Les Voix intérieures

Quand nous sommes petits nous confondons sa voix avec la nôtre, il est émerveillé par tout, il est curieux et spontané. Quand nous grandissons, l’enfant n’est qu’une voix intérieure qui, chez certains hommes, semble ne pas exister. Pourtant, les signes de sa présence sont simples, par exemple dans les peurs liées aux traumatismes de l’enfance, telles que la peur des ténèbres. En réalité, dans cet extrait, le Narrateur est capable d’apercevoir la petite voix en lui dans différentes situations. Quand

cherche simplement à comprendre, reconstituer le parcours du meurtrier. La bête et la belle est un récit à trois voix. La première voix est celle d'un narrateur extérieur qui décrit les principaux événements des recherches de Gabelou. La seconde est celle de l'assassin qui a enregistré ses étonnantes confessions sur un magnétophone. Enfin la troisième voix est celle intérieure de Léon qui refuse de témoigner, de se confier à la police. Le Coupable est son ami. Le vieux Léon a longtemps travaillé

la loi, une perte de la raison et de la droiture" Extrait de Serment sur l'honneur Paul Ricoeur "le mal et ce dont aucune parole ne peut rendre raison" Hegel: la génialité morale "la conscience est la génialité morale qui sait comme voix divine la voix intérieur de son savoir immédiat" "un Je qui est Nous, un Nous qui est Je" Rousseau: "il y a deux principes antérieurs a la raison, l'amour de soi et la pitié" "Spinoza "je ne suis pas libre de vouloir mon mal" Kant impératif catégorique

juger. De plus, être objectif est le fait de donner une représentation fidèle d’une chose que l’on observe, quelle qu’elle soit, indépendamment d’un sujet pensant. Ainsi, la conscience est dans des livres ou des films est une sorte de petite voix intérieure qui semblerait nous guider à travers les chemins escarpés qui mènent au bien et nous détourne alors de la tentation de faire le mal. Cependant, cela parait bien irréel et sorti de la fiction. La conscience elle-même est bien réel car un je ne

en admirant la blancheur de sa main. Puis « j'ai besoin de toi », « je t'aime », mais très vite le doute s'empare d'elle : « il faut que je pense que je t'aime » Elle pose des questions sur la liberté puis exprime sa souffrance : « j'entends ta voix mais elle me fait mal, elle me coupe comme un couteau » Cette souffrance est renfermée par la peur. Electre « la lumineuse » devient obscure, dès le début elle veut éclairer le visage d'O. Dans la didascalie « elle va chercher un flambeau » Les

dialoguée qui se superpose à la forme poétique proprement dite (six quatrains d'alexandrins, prolongés par un dernier vers isolé de 9 syllabes). Ce dialogue fait entendre deux voix intérieures, de sensibilités contraires, dont l'entrée en scène alternative est signalée par des tirets, aux vers 5, 19 et 21. La première de ces voix exprime l'indifférence aux événements tragiques de l'année 1871 ou, du moins, une certaine lassitude de la révolte (v.1-5) ; plus loin, elle se fera l'avocat de la lucidité

d’exprimer un sens, sans bruit et sans parole certes. Puisque le silence permet de se concentrer, de réfléchir, puisqu’il est capable de donner des significations mais sans parole ; il y aurait alors un langage non verbal, sans communication de vive voix. Le silence aurait donc un sens plus profond.   Parler oralement n’est pas le seul moyen permettant à quelqu’un de s’exprimer. En effet, lorsque nous sommes silencieux, que nous nous taisons, nous ne le sommes pas forcément en nous, dans notre

souffrance totale. Bien que les deux poèmes semblent très similaires tant pas la forme que par le fond, la vague de la passion n'affecte pas nos deux poètes de la même façon. II. Des affectations différentes: b) Sappho. Livre une bataille interieure contre celui qui est semblable à un Dieu. Tout d'abbord pétrifiée sur place "il ne m'est plus possible d'articuler", il s'en suit une propagation: une sensation de brulûre puis un assourdissement. La poète devient fermée sur l'exerieur, sans moyen

permettant de définir le bien et le mal comme instance de jugement. Cette conscience morale est une voix intérieure qui relève à la fois du sentiment et de la raison. Il est important de faire la distinction entre la conscience source de connaissance de soi et de la conscience du monde. L’un provient de son for intérieur et l’autre de ce qui se passe autour de nous. La conscience est donc une réflexion intérieure dont les mécanismes de l’activité mentale permettent à chacun d’entre nous de déterminer le

Celles-ci sont, en fait, des déterminismes. Ils sont essentiels au développement de l'humain et doivent emprisonner l'homme. Ils peuvent aussi être interprétés par notre voix intérieure qui, dans un sens nous contrôle dans nos actions. Par exemple, lorsqu'un étudiant veut aller danser, mais qu’il doit étudier, la voix intérieure décide pour lui. Si elle lui dit d'aller danser, c'est pour une raison spécifique. Soit elle veut le punir et lui faire réaliser dans le futur que son choix aura des répercussions