Lexème

Québec sous le régime duplessiste et dans la définition concomitante d'un espace, d'une communauté et de rapports sociaux spécifiques, tel est notre projet. Ainsi formulé, il suscite presqu'autant de questions théoriques que l'énoncé comprend de lexèmes. On ne saurait ici procéder à une clarification systématique de toutes ces questions. Après avoir indiqué le sens général de notre problématique dans la première section, nous voulons surtout insister sur l'apport de notre méthode d'analyse du discours

linguistiques indiquent plutôt proximité, affectivité positive et ce aussi bien pour les enseignants d'Alger que pour ceux de Timimoun. C’est, presque toujours de l’amour qui est exprimé, sans hésitation, et soutenu discursivement par de nombreux adverbes, lexèmes verbaux ou nominaux, métaphores appartenant au registre amoureux courant : Extrait entretien Fatéma D. moi, je t’écoute (rires) est-ce que tu aimais les cours de français? euh…est-ce que…comment ça se passait? F. i fallait bien les aimer quand

//––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– // ARBRE : arbre représentant une expression arithmétique class arbre { int next_lexeme(AnsiString &expr, int l, int &c); ........... // déplace le curseur c vers le lexeme suivant public: bool verifie(AnsiString &expr); ...............................................// vérifie que l'expression est syntaxiquement correcte noeud *racine; ................................................................................

t-uà-iyi tg°nitt ffàeà = elle-a saisi-me la situation suis sorti-je = « j’étais sorti (quand...) » qui devient : (28) t-uà-iyi ffàeà = elle-saisi-me suis sorti-je = « j’étais sorti » (avec maintien de l’affixe personnel régime direct mais ellipse du lexème nominal en fonction de complément explicatif) puis : (29) tuà ffàeà = elle-a saisi suis sorti-je = « j’étais sorti » (avec réduction et figement total de l’ancien syntagme auxilaire : tuà est devenu un morphème préverbal de passé) Dans l’ensemble

bien qu'au niveau des significations. Dans le premier cas les propositions ne sont pas synonymiques et l’invariant se base : sur la communauté des mots : dans les propositions  Pierre est venu et Pierre ne viendra pas c’est la combinaison de lexèmes Pierre et venir qui en est l’invariant ; sur la communauté des constructions. Dans les propositions Pierre est venu et Pierre est parti c’est le schéma structural N + V et la communauté du signifié : sujet + son action (mouvement) qui en est

complémentaire selon le degré d'expertise du lecteur. Pour les besoins de la démonstration, je choisis d'utiliser un modèle ascendant qui privilégie les stratégies grapho-phonologiques au détriment des stratégies sémantico-contextuelles. 10 Il s'agit ici des lexèmes mais le raisonnement vaut pour les monèmes voire pour les mots. 10 Introduction Donc, «lire consiste à extraire de l'information visuelle à partir d'une page écrite afin de la comprendre » (Baccino, Cole, 1995). L’information linguistique est traitée

doublons par emprunt sont sémantiquement plus chargés que le vocable français, limité à la seule fonction dénotative. Ils ont un pouvoir magique d'évocation; c’est ce qui explique leur vitalité et leur intégration dans la variété. Par exemple, un lexème comme makhzen (emprunté à l’arabe marocain) formant paire avec le mot français autorité dénote « l’autorité ». Il évoque, de plus, un agent d'autorité, armé d'une matraque et prêt à frapper et connote par image associée la peur de l'autorité et la

signifiant pour au moins deux signifiés. L’homonymie est constituée par une même phonie associée à deux significations radicalement différentes (comme « cousin » désignant un parent ou un insecte). La polysémie ou l’ambiguïté lexicale correspond à un lexème et deux ou plus significations infléchies, mais avec un même noyau de signification (ainsi « diplomatie » peut désigner l’institution, le corps ou l’action de ses membres, un comportement spécifique, etc.). L’ambiguïté syntaxique se manifeste lorsque

celui-ci: __________________________________________________________ _______ Niveau Fonction En linguistique En iconique d’articulation __________________________________________________________ _______ 0 1er iconème sens signification phrase image lexème 2e distinction phonème graphème __________________________________________________________ _______ __________________________________________________________ _______ analysable en une succession d’unités dont chacune contribue à distinguer ‘tête’

avant de les analyser. Dans l’analyse, les hypothèses, soit on va les valider, soit on va les infirmer. Un concept, c’est quoi ? Le mot « mot » n’est plus accepté dans la linguistique. Il est trop générique, trop vague. On l’a remplacé par lexie, lexème, mot – forme. On les a conceptualisé. Si la D.L.V.E. emprunte un concept à la linguistique, il faut le reconceptualiser, le repenser pour l’appliquer à son objet d’étude. Les concepts font l’autonomie d’une discipline. Exemple de Mme Bensekat,