Les Vérités Scientifiques Sont Provisoires

LES MÉTHODES DE RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES Les méthodes de recherche en sciences humaines sont des procédures définies qui sont utilisées en vue de développer la connaissance scientifique des phénomènes humains. La méthodologie des sciences humaines est l’étude de ces procédures. La connaissance scientifique se caractérise par la rigueur de ses raisonnements — mathématiques ou logiques — et par la précision de ses observations empiriques. La méthodologie joue un grand rôle en science (autant

d'éducation et de comprendre ce qui en constitue la spécificité, indépendamment des formes sociales et institutionnelles qu'il a pu prendre au cours des siècles. Disons que « l'éducation est une relation (1) dissymétrique (2), nécessaire (3) et provisoire (4), visant à l'émergence d'un sujet (5) ». Reprenons brièvement les cinq éléments de cette proposition : 1) « L'éducation est une relation » : voilà qui apparaît de l'ordre de l'évidence... Pour qu'il y ait éducation, il faut qu'il y ait un éducateur

est devenu l’expression d’une « culture de précaution » qui cherche à apaiser les craintes exprimées au niveau national et international et servir comme nouvel interface entre la connaissance et la prise de décision politique 1. Le progrès scientifique et technique, instrument de pouvoir et outil d’épanouissement de nos sociétés contemporaine, associé à l'émergence d'une mondialisation et à la diffusion de l'information incite, plus que jamais, le citoyen à revenir sur l’idée de progrès. Retour

L'opinion est une sorte d'affirmation que l'on ne peut démontrer car celle-ci est fondée sur une pensée et non sur une connaissance alors que l'esprit scientifique consiste à faire un raisonnement basé sur nos savoirs qui aboutira à un résultat que l'on pourra qualifier d'affimation. L'opinion peut-elle être fiable? La démarche scientifique est-elle plus sûre que l'opinion? A travers la phrase «  La science a besoin d'être achevée. », Bachelard cherche à nous faire comprendre que celle-ci ne

évalue les croyances, dont il tente de séparer le certain, du douteux. La position dont Descartes de place dans la situation d’un innocent. Le doute de Descartes, il est méthodologique puisqu’il doute pour mieux comprendre. C’est un doute qui est dit provisoire. L’objectif de Descartes est de produire des sciences, produire donc du vrai et concret. Il doute de tout, immédiatement s’il n’est pas absolue et le met de côté. Pour Descartes, il y a une priorité sur la pensée avant le corps. Mais, Descartes

(JEL). Ce dernier aurait pour mission de | | |contrôler le travail du parquet pendant l'enquête et de statuer sur les mesures les plus attentatoires aux libertés comme le placement en détention provisoire. Le comité | | |reconnaît cependant en conclusion qu'il n'a pu réfléchir à la simplification du code pénal, une de ses missions initiales, précisant qu'il s'agissait d'un "travail considérable"

: Pour le parti libéral, il faut reconquérir la liberté républicaine ; d'où la Révolution de 1830 et celle de 1848. 4) Des écrivains engagés : Lamartine, Hugo sont députés ; Vigny se présente aux élections ; Lamartine est chef du Gouvernement provisoire en 1848 ; G. Sand joue un rôle en 48 ; Hugo foudroie Napoléon III dans les Châtiments ; Zola et beaucoup d'écrivains choisissent la cause républicaine ou socialiste ; cf son intervention dans l'affaire Dreyfus. II. LES ASPECTS SOCIO-ECONOMIQUES

seulement les athées mais aussi les esprits laïcs sont très difficiles à réaliser pour un véritable croyant ! Chaque fidèle est convaincu que sa religion est la meilleure, personne ne se demande si ses croyances à lui sont bonnes ou non et si la vérité n’est peut-être pas chez les autres. Les religions n’ont pas été hérmétiques aux changements des moeurs tout au long des siècles, certains dogmes anciens n’ont plus de sens aujourd’hui. Il s’agit de continuer à faire évoluer les religions

christianisme 1) La vie de Descartes a) Sciences et philosophie René Descartes (1596-1650 : première moitié du XVIIème) : C’est un des plus grands philosophes français de la première moitié du XVIIème. Il a aussi été un grand scientifique : en maths, on lui doit toute la géométrie analytique (repère cartésien) et en physique la loi de la réfraction en particulier. Avant les sciences faisaient parties de la philosophie, en particulier les sciences de la nature (moins les maths)

non pas de quelque chose qui va de soi : différence entre le questionnement actif et la curiosité passive. Prenons l’exemple du questionnement scientifique : il nous montre que le monde n’est pas étonnant en soi, et que le scientifique est celui qui va contre les opinion. « Plus je fais de science, plus je m’étonne du monde » : le questionnement scientifique ne va pas vraiment de soi. On peut d’emblée poser la différence entre une question curieuse qui amène une réponse courte et exacte, et le questionnement