Lev Koulechov

encouragée cinéma : outil d’éducation promotion du communisme expériences : montage 1930 : fin des expérimentations réalisme socialiste L’école soviétique Les influences : constructivisme l’art utile les expériences (école du cinéma) – Lev Koulechov L’effet Koulechov Montage = créateur de sens L’école soviétique Caractéristiques : cinéma : outil d’éducation l’art utile et construit l’idéologie communiste héros collectif Montage créateur de sens : nombreuses théories… Théorie 1 : Le ciné-œil (Vertov)

soviétique, extrait de l'article "Montage" in Encyclopaedia Universalis «Les cinéastes soviétiques des années 1920 vont également faire du montage le centre de leurs préoccupations. En montant un même gros plan d’acteur face à des images différentes, Lev Koulechov démontre que le spectateur produit lui-même les liaisons entre les images et les sentiments qui en découlent. Une série de plans empruntés à des lieux ou à des corps différents montés ensemble donnent l’illusion d’un seul lieu ou d’un seul corps

Cours sur les raccords au cinéma : Travail tous ses montages d’après 4 films : Les contes de la lune vague après la pluie, L’Atalante, L’Homme à la caméra, Close-up. Raccords regards. GP sur les yeux des enfants en alternance. L’effet/expérience Koulechov. David Wark Griffith est né en 1875 et mort en 1848, ne tourne plus à partir de 1831. Se situe dans ce qu’on appellerait les GRANDS REALISATEURS. Griffith fait donc partie des « chrétiens » bien implantés au E-U. Commence au ciné avec des centaines

(associer 2 idées pour en faire qu'une). Ex: les poules dans Furie les moutons dans Les temps modernes -Lev Koulechov est connu pour être l'un des plus grand théoricien du montage. Il faisait des expériences avec les plus mauvais étudiants: mettre 2 images côte à côte (toujours le même visage + une activité): l'association fait qu'on imagine les sentiments du visage Effet Koulechov: c'est le 1er à avoir eu l'idée que le montage pouvait créer du sens et qu'avec lui, le spectateur serait manipuler

signent des œuvres d'une grande originalité formelle, comme Grigori Kozintzev et Leonid Trauberg, créateurs de la FEKS (Fabrique de l'acteur excentrique) et coréalisateurs des Aventures d'Octobrine (1924) et de la Nouvelle Babylone (1929), ou bien Lev Koulechov (les Aventures extraordinaires de Mister West au pays des Bolcheviks, 1924; Dura Lex, 1926). » in encyclopédie hachette 3 Des faits historiquement survenus. champ d’étude de l’ethnoscénologie, si je m’inscrivais radicalement dans cette

essentiellement basée sur le physique et la gestuelle, aucune place n'est donc laisser aux émotion. Alfred Hitchkok a aussi travaillée sur cette anti-émotionelle, il faisait jouer ces acteur de manière totalement neutre, reprenant les travaux de Lev Koulechov, qui consiste a prendre un plan quelconque d'un acteur de préférence avec un plan neutre au niveau du visage, et il y apose des image a chaque fois entre cette même image, en conclusion, on constate qu'avec une même image on peut faire passée la

découpage dans lequel les indications techniques sont très précises quant aux décors, à l’éclairage, au cadrage et aux déplacements de la caméra, aux jeux des comédiens. L’ effet Koulechov est une expérience mise au point par le cinéaste russe Lev Koulechov en vue de montrer l’importance et l’impact émotionnel que produit le montage. Le cinéaste affirme que l’expression de l’acteur peut être créée par le montage, tout comme le sont l’espace ou l’action.

images de bœufs à l’abattoir égorgés et baignant dans des marres de sang fumant remplacent des images qui auraient pu être trop banales et jamais être assez réalistes. L ’ e f f e t Ko u l ec h o v… Toujours en URSS à l’époque du cinéma muet. Lev Koulechov décide de théoriser le cinéma et le montage avec une expérience. Il alterne un seul et même gros plan d’Ivan Mosjoukine impavide avec des plans d’une assiette de soupe chaude, puis d’un cercueil d’enfant et enfin, d’une femme nue lascive… Les spectateurs

possibilité de créer du sens soit en insérant des plans sans lien narratif soit en mélangeant documentaire et fiction. Le montage est le centre des préoccupations, surtout pour les cinéastes soviétiques des années 1920. A cette époque, Lev Koulechov démontre que le spectateur produit lui-même ls liens entre les images et les sentiments provoqués. Une série de plans empruntés à des lieux ou à des corps différents montés ensemble donnent l’illusion d’un seul lieu ou d’un seul corps qui n’existent

début du cinéma le montage n’existe pratiquement pas. La plupart des films des frères Lumières ou de Méliès étaient de simples plans-séquences. Dans les années 1920, le cinéma russe contribua à conceptualiser cette technique, avec notamment Lev Koulechov qui mit en évidence l’impact du montage sur la perception des images. Dans une expérience de psychologie cognitive, il filma le visage inexpressive d’un acteur, avec lequel il fit trois montages précédées d’images différentes. Le spectateur