Les Vérités Scientifiques Sont Elles Bonnes

Par définition, une vérité est, notamment, une propriété admise et vérifiée tel un dogme. Lorsque l'on dit d’une chose qu’elle est discutable, cela signifie qu’elle peut faire l’objet d’avis différents, de désaccords et qu’elle ne peut être considérée comme étant définitivement établie. Inversement, dire d’une chose qu’elle est indiscutable, c’est dire qu’elle ne souffre aucune discussion. Autrement dit, une vérité serait au premier abord, indiscutable. Dans ces conditions, il parait paradoxal de

et la découverte scientifique s’apparente moins à une illumination qu’à la critique d’anciennes opinions ou de théories déjà vieillies. C’est en ce sens que le philosophe et épistémologue français Gaston Bachelard a pu écrire : « Il n’y a pas de vérités premières, il n’y a que des erreurs premières ». Ces erreurs premières, on le comprend, ce sont les préjugés et les prénotions que la connaissance doit mettre en jugement pour devenir objective. Faut-il en conclure que la vérité nous soit à jamais

admis comme des vérités premières. Dès lors est-il possible véritablement de tout démontrer ? Reprenons. Comment comprendre la démonstration ? Consiste-t-elle par exemple seulement à appuyer une thèse par des raisons, c’est-à-dire à argumenter en faveur d’une thèse ? Si tel est le cas, il semble possible de démontrer tout et son contraire : n’y a-t’il pas dès lors autant de démonstration que d’avis et d’opinion ? Cependant, ne faut-il pas relier la démonstration à la notion de vérité, dans le sens

croyances sont-elles un mode de pensée inférieur qui est dépassé et rendu inutile par la connaissance scientifique ou bien sont-elles légitimes malgré l’avancée de la science ? I/ Le dépassement des croyances par la connaissance scientifique 1) De l’âge fictif à l’âge positif de l’humanité : la loi intellectuelle des trois états (Auguste Comte, Discours sur l’esprit positif). Le progrès de la connaissance rend les croyances inutiles et nuisibles au développement scientifique. Les croyances

La théorie (L) ..................................................................................................... 71 35. Le travail (L - ES - S) ........................................................................................ 72 36. La vérité (L - ES - S - Techn.) ........................................................................... 74 37. Le vivant (L - S) ................................................................................................ 79 38. Sujets “inclassables”

nécessairement les victimes du temps ? A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ? ------------------------------------------- ES : Antilles – remplacement 1996 Les passions font-elles vivre ou font-elles mourir ? La vérité peut-elle être relative ? ------------------------------------------- ES : Asie – Session NORMALE 1996 L’homme est-il libre par nature ? Peut-on toujours dire la vérité ? ------------------------------------------- ES : Étranger groupe 1 - Session NORMALE

au cours de ses expériences, ne reniant pas, ainsi, être une contradiction en lui-même. Il n’aboutit jamais à des certitudes et s’interroge sur sa capacité à en avoir. Un certain relativisme qui ne peut que rappeler notre bon vieux Descartes et son fameux doute cartésien. On pourrait penser qu’il règne dans l’inconfort dont je vous ai parlé en introduction, c’est alors là qu’intervient la médiation, selon ses dires : le bouton off, découvert après avoir mis le feu au lac

Théorie Scientifique ? mars 13, 2012 par Sébastien B. le Actualités, Nos dossiers, Sciences avec 0.Commentaire Les théories scientifiques sont une composante fondamentale de la science. Toutefois, la définition d’une « théorie scientifique » est souvent mal comprise en raison de l’usage commun de la phrase. Cet article va traiter de la définition d’une théorie scientifique et des erreurs communes dans l’utilisation du terme. Il aborde également les méthodes qu’utilisent les scientifiques pour créer

juger. Comment concilier, alors, la critique de l’opinion avec la reconnaissance de sa liberté ? A quoi sert-il de défendre un droit qui par le mépris est sans cesse bafoué ? Se défier des opinions privées, n’est-ce pas souterrainement se réserver la vérité ? Si pourtant l’opinion est hâtive, si les avis sont précipités, c’est qu’ils ne sont pas privés. La limite de l’opinion n’est pas qu’elle soit personnelle, mais impersonnelle. L’opinion, loin d’être subjective, est souvent partagée. C’est un écho

quelque chose qui semblait acquis et certain afin d'entamer une réflexion. - doute sceptique : décision de douter de tout et toujours. Il est radical, universel, permanent et définitif et repose sur la thèse de l'impossibilité d'accéder à la moindre vérité. Antithèse de l'attitude dogmatique. Cf. Pyrrhon, philosophe grec du 4ème siècle avant JC, figure majeure du scepticisme antique, qui préconise, pour atteindre l'ataraxie (tranquillité de l'âme) et la sagesse, la suspension du jugement (« épochè »)