Les Vérités Scientifiques Sont Provisoires

Sommaire • 1. Qu’est ce que la gérontologie? • 2. Pourquoi parler de recherche en gérontologie? • 3. Nature multidisciplinaire de la recherche en gérontologie • 4. Démarche scientifique • 5. Pluralisme méthodologique • Conclusion intermédiaire 2 I. Qu’est ce que la gérontologie? 3 I. Gérontologie • Spécialité scientifique consacrée à l'étude du vieillissement chez l'homme. • Ce terme est proche de celui de gériatrie (une discipline médicale qui est consacrée aux maladies dues au vieillissement)

109 La vérité 13 S FRANCE MÉTROPOLITAINE JUIN 2003 • SÉRIE S U J E T La vérité dépend-elle de nous ? C O R ■ Éléments NOTIONS EN R I G É d’analyse JEU La vérité ; le langage ; la démonstration (la raison et le réel ; le sujet). REMARQUES ET DIFFICULTÉS m Le sujet du devoir interroge le rapport entre la vérité et la subjectivité, voire l’intersubjectivité. En effet, « la vérité dépend de nous » signifie que la vérité est subjective

Méditations métaphysiques, soumet ses connaissances à l’épreuve du doute. Le doute de Descartes est provisoire et méthodique, à l’inverse du doute des sceptique qui est définitif. En outre, Descartes doute dans le but de supprimer ses opinions et forger un véritable savoir, s’appuyant sur des certitudes. Le doute méthodique de Descartes est radical : il remet en question les évidences sensibles, les vérités mathématiques, l’existence de son corps etc. Il fait également l’hypothèse du rêve : est-il

Présentation, correction et commentaire d’une dissertation portant sur le sujet : Y a-t-il un progrès de la vérité scientifique ? Avant de proposer le travail corrigé, je vais reprendre, étape après étape, la préparation de la dissertation. I. Travail préparatoire 1. Lecture et analyse du sujet a. Théorie La compréhension de la signification du sujet est absolument capitale car elle engage tout le reste. Il faut être très attentif aux différents sens des termes, ainsi qu’aux nuances

Est-ce que vous pourriez m' aider pour la problematique et le plan car j'ai vraiment du mal à trouver ? Merci " Le sujet concerne non pas la valeur de vérité des opinions mais leur "respectabilité": qu'est-ce que cela veut dire? N'y a-t-il pas ici un plan éthique ou moral à prendre en compte? Et le plan politique? Le sujet est sans doute en son fond un sujet politique. Mais avant de prendre en compte les pb politiques qu'il pose (la liberté des opinions en démocartie par ex.), il faut que vous

étourderie ou par vanité : l'erreur n'est donc qu'une privation de connaissance. L'épistémologie contemporaine, au contraire, donne à l'erreur un tout autre statut, plus positif. Les vérités scientifiques ne sont jamais que provisoires, qu'elles doivent constamment être remaniées et corrigées. La connaissance scientifique ne peut pas faire l'économie de l'erreur. L'illusion, cependant, se distingue de l'erreur. Descartes, par exemple, dans les Méditations, montre comment c'est par abus de langage que

Méditations Métaphysiques. Discours de la méthode Le Discours de la méthode est le premier texte philosophique publié par Réné Descartes à Le Haye le 8 juin 1637. Dans les premières éditions, ce discours servait d'introduction à trois traités scientifiques mettant en application cette méthode : la Dioptrique, les Météores et la géometrie. Toutefois, sa célébrité est devenue telle, qu'il est désormais souvent publié seul, comme un essai indépendant. Ce discours marque une rupture avec la tradition

Faut-il se méfier de ses certitudes ? La certitude est le « caractère de ce qui est certain, assuré, indubitable. Elle est la conviction, l’assurance pleine et entière que l’on a de la vérité de quelque chose. » On est certain d’une chose lorsque l’on porte un jugement qui exclut le doute et la crainte de l’erreur. Il est important de constater que c’est un état qui touche chacun de nous dans le rapport que nous entretenons avec la réalité. Certaines expressions telles que « j’en mettrai ma main

| |Extrait de : | |Gaston Bachelard, La formation de l’esprit scientifique. | |Paris, Librairie philosophique Vrin, 1999 (1ère édition : 1938), chapitre 1er. | |

préjugé doit être combattu au nom de la vérité et de la liberté. *pour Descartes les causes de l’erreur viennent de l’entendement qui est fini (on peut pas tout savoir) et la volonté infini (on peut vouloir et affirme tout et n‘importe quoi, refuser l‘évidence). => donc pour D. le jugement est libre, on peut même être de mauvaise fois. Contrairement à Spinoza qui pense que la vérité est une évidence et s’impose à l’esprit (volonté contrainte à la vérité). *pour Spinoza on peut se tromper à cause