Lewis Carroll Alice Au Pays Des Merveilles

1937 : blanche neige Pluto, Donald, Minnie Progrès technique ( couleur, caméra Multiplane) 1940 : Pinocchio (roman) et Fantasia (musique) J’aime bien le rêve, la fantaisie comme Disney 1941 : Dumbo puis Bambi 1950 : Cinderella Alice aux pays des merveilles 1955 : la Belle et le Clochard 1959 : La Belle au bois dormant 1961 : Les 101 Dalmatiens 1964 : Mary Poppins mort le 15 décembre 1966 1967 : Le Livre de la jungle 1970 : Les Aristochats 2001 : Kuzco, l’empereur mégalo 1977 : Les Aventures

noire, Semblait fourbi, clair, irisé; Le liquide enchâssait sa gloire Dans le rayon cristallisé. Nul astre d'ailleurs, nuls vestiges De soleil, même au bas du ciel, Pour illuminer ces prodiges, Qui brillaient d'un feu personnel! Et sur ces mouvantes merveilles Planait (terrible nouveauté! Tout pour l'oeil, rien pour les oreilles!) Un silence d'éternité. II En rouvrant mes yeux pleins de flamme J'ai vu l'horreur de mon taudis, Et senti, rentrant dans mon âme, La pointe des soucis maudits; La pendule aux

vint à passer auprès d'elle en courant. Il n'y avait là rien de particulièrement remarquable, et Alice ne trouva pas très extraordinaire d'entendre le lapin dire entre ses dents: "Oh là, là! Oh, là, là! Je vais être en retard!" (lorsqu'elle y repensa plus tard, elle admit qu'elle aurait dû s'en étonner, mais, sur le moment, cela lui parut tout naturel)... (Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles). Que signifie donc "naturel"? Ce à quoi nous sommes habitués, l'ordinaire, l'ordre habituel des choses

quantifie ? Temps subjectif et temps objectif. « Si vous connaissiez le temps aussi bien que je le connais moi-même, vous ne parleriez pas de le gaspiller comme une chose. Le temps est une personne. » En répondant ainsi à Alice (dans Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll), qui s’étonnait de voir une montre indiquant seulement le jour du mois , et non pas l’heure, le chapelier met l’accent sur l’un des paradoxes majeurs du temps. Le temps est, à la fois, une puissance extérieure, une réalité

utilisé, tout au long de leur carrière, un humour très particulier, que l'on peut inscrire dans la continuité de ce que l'on appelle généralement l'humour anglais, et qu'il faudrait également rattacher au nonsense développé par Lewis Carroll dans Alice au pays des merveilles (1865) et dans Sylvie et Bruno (1889/1893). Que l'on prenne, comme exemple de ce type de hors-cadre la discussion à propos du poids que peuvent respectivement porter une hirondelle d'Europe et une hirondelle d'Afrique[3], ou

touche pas de la même manière toutes les personnes. En effet, l’humour et les différentes formes de comique changent d’un groupe à l’autre, d’une société à l’autre, d’une civilisation à l’autre. Ex : Benny Hill, le non sens de Lewis Carroll dans Alice au pays des merveilles « je te souhaite ton non anniversaire ». L’humour français est souvent plus graveleux, joue sur les mots. Ex : les contrepèteries « les femmes sont folles de la masse » de Rabelais ; « bienvenue chez les Chtis » qui se base sur

cette première partie nous allons aborder différents aspects de la société américaine des années 60-70. Le contexte historique des années 60 Entre 1945 et 1973 les pays développés connaissent une phase de croissance sans pareil: les trente glorieuses. Entre 1960 et 1973 le volume des échanges internationaux triplent et les pays riches en sont les principaux acteurs comme l'Europe ou le Japon mais ces puissances économiques sont surtout menées par les Etats-Unis dans ce processus de mondialisation

intéressant à noter ici: le fantastique, associé au bizarre, à l’insolite et au surnaturel, doit s’inscrire dans le réel pour mieux en exprimer l’ « autre versant », plus menaçant et énigmatique. Ainsi, comme la fillette dans Alice au pays des Merveilles (1865) de Lewis Carroll, le lecteur des récits de ce genre doit accepter de se prêter à la traversée des apparences, c’est-à-dire de passer de l’autre côté du miroir, afin d’arriver à un monde où tout est possible. Folie, hallucination, diable,

comprend. » MICHAUX n Il existe entre le rêveur et le lecteur des analogies qui pourraient expliquer la fortune de la représentation des songes dans les œuvres littéraires. Et d’abord, l’endormissement prélude au rêve, de Combray à Alice au pays des merveilles, peut être dû à un texte lu. En rêve et en livre, une histoire se déroule sous nos yeux, nous en sommes les spectateurs (dans le rêve, nous assistons à notre imagination), nous nous laissons saisir, non sans plaisir, par ces fictions

Cécile de V prend conscience qu’elle va être vendue à un animal. En thème marxiste c’est la conscience des classes. Les filles étaient de la chair à marier devant manier leurs devantures pour les soirées. Cela fait penser à Alice aux pays des merveilles, le fameux conte de Lewis Carroll quand elle tombe dans le mystère de la féminité, dans son sexe qu’est la maison du lapin. Elle arrive à une salle de bal, là où on montre les filles dans le but de les vendre au plus offrant. La femme du XVIIIe siècle est