Lexème

appelées monèmes ou unités significatives. Le monème c’est la plus petite unité ayant une forme phonique et un contenu sémantique, c’est-à-dire, un signifiant et un signifié. Il distingue entre deux types de monèmes : Les monèmes lexicaux appelés (lexèmes) ou (sémantèmes) (selon Charles BALLY) : Ils appartiennent à des listes illimitées. Les monèmes grammaticaux appelés (morphèmes) : Ils appartiennent à des listes limitées ou finies. Exemple : Dans « je parlais », parl est un monème lexical, la liste

des bornes,cel perm et un sui t des heures travail de fi a vi lées chaque employé. Les taches de chaque salarié sont prédéfinies, chaque membre du groupe à un rang et un rayon à teni En ef et, tous s’ r. f occupent d’ domaine particulier. Prenons lexem pl du un ’ e rayon ou jai travail : il y avait une personne pour la layette et les articles manufacturés ’ lé teles que l poussettes ou si l es èges auto, lautre pour tout ce qui concerne l bi ’ es berons, tétines et enfin une personne s’ occupant

dernière fois: Sémantique – Sens – Signification. La sémantique, c'est la science des significations. Est-il possible de travailler les significations, comme les linguistes ont travaillé les systèmes de son (phonèmes, morphèmes...) ? Lexèmes: les termes de la langue. Une maison n'est pas un château. En phonologie, on va passer par des termes positifis. La phonologie étudie le système, alors que la phonétique étudie les “coordonnées”, les définitions. En phonologie, on a une base pour

d’être esquissées montrent que mon point de vue ici est très différent de celui du spécialiste de la littérature. Ainsi, le fait que les mécanismes de transition entre le monde de la rue et celui de la chambre soient déclenchés par l’occurrence de lexèmes comme tache, marques, ou chemin n’est pas pertinent pour mon approche. En revanche ce point ne laisserait peut-être pas indifférent un spécialiste de l’univers de RobbeGrillet. Exemple 3 Imaginez plusieurs milliers de mini-ordinateurs, à fonctions

e e a e Soit les lignes de code C suivant : int const pi = 3.14, x = 3, y = 7 ; if ( x < y ) x = x + y; Les unit´s lexicales retourn´es ` partir de ce code sont comme expliqu´ par la figure 1.1. e e a e ´ Unite Lexciale const if oprel affect id nb ` Lexeme const if < >= = x y pi 3.14 3 7 Desciption const if < >= Op´rateur d’affectation e lettre suivi par des lettre ou des chiffres Op´rateur d’affectation e Fig. 2: Exemples d’unit´s lexicales e 1.2 Erreurs lexicales Les erreurs retourn´es

du corps va de pair avec l’affranchissement du texte, ce qui signifie à la fois subversion des codes littéraires habituels et élaboration d’un nouveau discours romanesque » (idem: 64) marqué par la violence. Ainsi, on note la prolifération du lexème « sexe » ou toute expression s’y rapportant. Les mots ou expressions tels que fesse, cul, entre les cuisses, pute, putain, jambes dénudées, chair dressée, seins nus, clitoris,… jalonnent le texte. Les organes génitaux sont fréquemment décrits et

également que l'amour est intimement lié à l'histoire nationale. C'est le chant à la Résistance face à une France vaincue par les nazies. A cet égard, Michael Riffaterre nous affirme que « le texte littéraire n'est donc pas simplement un ensemble de lexèmes organisés en syntagmes, mais un ensemble de présuppositions d'autres textes. Chacun des mots qui le composent n'aura de fonction littéraire que lorsqu'il sera d'abord compris, comme tous les mots, selon les règles du langage et les contraintes

la morphologie lexicale, soit du figement ; pour Benvéniste (1974, Problèmes de linguistique générale, vol.II, Paris : 171) la synapsie (ex : pomme de terre) est une « forme nouvelle de composition nominale », définie comme un « groupe entier de lexèmes, reliés par divers procédés, et formant une désignation constante et spécifique » ; mais Mejri (1997) tend à intégrer ces formations dans le processus du figement. 6 Texto! juillet 2007, vol. XII, n°3 d’éléments formels-fonctionnels qui vise la

de départ afin d’en isoler les traits qui lui sont « pertinents » ; étude de la forme du poème, autrement dit le vers (alexandrin), la rime, l’intonation, le rythme à l’intérieur de chaque vers ainsi qu’au niveau du quatrain, la répétition des lexèmes qui renvoient à l’idée centrale : l’idée de la mort ; puis, association de la forme au sens, autrement dit l’arrangement des signifiants et la façon dont il influe sur les signifiés. Cette analyse a conduit à un certain nombre de conclusions

orthographes sont ainsi pleines de graphies qui notèrent des sons désormais disparus ou qui furent d’emblée dépourvues de toute fonction phonographique. Pour désigner l’ensemble de ces phénomènes situés au plan de la première articulation du langage (lexèmes, morphèmes, etc.), nous parlerons de sémiographie (Jaffré, 2000). Et pour synthétiser les conclusions les plus récentes de la linguistique de l’écrit, nous dirons que la phonographie et la sémiographie sont les deux conditions nécessaires de l’écriture