Les Vices De Consentement Dans La Conclusion Des Traités Internationaux

c’est à dire la vente des titres sociaux .A ce titre deux types de règles légales peuvent être interprétés pour assurer la protection des droits des cessionnaires ;les règles de protection du consentement -les vices du consentement et les règles de garantie en matière de vente - la garantie contre les vices cachés et la garantie contre l’éviction- mais toutes ces règles livrent leurs limites en matière d’opérations de transfert des titres sociaux . En l’absence d’une telle garantie, la garantie

prix à payer. En principe c’est un contrat commutatif, car les obligations du vendeur et de l’acquéreur sont en principe équivalentes et la valeur de la prestation de chaque contractant est fixée et peut être appréciée au moment de la conclusion du contrat. Dans certaines ventes, les obligations ne sont pas regardées comme équivalentes : cas quand on vend un bien moyennant le paiement d’une rente viagère. Ce sont des ventes aléatoires. Si le crédirentier (vendeur) meurt

de règlement pacifique extérieures aux Organisations Internationales. Section I - Les procédures diplomatiques de règlement. Il s'agit de procédures d'origine coutumière qui ont été codifiées par le statut des Organisations Internationales. Les procédures diplomatiques sont menées par ceux qui assurent normalement les relations entre Etats. Elles ont été souvent les seules utilisées pour régler pacifiquement les crises internationales. Elles conservent une grande importance soit pour la

obligation de transférer la propriété. En effet le vendeur doit transférer la propriété à l'acquéreur. Toutefois cette obligation est particulière car le transfert de propriété dans un contrat de vente s'opère immédiatement, par le seul effet du consentement. - l'obligation de faire : c'est le cas notamment dans le contrat d'entreprise. - l'obligation de ne pas faire : Par exemple, l'obligation de ne pas faire concurrence. Ou alors dans un contrat de travail, il y a un lien de droit entre un employeur

d'accepter ou de le refuser. • Judiciaire : le contrat prévoit habituellement une expertise contradictoire qui s'impose aux parties. Celles-ci peuvent la contester et recourrir à une expertise judiciaire. 2 Le règlement du sinistre. De la conclusion du contrat jusqu'à la survenance du sinistre, l'obligation de l'assureur est conditionnelle. Elle devient certaine par la réalisation du dommage. Le créancier du règlement est le plus souvent l'assuré souscripteur du contrat, mais peut être un

1 Du 25/1 au 30/1 p. 5 La classification des contrats et la capacité des contractants Séance 2 Du 1/2 au 6/2 p. 11 Séance 3 Du 8/2 au 13/2 p. 27 Séance 4 Du 22/2 au 27/2 p. 43 Séance 5 Du 1/3 au 6/3 p. 61 L’existence du consentement Les vices du consentement L’objet Les nullités 2 BIBLIOGRAPHIE MANUELS J.L.AUBERT : Le contrat – Dalloz ; Connaissance du droit ; 3ème éd. 2005 L. AYNES, P. MALAURIE, P. STOFFEL-MUNCK, Droit civil, Les obligations, Defrénois 4ème éd. 2009 A

Paragraphe 1 - Définition et contenu du droit des obligations d'après le Code Civil Le Code Civil traite de nombreuses matières, il est composé de trois livres : le premier traite des personnes, le second des biens et le troisième des différentes manières dont on acquiert la propriété. (C’est ici qu'on trouve le droit d'obligation) Dans le livre 3 il y deux titres qui nous intéresse : le titre 3 qui traite des contrats ou des obligations conventionnelle en général, le titre 4 des engagements qui se

sont pas tous rédigé par les juristes. Alors on peut avoir un doute et parfois les parties ont volontairement voulu dissimuler le véritable contrat quʼelles ont conclu pour échapper à des règles impératives qui les gênent. Vu que de déterminer le consentement est difficile, le juge va intervenir pour déterminer la volonté des parties. Il va requalifier si besoin est, lʼopération contractuelle que les parties ont conclu. Ce pouvoir le juge le détient de lʼart 12 al 2 du CPC «  le juge doit donner ou restituer

portée juridique - Les pourparlers ( formes de négociations entre le futur contractant. Deux éléments importants : - Renseignement que doit fournir obligatoirement le contractant - Permettent de pouvoir formuler le consentement éventuel au contrat, permet de formuler le consentement éventuel au contrat, permet de formuler des réserves. Ces pourparler engagent les deux parties d’une certaine manière ( avant contrat n’est pas un contrat au sens de 1108 : aucune obligation de faire. Donc si les

de transport ; la vente au comptant Le contrat à exécution successive est un contrat qui créé des obligations exécutées en plusieurs fois. Ex : l’abonnement transport ; le contrat de travail Le problème est la fin de ce contrat. Lors de la conclusion de ce contrat, il est interdit de le résilier unilatéralement. Il y a deux modes de résiliation du contrat à l’initiative des deux parties. Cette règle a une origine : dans l’ancien droit (avant 1789), il y avait la féodalité, et le lien qui liait