Chagrin d’école (2007) roman • François Bégaudeau, Entre les murs (2006) • Jacques Prévert, Le Cancre (poème de 1946) Ce poème

nommé avocat de la chambre impériale, puis devient magistrat à Wetzlar. En 1773, il recommence à écrire. Au cours d’un voyage il écrit le poème Geistesgruss mais c’est qu’en 1774 qu’il écrit un livre qui le rend immédiatement célèbre, les Souffrances du jeune Werther. Dans ce livre il représente entre autres sa propre personnalité. Dans cette histoire le personnage principale a des racines biographiques de Goethe. Donc l’histoire n’est pas une autobiographie, mais il possède quelques éléments de sa

personnage central (La Liberté) au-dessus des autres, des morts et finalement du monde. De ce fait cette femme devient une allégorie (un symbole) de la liberté. A droite figure un jeune garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice, prêt à se sacrifier pour la liberté. Il cri (le seul), on peut mettre ce jeune personnage en relation avec le gavroche des Misérables de V.Hugo*. A gauche de la femme qui symbolise la liberté se tient un homme coiffé d’un chapeau haut de forme sans doute « un

son roman Cinq Mars, Alfred de Vigny suggère quelques règles pour le roman. Dans De la littérature, Mme de   Staël ne mentionne que le roman anglais. Pourtant quelques romans précurseurs commencent à paraître, comme en Allemagne, avec Les souffrances du jeune Werther, de Goethe; ce roman sera une référence majeure pour les futurs écrivains du siècle; et en France avec René (1802), de Chateaubriand, qui est un des premiers romans personnels (analyse d'une figure centrale, d'un personnage par le narrateur)

vision trop idéale de la sensibilité s'obscurcit. On traque de plus en plus la part d'ombre qui hante chacun. Il n'y a pas de joie sans mélange, sans souffrance... souffrance qui sera elle-même source de volupté, comme chez les romantiques. Saint-Preux, dans La Nouvelle Héloïse, connaît les mêmes tourments, les mêmes affres de l'âme que le jeune Werther de Goethe (1774) : « O Julie ! Que c'est un fatal présent du ciel qu'une âme sensible ».

son roman Cinq Mars, Alfred de Vigny suggère quelques règles pour le roman. Dans De la littérature, Mme de Staël ne mentionne que le roman anglais. Pourtant quelques romans précurseurs commencent à paraître, comme en Allemagne, avec Les souffrances du jeune Werther, de Goethe; ce roman sera une référence majeure pour les futurs écrivains du siècle; et en France avec René (1802), de Chateaubriand, qui est un des premiers romans personnels (analyse d'une figure centrale, d'un personnage par le narrateur)